Edouard DE LEPINE en ce moment va bien très actif intellectuellement, il c'est prix les service d'un coach pour retrouver un peu de forme physique.
Je suis d’abord un militant, secondairement un prof d’histoire, à l’occasion un historien amateur.
Peut-être l'un des plus anciens militants de la gauche martiniquaise. Venu très tôt (1945) à la jeunesse communiste puis à l’UJRF. D'abord à la Fédération Communiste de la Martinique du PCF, puis au PCF, durant mes études à Paris, puis au Parti communiste Martiniquais, puis au GRS. J’ai adhéré au PPM en octobre 1982.
Exclu du Comité Central du PCM en 1968 à cause de mes positions sur l’agression soviétique en Tchécoslovaquie et sur la question de l’Indépendance, j’ai créé avec les jeunes communistes qui m’ont suivi et avec un groupe d’Étudiants issus du mouvement français de mai 1968, le Groupe Révolution Socialiste (Section Antillaise de la IVe Internationale Trotskiste) où j’ai cessé de militer à la fin des années 1970.
C'est au tournant des années 1970 -1980 que j’ai rompu progressivement avec l'idéologie communiste en même temps qu'avec le courant indépendantiste.
Une longue et douloureuse réflexion sur l'évolution de la Révolution cubaine, sur les événements de Pologne au début des années 1980, sur les problèmes de la décolonisation notamment en Afrique et dans la Caraïbe, sur l'arrivée des socialistes au pouvoir en France, et sur les expériences social-démocrates dans le monde, enfin sur les sources historiques et les fondements idéologiques du césairisme, m’a conduit à adhérer, au PPM au début des années 1980. Mon dernier livre, Nous sommes des nains sur les épaules d’un géant Aimé Césaire,
Les conditions de l'effondrement de l'Empire soviétique au début des années 1990, l'ouverture, depuis, des Archives de Moscou, ont achevé de me convaincre qu'il n'y avait vraiment rien de commun entre les rêves d'un gamin lancé corps et âme "à l'assaut du ciel" ni même, avec l'entêtement d'un adulte persuadé de pouvoir corriger de l'intérieur les perversions du parti communiste.
J’ai été pendant longtemps un militant discipliné. J’estime avoir avalé dans ma vie de militant plus de couleuvres que n'importe quel militant de ma génération.
Pour lire la suite cliquez sur la page 2
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Peut-être l'un des plus anciens militants de la gauche martiniquaise. Venu très tôt (1945) à la jeunesse communiste puis à l’UJRF. D'abord à la Fédération Communiste de la Martinique du PCF, puis au PCF, durant mes études à Paris, puis au Parti communiste Martiniquais, puis au GRS. J’ai adhéré au PPM en octobre 1982.
Exclu du Comité Central du PCM en 1968 à cause de mes positions sur l’agression soviétique en Tchécoslovaquie et sur la question de l’Indépendance, j’ai créé avec les jeunes communistes qui m’ont suivi et avec un groupe d’Étudiants issus du mouvement français de mai 1968, le Groupe Révolution Socialiste (Section Antillaise de la IVe Internationale Trotskiste) où j’ai cessé de militer à la fin des années 1970.
C'est au tournant des années 1970 -1980 que j’ai rompu progressivement avec l'idéologie communiste en même temps qu'avec le courant indépendantiste.
Une longue et douloureuse réflexion sur l'évolution de la Révolution cubaine, sur les événements de Pologne au début des années 1980, sur les problèmes de la décolonisation notamment en Afrique et dans la Caraïbe, sur l'arrivée des socialistes au pouvoir en France, et sur les expériences social-démocrates dans le monde, enfin sur les sources historiques et les fondements idéologiques du césairisme, m’a conduit à adhérer, au PPM au début des années 1980. Mon dernier livre, Nous sommes des nains sur les épaules d’un géant Aimé Césaire,
Les conditions de l'effondrement de l'Empire soviétique au début des années 1990, l'ouverture, depuis, des Archives de Moscou, ont achevé de me convaincre qu'il n'y avait vraiment rien de commun entre les rêves d'un gamin lancé corps et âme "à l'assaut du ciel" ni même, avec l'entêtement d'un adulte persuadé de pouvoir corriger de l'intérieur les perversions du parti communiste.
J’ai été pendant longtemps un militant discipliné. J’estime avoir avalé dans ma vie de militant plus de couleuvres que n'importe quel militant de ma génération.
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