Le Covid-19 ? La réponse est non selon le très sérieux mwebzine Genside : cela n'est pas recommandé. Pour quelles raisons ? Elles sont très simples : la transmission du Covid-19 se fait notamment par échange de gouttelettes de salive en toussant ou en éternuant. S'échanger des baisers langoureux pendant l'amour aide donc à la contamination. "Tout sexe entraîne un contact étroit. C'est la définition du contact étroit. Il n'y a donc aucun moyen d'en avoir sans risquer la transmission", a ainsi expliqué Anna Muldon, chercheuse en maladies infectieuses à l'université d'Arizona, au média américain Vox.
Pour autant, le Covid-19 n'est pas défini, aujourd'hui, comme une IST, une infection sexuellement transmissible.
iLe Dr François Marquis vous rappelle de bien laver vos mains, d’éviter de les porter à votre visage, de tousser dans votre coude, de demeurer à un mètre de distance et, bien sûr, de ne pas succomber, pour le moment, aux plaisirs de la chair si vous avez des symptômes grippaux ou êtes asymptomatiques, mais à risque d’être porteur de la COVID-19. c'est ce que démontre [le journal québécois [
Pour autant, le Covid-19 n'est pas défini, aujourd'hui, comme une IST, une infection sexuellement transmissible.
iLe Dr François Marquis vous rappelle de bien laver vos mains, d’éviter de les porter à votre visage, de tousser dans votre coude, de demeurer à un mètre de distance et, bien sûr, de ne pas succomber, pour le moment, aux plaisirs de la chair si vous avez des symptômes grippaux ou êtes asymptomatiques, mais à risque d’être porteur de la COVID-19. c'est ce que démontre [le journal québécois [
La vente de sextoys explose
En parallèle, toujours dans le domaine de l’amour, ou en tout cas du plaisir, on remarque d’étonnantes conséquences à la pandémie. La vente de sextoys a explosé ces derniers jours. Selon la marque Womanizer, les chiffres de vente dans le monde entier sont impressionnants par rapport aux prévisions annoncées en début d’année : + 135 % au Canada, + 60% en Italie, + 40% en France ou encore +75% aux États-Unis.
Alors pour répondre à la question posée au directeur de l'ARS voici un autre avis !
La sexualité à l'ère du coronavirus. Est-ce qu’on peut attraper la COVID-19 en ayant des relations sexuelles? Myriam Daguzan Bernier, autrice, conférencière, étudiante en sexologie, formatrice et journaliste indépendante, a tenté de répondre à la question dans un article sur son site Web.
Parce que le coronavirus se transmet principalement par des contacts rapprochés, «lors d’une relation sexuelle, les risques sont très élevés de passer le virus. Conséquemment, les contacts physiques intimes sont à proscrire si les personnes qui y participent ne sont pas déjà confinées ensemble. Bref, sexualité et pandémie ne font pas si bon ménage. Mais, il y a d’autres façons d’avoir du plaisir.»
Parce que le coronavirus se transmet principalement par des contacts rapprochés, «lors d’une relation sexuelle, les risques sont très élevés de passer le virus. Conséquemment, les contacts physiques intimes sont à proscrire si les personnes qui y participent ne sont pas déjà confinées ensemble. Bref, sexualité et pandémie ne font pas si bon ménage. Mais, il y a d’autres façons d’avoir du plaisir.»