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07/01/2022 16:09 - Victor HAUTEVILLE
Certains veulent résumer les recherches de Monsieur MARIE LUCE, à un vulgaire lit parasismique, capable de sauver des personnes âgées malades et alitées.
D’autres, ceux qui peuvent permettre au vrai projet de se réaliser, font la sourde oreille. On peut se demander pourquoi ? Est-ce parce qu’il n’est pas ingénieur, architecte, ou qu’il ne fait pas partie des personnes entrant à l’Élysée sans pièce d’identité. Est-ce encore parce que son invention dérange et conduirait, à l’augmentation des coûts de la construction. Voici plus de 10 ans que cet inventeur Martiniquais a trouvé l’idée la plus adaptée pour répondre aux risques cycloniques, parasismiques, et environnementaux. De toute nature. Et personne ne semble vouloir l’entendre.
Mais de quoi s’agit-il ? Emanuel Marie-Luce a inventé un concept de salle de confinement de proximité. Quand un événement vous surprend dans votre maison, il considère que vous n’avez pas plus de 20 secondes pour chercher à vous protéger. Son invention consisterait à ce que cette salle de confinement soit intégrée à la maison. Elle servirait de refuge en cas de danger. C’est comme si vous aviez un conteneur dans une maison pour vous protéger.
Il envisage de plus dans cet espace de confinement, des aménagements de survie. Eau, groupe électrique, dépollueur d’eau. Les papiers importants seraient ainsi mis à l’abri. Il ne serait plus nécessaire de voler la nourriture et dévaliser son compatriote pour survivre après le passage des phénomènes dévastateurs. Certaines options pourraient même permettre à une famille de se protéger du feu, en adaptant les matériaux à ce risque. Il rajoute enfin qu’il faut adapter ces caissons de confinement au logement social.
Alors pourquoi cet inventeur n’est-il pas entendu ? On pourrait croire que ceux qui construisent pour faire des affaires n’auraient pas pour première préoccupation de votre sécurité. Mais comment expliquer que ceux qui construisent pour eux, la maison de leur rêve ne soient pas non plus vigilants ?
En définitive, si personne n’entend Emanuel MARIE-LUCE, hommes d’affaires, influenceurs, politiques, et consommateurs, c’est tout simplement par arrogance. Un manque d’humilité face à la nature. Quand un rat ou un oiseau construisent leur maison, leur instinct est d’abord de se mettre en sécurité.
Une belle maison, c’est avant tout une cachette sûre. Quel jour le comprendrons-nous, pour agir en conséquence ?
Mais de quoi s’agit-il ? Emanuel Marie-Luce a inventé un concept de salle de confinement de proximité. Quand un événement vous surprend dans votre maison, il considère que vous n’avez pas plus de 20 secondes pour chercher à vous protéger. Son invention consisterait à ce que cette salle de confinement soit intégrée à la maison. Elle servirait de refuge en cas de danger. C’est comme si vous aviez un conteneur dans une maison pour vous protéger.
Il envisage de plus dans cet espace de confinement, des aménagements de survie. Eau, groupe électrique, dépollueur d’eau. Les papiers importants seraient ainsi mis à l’abri. Il ne serait plus nécessaire de voler la nourriture et dévaliser son compatriote pour survivre après le passage des phénomènes dévastateurs. Certaines options pourraient même permettre à une famille de se protéger du feu, en adaptant les matériaux à ce risque. Il rajoute enfin qu’il faut adapter ces caissons de confinement au logement social.
Alors pourquoi cet inventeur n’est-il pas entendu ? On pourrait croire que ceux qui construisent pour faire des affaires n’auraient pas pour première préoccupation de votre sécurité. Mais comment expliquer que ceux qui construisent pour eux, la maison de leur rêve ne soient pas non plus vigilants ?
En définitive, si personne n’entend Emanuel MARIE-LUCE, hommes d’affaires, influenceurs, politiques, et consommateurs, c’est tout simplement par arrogance. Un manque d’humilité face à la nature. Quand un rat ou un oiseau construisent leur maison, leur instinct est d’abord de se mettre en sécurité.
Une belle maison, c’est avant tout une cachette sûre. Quel jour le comprendrons-nous, pour agir en conséquence ?
le 11/09/2017 à 04:00
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Avec les réseaux sociaux qui par Internet vous livrent la violence sur tous les écrans disponibles dans la maison, on peut se demander si le sentiment d’insécurité, n’est pas disproportionné par rapport à la réalité.
