Effectivement, les nouvelles surfaces comportent, boulangerie, patisserie, traiteur, bazars, et dans certains cas, des produits d'appoint, comme des sandales, des boissons, pizzas et autres services, il se trouve que ces activités, sont le cœur de métier des commerçants du cœur de ville.
Cette typicité des petits métiers du petit village situé face à la mer, est renforcée par la présence d'un petit nombre de pêcheurs traditionnels, de club de plongée, et même d'un transport en direction de Sainte-Lucie. Mais ce qui fait la carte postale, et que le maire veut impérativement conserver, c'est le sable qui borde la plage, et qui à été envahi par des terrasses de restaurants à la lame battante. Exactement ce que la ADDUAM voudrait faire au Vauclin.
Il n'est pas de vacances bien vécues où un passage par ces restaurants et par cette rue, ne sont pas programmés. C'est la grosse attraction du pays, et si on y trouve souvent des touristes de passage et du pays, il est rare d'y croiser des békés. Cette activité où le tourisme est le moteur, les hôtels et l'hébergement chez l'habitant, les petits commerces typiques, les restaurants traditionnels, les pêcheurs sont devenus un mode de développement intégré et durable. Bon nombre de Martiniquais y sont attachés.
Selon la vision du maire Nicaise Monrose, Docteur en économie, un centre commercial en périphérie, à moins de 5 kilomètres du bourg serait un coup de frein brutal, donné à ce cercle vertueux. Un crime !
En France aussi, comme en Martinique, il existait des maires qui s'opposaient à l'implantation de centres. Pour Poursuivre la lecture cliquez su page 3 ou page suivante.
Il n'est pas de vacances bien vécues où un passage par ces restaurants et par cette rue, ne sont pas programmés. C'est la grosse attraction du pays, et si on y trouve souvent des touristes de passage et du pays, il est rare d'y croiser des békés. Cette activité où le tourisme est le moteur, les hôtels et l'hébergement chez l'habitant, les petits commerces typiques, les restaurants traditionnels, les pêcheurs sont devenus un mode de développement intégré et durable. Bon nombre de Martiniquais y sont attachés.
Selon la vision du maire Nicaise Monrose, Docteur en économie, un centre commercial en périphérie, à moins de 5 kilomètres du bourg serait un coup de frein brutal, donné à ce cercle vertueux. Un crime !
En France aussi, comme en Martinique, il existait des maires qui s'opposaient à l'implantation de centres. Pour Poursuivre la lecture cliquez su page 3 ou page suivante.