Loin de se satisfaire le rapporteur du fait de pouvoir aider plus le centre de Colson, cette proposition du conseiller Jean Philippe NILOR aura presque choqué une partie de l’assemblée. En effet comme le faisait remarquer le conseiller PPM, Jean-Claude Duverger, cette assemblée peut-elle faire bouger financièrement une décision du conseil exécutif
C’est une vraie question qui montre la difficulté qui existe dans l’articulation entre l’exécutif et l’assemblée. En effet, beaucoup s’interrogent sur ce à quoi servent tous les conseillers s’ils ne doivent pas bouger d’une virgule la décision financière du conseil exécutif.
Ce, qui aura suivi, aura fait la démonstration de la faiblesse d’un système. En effet un peu comme une balle qui redescend un escalier, les conseillers auront tenté de soustraire sur d’autres dossiers, si importants, cette petite incartade de 20 000 €. Ils ont parlé de budget constant pour justifier leur peur de faire bouger un curseur financier.
La preuve que cette affaire est importante et sensible, c’est quand la sérénité a disparu au moment où les ego ont été écorchés et que les langues se soient déliées. C’est à ce moment que nous avons constaté le sale côté de la politique, avec le non-dit, le calcul politique et le manœuvre d’arrière boutique.
Le pire du désastre aura été de constater que finalement alors que le président claude utilisait la méthode parlementaire que ceux qui étaient contre la réduction votaient pour. La neutralité du président pour expliquer son désarroi face à une telle débandade politique de la majorité du seul fait d’avoir amendé une décision du conseil exécutif. Si nous notons cette passe d’armes dans la plénière, c’est essentiellement parce que je crois qu’il se joue autre chose. En définitive, c’est le début de l’affrontement JP NILOR, FCAROLE qui commence à émerger. Il est amusant que ce soit le PPM qui tranche cette affaire, sans une préfiguration d’un prochain futur politique.
Il s’agit de deux jeunes lions qui savent de toute façon que leur heure a sonné. À ce petit jeu, ce n’est pas la colère de Stéphanie NORCA qui aura empêché la motion de JPN de passer.
Ce, qui aura suivi, aura fait la démonstration de la faiblesse d’un système. En effet un peu comme une balle qui redescend un escalier, les conseillers auront tenté de soustraire sur d’autres dossiers, si importants, cette petite incartade de 20 000 €. Ils ont parlé de budget constant pour justifier leur peur de faire bouger un curseur financier.
La preuve que cette affaire est importante et sensible, c’est quand la sérénité a disparu au moment où les ego ont été écorchés et que les langues se soient déliées. C’est à ce moment que nous avons constaté le sale côté de la politique, avec le non-dit, le calcul politique et le manœuvre d’arrière boutique.
Le pire du désastre aura été de constater que finalement alors que le président claude utilisait la méthode parlementaire que ceux qui étaient contre la réduction votaient pour. La neutralité du président pour expliquer son désarroi face à une telle débandade politique de la majorité du seul fait d’avoir amendé une décision du conseil exécutif. Si nous notons cette passe d’armes dans la plénière, c’est essentiellement parce que je crois qu’il se joue autre chose. En définitive, c’est le début de l’affrontement JP NILOR, FCAROLE qui commence à émerger. Il est amusant que ce soit le PPM qui tranche cette affaire, sans une préfiguration d’un prochain futur politique.
Il s’agit de deux jeunes lions qui savent de toute façon que leur heure a sonné. À ce petit jeu, ce n’est pas la colère de Stéphanie NORCA qui aura empêché la motion de JPN de passer.