Pourtant il est très rare ,face aux administrations que les entreprises du BTP aient gain de cause. Sauf quand elles ont les moyens de faire un bon procès, avec les bons avocats et en prenant le temps nécessaire.
C'est le cas de l'entreprise SIMP qui sur le stade de Dillon aura, après plus de 20 ans, obtenu de la ville de Fort de France des millions, suite à ce que le tribunal en dernière instance avait considéré comme des manquements graves de la mairie et de ses conseils.
Généralement ces grosses entreprises à l'ouverture du marché, ouvrent également un dossier juridique, qui est alimenté au cas où le chantier devrait avoir une étape judiciaire. Mais ce n'est pas l'habitude des entrepreneurs martiniquais, qui souvent , considèrent que le bon Dieu finira par éclairer le dossier. Le plus souvent ces patrons repartent une main devant une main derrière.
Avec les réseaux sociaux, tout finit à un moment ou à un autre par se savoir. Mieux, soit l'information est instantanée, soit quand elle ressort des années plus tard, elle fait encore un plus gros effet. Ici c'est Martinique 1 ère qui a sorti le dossier. Un dossier de souffrance des entreprises martiniquaises face soit à des vérificateurs qui changent les règles du jeu pendant la partie, soit face à des élus qui pour se protéger préfèrent se boucher les yeux, les oreilles et botter en touche.
Dans le cas du dossier du Vauclin, comme celui de Grand-Rivière, ce qui est en cause c'est un problème de cubage, de prix et de conditions de marché. A Grand-Rivière, c'est la fin du chiffrage du marché qui cause problème. L'entrepreneur a journellement noté ses quantités, et au moment de le payer, c'est un autre principe et une autre unité de comptage que le technicien considère. Résultat moitié moins des quantités facturées lui seront payées.
Au Vauclin, le problème est encore plus cocasse. Tournez la page pour comprendre en appuyant sur page suivante.
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Généralement ces grosses entreprises à l'ouverture du marché, ouvrent également un dossier juridique, qui est alimenté au cas où le chantier devrait avoir une étape judiciaire. Mais ce n'est pas l'habitude des entrepreneurs martiniquais, qui souvent , considèrent que le bon Dieu finira par éclairer le dossier. Le plus souvent ces patrons repartent une main devant une main derrière.
Avec les réseaux sociaux, tout finit à un moment ou à un autre par se savoir. Mieux, soit l'information est instantanée, soit quand elle ressort des années plus tard, elle fait encore un plus gros effet. Ici c'est Martinique 1 ère qui a sorti le dossier. Un dossier de souffrance des entreprises martiniquaises face soit à des vérificateurs qui changent les règles du jeu pendant la partie, soit face à des élus qui pour se protéger préfèrent se boucher les yeux, les oreilles et botter en touche.
Dans le cas du dossier du Vauclin, comme celui de Grand-Rivière, ce qui est en cause c'est un problème de cubage, de prix et de conditions de marché. A Grand-Rivière, c'est la fin du chiffrage du marché qui cause problème. L'entrepreneur a journellement noté ses quantités, et au moment de le payer, c'est un autre principe et une autre unité de comptage que le technicien considère. Résultat moitié moins des quantités facturées lui seront payées.
Au Vauclin, le problème est encore plus cocasse. Tournez la page pour comprendre en appuyant sur page suivante.
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