Mais la nature a horreur du vide !
Ce vide de diversification d'expression est aujourd'hui comblé par les réseaux sociaux. Entre blogs, murs et autres médias personnels il se trouve que l'expression est maintenant totalement débridée et libérée. Celui qui veut crier au loup peut le faire. Chacun dit ce qu'il veut, et il n'est pas rare que l'information vienne de la chambre à coucher d'un élu, ou de la réunion syndicale qui se sera tenue, une heure avant. Nous avec ce blog que certains qualifie de simiesque, nous avons en nous adressant directement au Président de la République Emmanuel Macron, fait prendre conscience de l'inappropriation du symbole aux quatre serpents! Nous n'avons été que le détonateur des forces populaires et alternatives, et avons au bon endroit , le bon jour , posé la question à la bonne personne. Le Président aura agi une fois qu'il aura eu connaissance de ce fait. C'est donc aussi la preuve que parfois,il faut aussi un peu de courage. La question deviendrait donc , nos journalistes sont-ils courageux? Il me semble que dans un pays comme la Martinique, il n'est pas toujours utile de se faire détester. Il faut être un peu décalé ou disruptif pour parfois dire ce que d'autres ne disent pas. Il n'est donc pas étonnant que certains professionnels préfèrent l'auto-censure, à la hardiesse d'un jour qui débouche sur des avenirs de disette.
Facebook est à ce titre le premier média en Martinique, où les plus courageux, souvent monsieur tout le monde, peuvent se faire entendre. Pour peu que l'information viralise, le grand média, qui après avoir vérifié la véracité de l'information, ne relaie pas est très rare. Autrement dit les médias sociaux décoincent l'information. Pour preuve, tout les dits grands médias sont actuellement obligés de vendre leur programme par ce canal.
Alors comment expliquer que malgré cette information possible multiple, on puisse encore dire que la presse n'est pas libre en Martinique. En fait ce sont ces médias de masse qui valident les bruits des réseaux sociaux, et qui finalement donnent tout le relief à une information. Par conséquent quand un rédacteur prend la décision de mettre ou de ne pas mettre un sujet il donne de l'importance au sujet qu'il traite en le faisant devenir une information nationale. Et donc ce choix qui bien souvent est guidé par un manque de temps d'antenne est un respect des formats qui fait dire à certain que la presse n'est pas libre en Martinique.
Facebook est à ce titre le premier média en Martinique, où les plus courageux, souvent monsieur tout le monde, peuvent se faire entendre. Pour peu que l'information viralise, le grand média, qui après avoir vérifié la véracité de l'information, ne relaie pas est très rare. Autrement dit les médias sociaux décoincent l'information. Pour preuve, tout les dits grands médias sont actuellement obligés de vendre leur programme par ce canal.
Alors comment expliquer que malgré cette information possible multiple, on puisse encore dire que la presse n'est pas libre en Martinique. En fait ce sont ces médias de masse qui valident les bruits des réseaux sociaux, et qui finalement donnent tout le relief à une information. Par conséquent quand un rédacteur prend la décision de mettre ou de ne pas mettre un sujet il donne de l'importance au sujet qu'il traite en le faisant devenir une information nationale. Et donc ce choix qui bien souvent est guidé par un manque de temps d'antenne est un respect des formats qui fait dire à certain que la presse n'est pas libre en Martinique.
L' ICEA se sera saisi de cette affaire en posant la question du rôle de la presse en Martinique. Plusieurs personnalités ont bien voulu nous donner leur avis sur la question, nous vous laissons les écouter.
L'ITW du directeur de l' ICEA.
“Le projet social martiniquais est à repenser par et pour les nouvelles générations (...) qui doivent s’ouvrir sur le monde pour le bien commun des hommes et des femmes de Martinique” La raison d’être de l’ICEA est d’apporter sa contribution pour redéfinir ce projet social.
les Rencontres de l’ICEA ont été officiellement lancées ! Pendant 2 heures ICEA a échangé avec le Club Presse Martinique sur la place et le rôle des médias dans la société martiniquaise. Un moment enrichissant, à la fois pour les étudiants, le public et l' équipe pédagogique. ICEA Catholic Institute
initie Les Rencontres ICEA. Pour la première il s'agissait de venir échanger avec Myriam Malmin, la Présidente du Club Presse Martinique et Adams Kwateh, Journaliste indépendant, sur la place et le rôle des médias dans la société martiniquaise.
Regardez la vidéo qui résume ce moment
Pour écouter les réactions tournez la page, Jean Paul Jouanel, Maître Danielle Marceline, Myriam Malmin
les Rencontres de l’ICEA ont été officiellement lancées ! Pendant 2 heures ICEA a échangé avec le Club Presse Martinique sur la place et le rôle des médias dans la société martiniquaise. Un moment enrichissant, à la fois pour les étudiants, le public et l' équipe pédagogique. ICEA Catholic Institute
initie Les Rencontres ICEA. Pour la première il s'agissait de venir échanger avec Myriam Malmin, la Présidente du Club Presse Martinique et Adams Kwateh, Journaliste indépendant, sur la place et le rôle des médias dans la société martiniquaise.
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Pour écouter les réactions tournez la page, Jean Paul Jouanel, Maître Danielle Marceline, Myriam Malmin
27102018 ICEA Olivier Bergot.MP3 (4.59 Mo)