Il apparaît nettement que ce n'est pas demain que la ville va tomber aux mains des adversaires du PPM !
Les leaders du PPM savent que Fort-de France ne va pas leur échapper de sitôt. L'autre certitude c'est que financièrement la ville ne semble pas plus riche que ses habitants. Didier Laguerre entreprend une croisade qui consiste à poser la question du financement de collectivités Outremer, mais les premiers résultats ne vont pas tomber de sitôt.
Pour arrêter ce bricolage financier actuel, et hors de l’adduction financière directe de la CTM, le choix le plus judicieux, selon notre analyse qui n'engage que nous à MAKACLA.COM , c'est que la ville accepte durant au moins cinq ans d'être sous tutelle, comme ce fut le cas de Case-Pilote, ou du Prêcheur entre autres exemples, d'autant que le risque de perdre la municipalité n'existe pas. Car il est temps s'il est impossible d'une alternative politique, qu'un administrateur provisoire mette le nez dans les comptes de la ville capitale. D'autre part ce serait aussi l'occasion que l'Etat constate par lui même, les impossibilités budgétaires de l'exercice.
Didier Laguerre joue au funambule budgétaire, mais l'exercice semble de plus en plus pathétique. S'il n'y prend garde c'est à lui qu'on va attribuer ce déficit historique. Celui qui viendra en remplacement de Serge Letchimiy sera élu député, s'il porte le collier du PPM, mais sans idée nouvelle, et une approche rigoureusement différente, qui inspire à un retour de la confiance, on peut déjà considérer que le PPM rentre dans sa phase de décroissance, un peu comme le parti communiste hier. Avant d'être hors du pouvoir il se sera agglutiné au Lamentin, pour finir par disparaître des affaires en l'état et remplacé par BATIR.
Le PPM ne peut échapper au mouvement naturel de la croissance et de la décroissance des organismes, quand bien même c'est le parti de Césaire. Sauf que ce qui interpelle à cette heure c'est son incapacité à faire preuve d'excroissance à défaut de réinventer le modèle ! Par conséquent contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas l'adversité qui va tuer le PPM, mais sa prompte attitude, à ne rien vouloir changer dans ce qui le constitue ! .
Les prochaines élections de la CTM seront le test grandeur nature. Rappelons qu'à cette heure, Serge Letchimy n'a toujours pas confirmé qu'il était le candidat du PPM. Or il se ne présentera que s'il est certain de pouvoir gagner. On constate qu'à défaut de viraliser naturellement par le partage de ses posts par les militants , le PPM achète désormais de l'espace pub sur Facebook pour faire passer son message.
Certains appellent cela la modernité, et vivre avec son temps. Un temps sans militant autres que ceux qui dépendent du système !
Pour arrêter ce bricolage financier actuel, et hors de l’adduction financière directe de la CTM, le choix le plus judicieux, selon notre analyse qui n'engage que nous à MAKACLA.COM , c'est que la ville accepte durant au moins cinq ans d'être sous tutelle, comme ce fut le cas de Case-Pilote, ou du Prêcheur entre autres exemples, d'autant que le risque de perdre la municipalité n'existe pas. Car il est temps s'il est impossible d'une alternative politique, qu'un administrateur provisoire mette le nez dans les comptes de la ville capitale. D'autre part ce serait aussi l'occasion que l'Etat constate par lui même, les impossibilités budgétaires de l'exercice.
Didier Laguerre joue au funambule budgétaire, mais l'exercice semble de plus en plus pathétique. S'il n'y prend garde c'est à lui qu'on va attribuer ce déficit historique. Celui qui viendra en remplacement de Serge Letchimiy sera élu député, s'il porte le collier du PPM, mais sans idée nouvelle, et une approche rigoureusement différente, qui inspire à un retour de la confiance, on peut déjà considérer que le PPM rentre dans sa phase de décroissance, un peu comme le parti communiste hier. Avant d'être hors du pouvoir il se sera agglutiné au Lamentin, pour finir par disparaître des affaires en l'état et remplacé par BATIR.
Le PPM ne peut échapper au mouvement naturel de la croissance et de la décroissance des organismes, quand bien même c'est le parti de Césaire. Sauf que ce qui interpelle à cette heure c'est son incapacité à faire preuve d'excroissance à défaut de réinventer le modèle ! Par conséquent contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas l'adversité qui va tuer le PPM, mais sa prompte attitude, à ne rien vouloir changer dans ce qui le constitue ! .
Les prochaines élections de la CTM seront le test grandeur nature. Rappelons qu'à cette heure, Serge Letchimy n'a toujours pas confirmé qu'il était le candidat du PPM. Or il se ne présentera que s'il est certain de pouvoir gagner. On constate qu'à défaut de viraliser naturellement par le partage de ses posts par les militants , le PPM achète désormais de l'espace pub sur Facebook pour faire passer son message.
Certains appellent cela la modernité, et vivre avec son temps. Un temps sans militant autres que ceux qui dépendent du système !