Concernant les chiffres, les syndicats de la police affirment que la MARTINIQUE, la GUADELOUPE, la GUYANE, constitueraient le trio de tête des régions, les plus dangereuses. Mais comment croire que la ville de Fort-de-France serait plus dangereuse que MARSEILLE. N’est pas à MARSEILLE que certains cinéastes en quête de ville mythiquement mafieuse, ont préféré tourner certaines scènes de films périlleux.
Alors, la MARTINIQUE serait elle devenue un repère de bandits ? Ce qui caractérise ici les fait de violence, c’est qu’ils sont produits par une bande de petits malfrats, sans grande envergure. Si tous sont des délinquants beaucoup d’entre, eux sont connus pour des affaires de stupéfiants. Certains faisant commerce sous les abris bus aux yeux de tous. Ils n’ont jamais connu le chemin d’une entreprise. Ils fondent des familles par procuration en laissant à des mamies le soin de faire grandir leur progéniture pendant qu’ils croupissent dans les prisons.
Mais tout de même, que se sera-t-il passé pour que d’un coup les choses basculent irrémédiablement. Car les chiffres sont indiscutables. Toutes proportions gardées on a plus de chance de se faire dévaliser en MARTINIQUE, sous les cocotiers. C’est pourtant un pays qui veut faire du tourisme son fondement économique.
Le plus grave arrive, quand la violence gagne les campagnes, et quand on vous vole le fruit de votre travail. Au Saint-Esprit, un vergé planté en citronnier à été dévasté. À Carrère une entreprise à été défoncée plus de 15 000 € de matériel en tous genres se sont volatilisés dans la nature. L’artisan s’est retrouvé incapable d’arracher un clou. A rivière pilote un libre service sera dévalisé au coutelas.
Cela ne peut plus durer. N’est-ce pas le moment de se demander à qui la responsabilité revient, de faire revenir l’ordre en MARTINIQUE ?
Alors, la MARTINIQUE serait elle devenue un repère de bandits ? Ce qui caractérise ici les fait de violence, c’est qu’ils sont produits par une bande de petits malfrats, sans grande envergure. Si tous sont des délinquants beaucoup d’entre, eux sont connus pour des affaires de stupéfiants. Certains faisant commerce sous les abris bus aux yeux de tous. Ils n’ont jamais connu le chemin d’une entreprise. Ils fondent des familles par procuration en laissant à des mamies le soin de faire grandir leur progéniture pendant qu’ils croupissent dans les prisons.
Mais tout de même, que se sera-t-il passé pour que d’un coup les choses basculent irrémédiablement. Car les chiffres sont indiscutables. Toutes proportions gardées on a plus de chance de se faire dévaliser en MARTINIQUE, sous les cocotiers. C’est pourtant un pays qui veut faire du tourisme son fondement économique.
Le plus grave arrive, quand la violence gagne les campagnes, et quand on vous vole le fruit de votre travail. Au Saint-Esprit, un vergé planté en citronnier à été dévasté. À Carrère une entreprise à été défoncée plus de 15 000 € de matériel en tous genres se sont volatilisés dans la nature. L’artisan s’est retrouvé incapable d’arracher un clou. A rivière pilote un libre service sera dévalisé au coutelas.
Cela ne peut plus durer. N’est-ce pas le moment de se demander à qui la responsabilité revient, de faire revenir l’ordre en MARTINIQUE ?
Ils nous ont fait le coup des bus aménagés, qui à peine sortie du bateau était dans les rues de la ville. Il fallait faire tellement faire vite de les faire rouler, qu’une équipe de chômeurs avait été embauchée en toute hâte, afin de remplacer en attendant des feux rouges, qui eux n’étaient même pas encore commandés.
Et puis il y eut l’affaire avec la ville, où disait on que c’était à la mairie de faire le nécessaire, pour ce qui était de faire fonctionner tout cet appareillage, sans lequel rien ne pouvait se mettre en branle. Ce système de gestion entre les usagers de la route et les bus prioritaires du TCSP a montré ses limites, une catastrophe économique.
Passons les épisodes intermédiaires, de batail de leadership politique, tous plus cocasses les uns que les autres, jusqu’à l’avènement du comité d’usagers monté pour obliger nos élus à sortir d’une guerre de tranché politique.
