A partir de cette mise en examen une campagne a été menée par des médias officiels et blog ainsi que par des hommes politiques ciblant principalement l’ex Première Vice Présidente de l’ex Conseil Régional.
Cette mise en examen avait conduit la Première Vice Présidente, à remettre à Serge LETCHIMY, une lettre de démission, que ce dernier avait refusé. Il lui avait tout de même enlevé toutes ses délégations, en lui enlevant toutes signatures.
Aujourd’hui, et au terme de différentes auditions, et d’enquêtes, la justice a prononcé un non lieu. Ni abus de confiance, ni mise en danger de la vie d'autrui, ni banqueroute, ni abus de biens sociaux. CONCONNE et consort sont blanchis.
Néanmoins comme dans toutes ces affaires, l’opinion publique a été déboussolée par le retentissement d'une telle information et l’exploitation qui en a été faite.
La morale de l’histoire, c’est qu’il faut faire confiance à la justice. C’est la preuve qu’il n’est pas besoin d’envahir le palais de justice et de faire des manifestations dans les rues de Fort de France, pour influencer les juges lorsque l’on sait que l’on est dans son bon droit.
Cette décision rendue le 16 août par le parquet de Fort-de-France et a été relayée par l’ensemble de la presse à partir du 22 août.
Cette mise en examen avait conduit la Première Vice Présidente, à remettre à Serge LETCHIMY, une lettre de démission, que ce dernier avait refusé. Il lui avait tout de même enlevé toutes ses délégations, en lui enlevant toutes signatures.
Aujourd’hui, et au terme de différentes auditions, et d’enquêtes, la justice a prononcé un non lieu. Ni abus de confiance, ni mise en danger de la vie d'autrui, ni banqueroute, ni abus de biens sociaux. CONCONNE et consort sont blanchis.
Néanmoins comme dans toutes ces affaires, l’opinion publique a été déboussolée par le retentissement d'une telle information et l’exploitation qui en a été faite.
La morale de l’histoire, c’est qu’il faut faire confiance à la justice. C’est la preuve qu’il n’est pas besoin d’envahir le palais de justice et de faire des manifestations dans les rues de Fort de France, pour influencer les juges lorsque l’on sait que l’on est dans son bon droit.
Cette décision rendue le 16 août par le parquet de Fort-de-France et a été relayée par l’ensemble de la presse à partir du 22 août.