Faut-il penser que la participation à cette épreuve, pourtant inscrite au calendrier de notre sélection a été négligée au point de n’avoir pas mis au budget de la LFM une ligne à cet effet. Une ligne budgétaire permettant de faire une projection bien étudiée, sur le coût de la campagne de nos footballeurs du « Club Martinique » de la sélection ?
C’est un secret de polichinelle que de dire qu’il y avait lieu de mettre une cellule de réflexion et de recherches de partenaires privés et publics, même si la conjoncture est difficile et plus qu’avant, de préparer des dossiers de subventions auprès des collectivités et instances du sport.
On est à moins de 90 jours de la Gold Cup, c’est ahurissant de constater que le fric fait défaut !
Faut-il penser que notre football avance au gré du vent, chez nous se dit : « Sé silon van latjé poul panché ».
En clair, cela voudrait dire que si les sommes attendues n’arrivent pas, la sélection déclarera forfait.
Au moment où la Ligue de Football de Martinique fait feu de tout bois pour se faire admettre à part entière à la FIFA, et profiter des mannes financières, au moment où les rencontres ne commencent jamais, ou très rarement à l’heure, au moment où il y a des arbitres ou des assistants qui sont remplacés au pied levé, au moment où les commissions compétentes ne sont pas en mesure de régler un litige en un temps correct, comme celui qui oppose l’Essor Préchotin et le RC Saint Joseph, deux mois d’attente, et si ce lige était intervenu à la dernière journée ! Comment ferait-on le calendrier de la saison à venir?
Il est normal qu’on se pose des questions, au moment où les stades se vident chaque saison un peu plus, pour défaut de confort pour les spectateurs.
Et pourquoi un défaut de confort dans beaucoup de stades ? Certainement par une absence cruelle de relations de concertations entre la LFM, les Clubs de foot, et les collectivités communales.
Depuis plus de 12 ans le club le plus titré de la LFM et de l’Outremer ne fait plus recette à domicile, la faute à la tribune principale découverte, les joueurs privés de l’éclairage, les fans du foot se lassent d’aller au match en diurne dans une tribune avec un parasol ou un parapluie.
Une situation incroyable en 2019, car il y a plus de 15 ans le Club phare de l’Outremer a connu beaucoup mieux que ces pauvres installations actuelles, qui tombent en poussière.
Le Club Franciscain n’est pas en mesure de recevoir à domicile pour les rencontres de coupe de France à un certain niveau, les installations ne répondant pas aux normes exigées, comme il ne reçoit pas lors des matchs de Concacaf, ne satisfaisant pas au cahier des charges.
La commune du François est désespérément aux abonnés absents, avec ses plus de 20 mille habitants.
Et pourtant tout le monde est heureux, pose avec les Verts et Noirs lorsqu’ils rentrent avec le trophée de Champion des amateurs de la Concacaf.
Il y a plus de 20 ans c’est au Stade municipal du François que la JA Trénelle de feu Président Géryl avait battu en coupe de France En Avant de Guingamp, club professionnel
Et si le Club Franciscain voit ses recettes en chute libre, les conséquences sont identiques pour la LFM.
Bref, il y a un énorme déficit de communication, de travail en commun avec les clubs et les collectivités pour faire avancer la situation de notre football.
La LFM semble fonctionner en vase clos, en dehors des réalités du football.
Que dire des pelouses ? Difficile d’admettre qu’on puisse faire évoluer des footballeurs sur des surfaces pour des cabris, et non une pelouse destinée aux footballeurs, l’entraineur du Club Colonial a jugé impraticable la pelouse de Saint Joseph, et bientôt les clubs de la localité en pâtiront.
Est-il normal que le Club Franciscain dispute une dizaine de matches en moins d’un mois, en totale contravention avec les mesures sanitaires sportives, et cela, tout simplement par une absence évidente d’harmonisation des calendriers de la LFM, avec la Caraïbe.
Rien n’est facile mais quand ça recule au lieu de progresser, il y a lieu de se poser les bonnes questions.
Alors, faut-il s’inquiéter de la réponse d’un haut dirigeant de la Ligue à un journaliste qui lui a posé la question : « C’est le Club Franciscain qui a voulu y participer » répondit-il !
En clair, c’est leur problème, pas celui de la LFM.