Les Martiniquais avaient pensé que la marche à blanc suffirait. La date du 1er septembre a même été annoncée. Alors comment comprendre maintenant, que l’on nous parle de prix de tickets, de fréquence de passage, et de condition d’exploitation.
Cette fois nous avons compris, nos élus ne sont pas en guerre finalement, ils sont simplement prix en flagrant délit d’inaptitude. Comment pouvez-vous comprendre, que ces gens qui peuvent refuser de donner une subvention à un petit artisan, parce qu’il lui manque dans son dossier le prix auquel il va acheter ses briques à la poterie des trois îlets, engagent 400 millions d’€ d’investissement dont des fonds européens, sans connaître le coup final du ticket de bus?
Nous sommes bluffés par tant d’impuissance, aveuglé par tant d’insuffisance, submergé par autant d’impossibilités. N’est pas cela que l’on appelle l’incompétence.
Nous avons appris que les ordonnances sur le code du travail prévoyaient un plafonnement des indemnités prud’homales, en cas de litiges. Savez-vous que pour licencier un politique cela ne coûte rien? Il suffit d’attendre. Si nos élus ne sont pas capables de faire démarrer un TCSP, comment, nous-pouvons considérer qu’ils seront capables de faire décoller un pays.
Finalement, la MARTINIQUE avance, mais c’est dans le mur que nous fonçons avec ces messieurs-dames.
Passons les épisodes intermédiaires, de batail de leadership politique, tous plus cocasses les uns que les autres, jusqu’à l’avènement du comité d’usagers monté pour obliger nos élus à sortir d’une guerre de tranché politique.
Les Martiniquais avaient pensé que la marche à blanc suffirait. La date du 1er septembre a même été annoncée. Alors comment comprendre maintenant, que l’on nous parle de prix de tickets, de fréquence de passage, et de condition d’exploitation.
Cette fois nous avons compris, nos élus ne sont pas en guerre finalement, ils sont simplement prix en flagrant délit d’inaptitude. Comment pouvez-vous comprendre, que ces gens qui peuvent refuser de donner une subvention à un petit artisan, parce qu’il lui manque dans son dossier le prix auquel il va acheter ses briques à la poterie des trois îlets, engagent 400 millions d’€ d’investissement dont des fonds européens, sans connaître le coup final du ticket de bus?
Nous sommes bluffés par tant d’impuissance, aveuglé par tant d’insuffisance, submergé par autant d’impossibilités. N’est pas cela que l’on appelle l’incompétence.
Nous avons appris que les ordonnances sur le code du travail prévoyaient un plafonnement des indemnités prud’homales, en cas de litiges. Savez-vous que pour licencier un politique cela ne coûte rien? Il suffit d’attendre. Si nos élus ne sont pas capables de faire démarrer un TCSP, comment, nous-pouvons considérer qu’ils seront capables de faire décoller un pays.
Finalement, la MARTINIQUE avance, mais c’est dans le mur que nous fonçons avec ces messieurs-dames.
Pour comprendre ces élections sénatoriales, il convient de comprendre les différents enjeux. Simple me direz-vous, mais pas aussi évident que cela en définitive.
Pour résumer, voyons les enjeux.
Pour certains politiques, les maires en particulier, il convient pour eux d’éviter le couperet MACRON qui envisage de limiter le mandat de Maire à deux mandats maximum. Persuadés que cette disposition sera opérationnelle avant les nouvelles élections municipales certains veulent se mettre à l’abri par l’obtention d’un mandat de sénateur.
C’est le cas dans le Nord, où une idée a émergé ; Il faut que le Nord cesse d’être le porteur d’eau du centre, et le Nord doit avoir un sénateur. Cette idée est portée par Nestor AZEROT, le nouveau député du NORD. Les maires du Morne-Rouge, de Shoelcher, du Robert, du Macouba et de Saint Joseph ont entendu ce message. Donc, ils sont tous candidats.
Lequel d’entre eux sera le gagnant à cette heure personne ne peut le dire. Ce que nous pouvons vous affirmer, c’est que Jenny Dulisse a déjà jeté l’éponge.Les mieux placés seraient Fred Monthieux, ou Atanas Jeanne Rose qui aurait la préférence de BNA.
