LES TENUES TRADITIONNELLES MARTINIQUAISES POUR LA FÊTE DE LA BIGUINE ET DES MUSIQUES TRADITIONNELLES DU SAMEDI 4 MAI 2019 AU ANSES D’ARLET UNE ORGANISATION DU COMITÉ MARTINIQUAIS DE LA MUSIQUE DOCUMENT RÉALISÉ À PARTIR DES « CAHIERS DU PATRIMOINE », DES TÉMOIGNAGES DES ANCIENS ET DES RECHERCHES EFFECTUÉES PAR L’ASSOCIATION. LES PORTEURS DE TENUES SONT CEUX QUI ONT EFFECTUÉ OU QUI EFFECTUENT LES DÉFILÉS POUR L’ASSOCIATION « LES AMIS DE L’OUVERTURE », LAO.
Le goût de l’apparat et d’un certain luxe favorisent dès le 17ème siècle, l’utilisation de riches tissus comme, le brocart, la soie, le satin broché, les dentelles pour les tenues habillées.
Le climat tropical, dès le début du 18ème siècle, a incité les femmes à adopter des tissus légers comme les cotons, les « indiennes » (cotons de moindre qualité). Les autres apports des cultures africaines et indiennes se traduisaient dans le choix de couleurs chatoyantes, la superposition des tissus, la manière de nouer une « tête », de relever une jupe.
L’évolution des tenues à partir des années 60… Petit à petit, après 1946, et surtout à partir des années 60, le costume martiniquais ne fut plus porté que par les femmes âgées lors des cérémonies religieuses ou des fêtes de famille. Depuis quelques années, le costume traditionnel tend à retrouver toutes ses lettres de noblesse en étant le fruit de recherches de quelques passionnés. On porte de nouveau ces costumes lors des bals « an tan lontan », ou de fêtes champêtres, de mariages, de déjeuners dansants..., ils sont même adaptés au goût du jour en tenues pratiques et élégantes.
Nous joignons à cet article un dossier de vulgarisation des tenues traditionnelles, cliquez sur page suivante pour y accéder!
Le climat tropical, dès le début du 18ème siècle, a incité les femmes à adopter des tissus légers comme les cotons, les « indiennes » (cotons de moindre qualité). Les autres apports des cultures africaines et indiennes se traduisaient dans le choix de couleurs chatoyantes, la superposition des tissus, la manière de nouer une « tête », de relever une jupe.
L’évolution des tenues à partir des années 60… Petit à petit, après 1946, et surtout à partir des années 60, le costume martiniquais ne fut plus porté que par les femmes âgées lors des cérémonies religieuses ou des fêtes de famille. Depuis quelques années, le costume traditionnel tend à retrouver toutes ses lettres de noblesse en étant le fruit de recherches de quelques passionnés. On porte de nouveau ces costumes lors des bals « an tan lontan », ou de fêtes champêtres, de mariages, de déjeuners dansants..., ils sont même adaptés au goût du jour en tenues pratiques et élégantes.
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