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Le Président de la République disait ne pas connaitre cet écusson, mais qu'il s'engagerait à tout faire pour se renseigner et agir en conséquence s' il était avéré que ce qu'on lui disait était vrai.
kom di ki fèt ! Quelques jours après, le Préfet de la Martinique annonçait la fin de l’existence légale de cet écusson sur tous les uniformes et sur tous les bâtiments publics.
Il se trouve et on ne sait pourquoi, une entreprise de vente de souvenirs tropicaux installée en Guadeloupe, n'a rien trouvé à faire de mieux que de se constituer un stock invraisemblable de produits estampillés à ce symbole détestable.
Depuis quelques jours, la frange révolutionnaire panafricaniste de Martinique est en chasse contre tous ceux qui vendent ces objets. Il est curieux que des commerçants et pas de moindres, ne soient au courant de ce que représente ce symbole.
Il est donc conseillé de détruire ce stock d'objets qui indisposent une partie de la population et de considérer ces objets comme inconvenants.
Nous joignons à cet article la marche organisée par des activistes qui entendent également faire respecter la décision du Président en prenant soin de vous dire qu'il s'agit des images de l'organisation elle-même. Ces militants entendent également ne pas se laisser récupérer par des médias qui récupèrent leurs images sans préciser de qui sont ces images, mieux, qui estampillent de leur logo des images récupérées.
Il se trouve et on ne sait pourquoi, une entreprise de vente de souvenirs tropicaux installée en Guadeloupe, n'a rien trouvé à faire de mieux que de se constituer un stock invraisemblable de produits estampillés à ce symbole détestable.
Depuis quelques jours, la frange révolutionnaire panafricaniste de Martinique est en chasse contre tous ceux qui vendent ces objets. Il est curieux que des commerçants et pas de moindres, ne soient au courant de ce que représente ce symbole.
Il est donc conseillé de détruire ce stock d'objets qui indisposent une partie de la population et de considérer ces objets comme inconvenants.
Nous joignons à cet article la marche organisée par des activistes qui entendent également faire respecter la décision du Président en prenant soin de vous dire qu'il s'agit des images de l'organisation elle-même. Ces militants entendent également ne pas se laisser récupérer par des médias qui récupèrent leurs images sans préciser de qui sont ces images, mieux, qui estampillent de leur logo des images récupérées.
Nous entendons également indiquer à cette occasion, que si notre média a pu poser une question au Président sur ce sujet qui a purgé la question, nous n'entendons pas considérer que nous sommes les seuls à avoir résolu la question.
C'est l'action d'un certain militantisme engagé que nous avons entendu , ce qui nous aura permis par ancrage dans l'actualité de poser un question qui taraudait bon nombre de militants fussent-ils des activistes révolutionnaires. Aussi nous rappelons à nos lecteurs qu'un média engagé est un média où les lecteurs s'engagent, notamment à partager les informations qu'ils connaissent.
Vous pouvez faire de même en cliquant ici
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