Il semble se méfier énormément des détournements médiatiques et de l’image souvent dirigé qu’emploient certains médias pour orienter la pensée des autres.
Il nous parle des injustices avec une grande retenue, ne prenant jamais parti, il est contre le communautarisme, il ne comprend pas pourquoi, le machisme est autant encré dans la culture politique et le monde du travail en France. Pour lui c’est une chose très grave, car certain considère clairement que la femme est inférieure à l’homme. Il compare cela, limite à une forme d’esclavage intellectuelle détestable.
Au passage, il nous explique qu’il aurait pu ne pas être en face de nous aujourd’hui car, en défendant une femme frappée sur la route par son compagnon, cela aurait pu être catastrophique.Nous cherchons à en savoir un peu plus sur ses idées, ses projets, et il nous répond tout simplement, « vous en savez déjà suffisamment pour le moment, laissez quand même les autres travailler un peu… »
Nous lui demandons quels autres ? « Petit sourire, les M, les C etc.…, les nouveaux médias à sensation, et je ne vous en dirais pas plus ! »Pendant l’entretien, il nous donnait l’impression de toujours anticiper les répercutions que vont avoir ses propos. Il semble se méfier énormément des détournements médiatiques et de l’image souvent dirigé qu’emploient certains médias pour orienter la pensée des autres.
Ceci étant, Jean Morandais s’avère être d’une très grande discrétion et un redoutable communicant. Nous apprenons que depuis environ 3 ans, il aurait souvent rencontré des spécialistes économiques et des professeurs de sciences politiques. « C’est impressionnant vous savez, le nombre de personnes qu’on rencontre dans les immenses couloirs de l’ONU à Genève.
C’est super enrichissant. »On découvre alors qu’il n’est pas là, sans savoir où il mettait les pieds, Il s’y est préparé en toute discrétion, loin des projecteurs du monde médiatique, mais encore plus loin de la sphère politique, nous ne pouvons que lui souhaiter bonne chance.
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Au passage, il nous explique qu’il aurait pu ne pas être en face de nous aujourd’hui car, en défendant une femme frappée sur la route par son compagnon, cela aurait pu être catastrophique.Nous cherchons à en savoir un peu plus sur ses idées, ses projets, et il nous répond tout simplement, « vous en savez déjà suffisamment pour le moment, laissez quand même les autres travailler un peu… »
Nous lui demandons quels autres ? « Petit sourire, les M, les C etc.…, les nouveaux médias à sensation, et je ne vous en dirais pas plus ! »Pendant l’entretien, il nous donnait l’impression de toujours anticiper les répercutions que vont avoir ses propos. Il semble se méfier énormément des détournements médiatiques et de l’image souvent dirigé qu’emploient certains médias pour orienter la pensée des autres.
Ceci étant, Jean Morandais s’avère être d’une très grande discrétion et un redoutable communicant. Nous apprenons que depuis environ 3 ans, il aurait souvent rencontré des spécialistes économiques et des professeurs de sciences politiques. « C’est impressionnant vous savez, le nombre de personnes qu’on rencontre dans les immenses couloirs de l’ONU à Genève.
C’est super enrichissant. »On découvre alors qu’il n’est pas là, sans savoir où il mettait les pieds, Il s’y est préparé en toute discrétion, loin des projecteurs du monde médiatique, mais encore plus loin de la sphère politique, nous ne pouvons que lui souhaiter bonne chance.
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