Pourtant ce dirigeant du football martiniquais ne peut ignorer que plus de 50% de l’effectif du Club Franciscain se retrouve à défendre les couleurs de la Sélection, et qu’il est important de préserver l’état de forme et de santé de ces joueurs
Où est donc l’erreur ?
Après les chaines de télévision, un appel aux dons pour le football, on aura tout vu et tout entendu dans ce pays Martinique !
On est à moins de 90 jours de la Gold Cup, c’est ahurissant de constater que le fric fait défaut !
Faut-il penser que notre football avance au gré du vent, chez nous se dit : « Sé silon van latjé poul panché ».
En clair, cela voudrait dire que si les sommes attendues n’arrivent pas, la sélection déclarera forfait.
Au moment où la Ligue de Football de Martinique fait feu de tout bois pour se faire admettre à part entière à la FIFA, et profiter des mannes financières, au moment où les rencontres ne commencent jamais, ou très rarement à l’heure, au moment où il y a des arbitres ou des assistants qui sont remplacés au pied levé, au moment où les commissions compétentes ne sont pas en mesure de régler un litige en un temps correct, comme celui qui oppose l’Essor Préchotin et le RC Saint Joseph, deux mois d’attente, et si ce lige était intervenu à la dernière journée ! Comment ferait-on le calendrier de la saison à venir?
Il est normal qu’on se pose des questions, au moment où les stades se vident chaque saison un peu plus, pour défaut de confort pour les spectateurs.
Et pourquoi un défaut de confort dans beaucoup de stades ? Certainement par une absence cruelle de relations de concertations entre la LFM, les Clubs de foot, et les collectivités communales.
Depuis plus de 12 ans le club le plus titré de la LFM et de l’Outremer ne fait plus recette à domicile, la faute à la tribune principale découverte, les joueurs privés de l’éclairage, les fans du foot se lassent d’aller au match en diurne dans une tribune avec un parasol ou un parapluie.
Une situation incroyable en 2019, car il y a plus de 15 ans le Club phare de l’Outremer a connu beaucoup mieux que ces pauvres installations actuelles, qui tombent en poussière.
Le Club Franciscain n’est pas en mesure de recevoir à domicile pour les rencontres de coupe de France à un certain niveau, les installations ne répondant pas aux normes exigées, comme il ne reçoit pas lors des matchs de Concacaf, ne satisfaisant pas au cahier des charges.
La commune du François est désespérément aux abonnés absents, avec ses plus de 20 mille habitants.
Et pourtant tout le monde est heureux, pose avec les Verts et Noirs lorsqu’ils rentrent avec le trophée de Champion des amateurs de la Concacaf.
Il y a plus de 20 ans c’est au Stade municipal du François que la JA Trénelle de feu Président Géryl avait battu en coupe de France En Avant de Guingamp, club professionnel
Et si le Club Franciscain voit ses recettes en chute libre, les conséquences sont identiques pour la LFM.
Bref, il y a un énorme déficit de communication, de travail en commun avec les clubs et les collectivités pour faire avancer la situation de notre football.
La LFM semble fonctionner en vase clos, en dehors des réalités du football.
Que dire des pelouses ? Difficile d’admettre qu’on puisse faire évoluer des footballeurs sur des surfaces pour des cabris, et non une pelouse destinée aux footballeurs, l’entraineur du Club Colonial a jugé impraticable la pelouse de Saint Joseph, et bientôt les clubs de la localité en pâtiront.
Est-il normal que le Club Franciscain dispute une dizaine de matches en moins d’un mois, en totale contravention avec les mesures sanitaires sportives, et cela, tout simplement par une absence évidente d’harmonisation des calendriers de la LFM, avec la Caraïbe.
Rien n’est facile mais quand ça recule au lieu de progresser, il y a lieu de se poser les bonnes questions.
Alors, faut-il s’inquiéter de la réponse d’un haut dirigeant de la Ligue à un journaliste qui lui a posé la question : « C’est le Club Franciscain qui a voulu y participer » répondit-il !
En clair, c’est leur problème, pas celui de la LFM.
Pourtant ce dirigeant du football martiniquais ne peut ignorer que plus de 50% de l’effectif du Club Franciscain se retrouve à défendre les couleurs de la Sélection, et qu’il est important de préserver l’état de forme et de santé de ces joueurs
Où est donc l’erreur ?
Après les chaines de télévision, un appel aux dons pour le football, on aura tout vu et tout entendu dans ce pays Martinique !