Et puis il y eut l’affaire avec la ville, où disait on que c’était à la mairie de faire le nécessaire, pour ce qui était de faire fonctionner tout cet appareillage, sans lequel rien ne pouvait se mettre en branle. Ce système de gestion entre les usagers de la route et les bus prioritaires du TCSP a montré ses limites, une catastrophe économique.
Passons les épisodes intermédiaires, de batail de leadership politique, tous plus cocasses les uns que les autres, jusqu’à l’avènement du comité d’usagers monté pour obliger nos élus à sortir d’une guerre de tranché politique.
Les Martiniquais avaient pensé que la marche à blanc suffirait. La date du 1er septembre a même été annoncée. Alors comment comprendre maintenant, que l’on nous parle de prix de tickets, de fréquence de passage, et de condition d’exploitation.
Cette fois nous avons compris, nos élus ne sont pas en guerre finalement, ils sont simplement prix en flagrant délit d’inaptitude. Comment pouvez-vous comprendre, que ces gens qui peuvent refuser de donner une subvention à un petit artisan, parce qu’il lui manque dans son dossier le prix auquel il va acheter ses briques à la poterie des trois îlets, engagent 400 millions d’€ d’investissement dont des fonds européens, sans connaître le coup final du ticket de bus?
Nous sommes bluffés par tant d’impuissance, aveuglé par tant d’insuffisance, submergé par autant d’impossibilités. N’est pas cela que l’on appelle l’incompétence.
Nous avons appris que les ordonnances sur le code du travail prévoyaient un plafonnement des indemnités prud’homales, en cas de litiges. Savez-vous que pour licencier un politique cela ne coûte rien? Il suffit d’attendre. Si nos élus ne sont pas capables de faire démarrer un TCSP, comment, nous-pouvons considérer qu’ils seront capables de faire décoller un pays.
Finalement, la MARTINIQUE avance, mais c’est dans le mur que nous fonçons avec ces messieurs-dames.
Passons les épisodes intermédiaires, de batail de leadership politique, tous plus cocasses les uns que les autres, jusqu’à l’avènement du comité d’usagers monté pour obliger nos élus à sortir d’une guerre de tranché politique.
Les Martiniquais avaient pensé que la marche à blanc suffirait. La date du 1er septembre a même été annoncée. Alors comment comprendre maintenant, que l’on nous parle de prix de tickets, de fréquence de passage, et de condition d’exploitation.
Cette fois nous avons compris, nos élus ne sont pas en guerre finalement, ils sont simplement prix en flagrant délit d’inaptitude. Comment pouvez-vous comprendre, que ces gens qui peuvent refuser de donner une subvention à un petit artisan, parce qu’il lui manque dans son dossier le prix auquel il va acheter ses briques à la poterie des trois îlets, engagent 400 millions d’€ d’investissement dont des fonds européens, sans connaître le coup final du ticket de bus?
Nous sommes bluffés par tant d’impuissance, aveuglé par tant d’insuffisance, submergé par autant d’impossibilités. N’est pas cela que l’on appelle l’incompétence.
Nous avons appris que les ordonnances sur le code du travail prévoyaient un plafonnement des indemnités prud’homales, en cas de litiges. Savez-vous que pour licencier un politique cela ne coûte rien? Il suffit d’attendre. Si nos élus ne sont pas capables de faire démarrer un TCSP, comment, nous-pouvons considérer qu’ils seront capables de faire décoller un pays.
Finalement, la MARTINIQUE avance, mais c’est dans le mur que nous fonçons avec ces messieurs-dames.