Le second enjeu est la recomposition du PPM. Cette organisation a un nombre de candidats incalculable. Dans les plus inattendus la candidature du patron de l’Aéroport Aimé Césaire. On peut effectivement se demander ce que ce monsieur a fait pour le peuple. La moins surprenante des candidatures est celle de Catherine Conconne. Si cette candidature est justifiée pour ne pas créer un schisme au PPM, il n’est pas dit que les alliés supportent cette candidature. En plus pour certains adversaires, il ne serait pas inintéressant de laisser au Président du PPM une grenade dégoupillée.
Le résultat de la primaire au PPM est déjà contestée. Organisée par l’actuel secrétaire dans une ambiance à couteaux tirés, cette mascarade montre bien qu’il n’y a plus un vrai chef au PPM, mais une armée de mutins. Cette hypocrisie va laisser des traces. À notre avis il s’ensuivra des remises de tabliers, et pas des moindres !
Enfin, le troisième enjeu est de savoir ce qui va se passer dans le groupe des divers gauches, dont ceux du MIM, du RDM, et autres makak de circonstance. Si ce groupe même avec la droite ne peut envisager seul d’obtenir une majorité, il peut mettre la zizanie.
À cette heure personne n’a les résultats de l’équation. Mais le contexte, c’est-à-dire, le moment, l’actualité peut tout changer.
Observez… Pour se faire oublier Catherine Conconne ne communique même plus sur son blog AU PAYS. C’est avec ce même blog qu’elle risque de faire dérailler la machine s’il s’avérait qu’on lui fasse un nouvelle entourloupe. Elle détient suffisamment de secrets pour faire exploser la machine, même si cette fois elle risque de se faire sauter avec.
Autrement dit le seul vrai enjeu de cette élection sénatoriale sera de savoir si Catherine Conconne qui s’est officiellement pour la seconde fois, déclarée candidate à une éléction, sera défendue cette fois par son chef à qui elle aura tout donné !
C’est le cas dans le Nord, où une idée a émergé ; Il faut que le Nord cesse d’être le porteur d’eau du centre, et le Nord doit avoir un sénateur. Cette idée est portée par Nestor AZEROT, le nouveau député du NORD. Les maires du Morne-Rouge, de Shoelcher, du Robert, du Macouba et de Saint Joseph ont entendu ce message. Donc, ils sont tous candidats.
Lequel d’entre eux sera le gagnant à cette heure personne ne peut le dire. Ce que nous pouvons vous affirmer, c’est que Jenny Dulisse a déjà jeté l’éponge.Les mieux placés seraient Fred Monthieux, ou Atanas Jeanne Rose qui aurait la préférence de BNA.
Le second enjeu est la recomposition du PPM. Cette organisation a un nombre de candidats incalculable. Dans les plus inattendus la candidature du patron de l’Aéroport Aimé Césaire. On peut effectivement se demander ce que ce monsieur a fait pour le peuple. La moins surprenante des candidatures est celle de Catherine Conconne. Si cette candidature est justifiée pour ne pas créer un schisme au PPM, il n’est pas dit que les alliés supportent cette candidature. En plus pour certains adversaires, il ne serait pas inintéressant de laisser au Président du PPM une grenade dégoupillée.
Le résultat de la primaire au PPM est déjà contestée. Organisée par l’actuel secrétaire dans une ambiance à couteaux tirés, cette mascarade montre bien qu’il n’y a plus un vrai chef au PPM, mais une armée de mutins. Cette hypocrisie va laisser des traces. À notre avis il s’ensuivra des remises de tabliers, et pas des moindres !
Enfin, le troisième enjeu est de savoir ce qui va se passer dans le groupe des divers gauches, dont ceux du MIM, du RDM, et autres makak de circonstance. Si ce groupe même avec la droite ne peut envisager seul d’obtenir une majorité, il peut mettre la zizanie.
À cette heure personne n’a les résultats de l’équation. Mais le contexte, c’est-à-dire, le moment, l’actualité peut tout changer.
Observez… Pour se faire oublier Catherine Conconne ne communique même plus sur son blog AU PAYS. C’est avec ce même blog qu’elle risque de faire dérailler la machine s’il s’avérait qu’on lui fasse un nouvelle entourloupe. Elle détient suffisamment de secrets pour faire exploser la machine, même si cette fois elle risque de se faire sauter avec.
Autrement dit le seul vrai enjeu de cette élection sénatoriale sera de savoir si Catherine Conconne qui s’est officiellement pour la seconde fois, déclarée candidate à une éléction, sera défendue cette fois par son chef à qui elle aura tout donné !
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