Alfred Marie -Jeanne dit qu’il est président de tous les Martiniquais. Pourtant, il n’a pas démissionné de la tête de son mouvement. On ne peut pas le lui reprocher. Quand Serge Letchimy a été président, lui non plus n’aura pas démissionné du PPM.
Photo Serge Boissard
En MARTINIQUE, il n’est pas habituel que les élus abandonnent leur socle électoral lorsqu’ils arrivent à un poste de commandement global. Alors quand on voit comment le Président de tous les Martiniquais traite certains Martiniquais, on ne peut que s’émouvoir de cette situation.
Est-ce donc ainsi, qu’un élu de premier plan peut, ou doit parler à d’autres Martiniquais qu’il considère comme opposants. On veut bien admettre que cet illustre politique est de verbe haut. Qu’il ait son style à lui, bien particulier, si particulier que l'on veut bien l’admettre qu’il se trompe de mot.
Mais quand cela dure depuis plusieurs années est-ce supportable ? Ou du moins comment les militants du MIM font-ils pour admettre de telles attaques, d’autant que ces exécutions publiques sont filmées et diffusées sur tous les réseaux.
Mais quand la méthode ressemble à un pugilat en public, n’est-il pas normal que des observateurs de la vie politique s’émeuvent ? Car si aujourd’hui c’est Nilor Jean-Philippe et d’autres, il se pourrait que ce soit chacun de nous qui demain soyons cloués au pilori.
N’y a-t-il pas dans ce parti qui veut conduire la MARTINIQUE à l’indépendance, une instance qui se saisisse de cette question et qui prenne pourquoi pas, une décision d’exclusion de certains membres. A-t-on besoin de parler ainsi aux gens, de se confondre en victime poignardée par tous, pour justifier ses mots, son intonation et sa manière de dire les choses.
Ne croyez pas que nous défendons Jean Pillippe Nilor une fois de plus. À ce titre nous lui avons déjà indiqué que tant que nous ne verrons pas un livre sur ses idées et son programme, nous considérerons qu’il n’en a pas. Mais voir AMJ parler aux gens de son propre parti ainsi, nous oblige à nous intéresser à la façon dont un homme de ce niveau et à ce niveau , pourrait parler à son opposition.
N’est ce cette dose anxiogène répétée à plusieurs endroits du pays qui exténue le territoire, affaiblit l’espérance et sclérose la MARTINIQUE.
Cela s’appelle une gangrène. Elle se transforme en violence verbale, ou physique.
Parfois il peut être bon de couper le bras pour sauver le corps !
Cliquez sur la page suivante pour regarder la viédo et écouter le patron du MIM.
Est-ce donc ainsi, qu’un élu de premier plan peut, ou doit parler à d’autres Martiniquais qu’il considère comme opposants. On veut bien admettre que cet illustre politique est de verbe haut. Qu’il ait son style à lui, bien particulier, si particulier que l'on veut bien l’admettre qu’il se trompe de mot.
Mais quand cela dure depuis plusieurs années est-ce supportable ? Ou du moins comment les militants du MIM font-ils pour admettre de telles attaques, d’autant que ces exécutions publiques sont filmées et diffusées sur tous les réseaux.
Mais quand la méthode ressemble à un pugilat en public, n’est-il pas normal que des observateurs de la vie politique s’émeuvent ? Car si aujourd’hui c’est Nilor Jean-Philippe et d’autres, il se pourrait que ce soit chacun de nous qui demain soyons cloués au pilori.
N’y a-t-il pas dans ce parti qui veut conduire la MARTINIQUE à l’indépendance, une instance qui se saisisse de cette question et qui prenne pourquoi pas, une décision d’exclusion de certains membres. A-t-on besoin de parler ainsi aux gens, de se confondre en victime poignardée par tous, pour justifier ses mots, son intonation et sa manière de dire les choses.
Ne croyez pas que nous défendons Jean Pillippe Nilor une fois de plus. À ce titre nous lui avons déjà indiqué que tant que nous ne verrons pas un livre sur ses idées et son programme, nous considérerons qu’il n’en a pas. Mais voir AMJ parler aux gens de son propre parti ainsi, nous oblige à nous intéresser à la façon dont un homme de ce niveau et à ce niveau , pourrait parler à son opposition.
N’est ce cette dose anxiogène répétée à plusieurs endroits du pays qui exténue le territoire, affaiblit l’espérance et sclérose la MARTINIQUE.
Cela s’appelle une gangrène. Elle se transforme en violence verbale, ou physique.
Parfois il peut être bon de couper le bras pour sauver le corps !
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