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RACHID ARAHBE SAGE DU CSA OU ENFOIRE DE LA DIVERSITE Par Camille CHAUVET willy
Vraiment ce dénommé mada est pire qu'un morpion au cu... d'un nègre domestique et il voit du mélange partout sans doute un addict à la cocaïne. Vraiment vous devriez shooter son commentaire qui ne porte rien au débat.
Camille Chauvet
Je croyais ce débat arrêté...mais je garde ce site ouvert à tout ceux qui dans le débat ne diffament pas.Donc votre opinion mada-972 sera là.Le Willy comme vous je ne cherche pas à savoir qui sait. Moi, par contre je me fais un point d'honneur de ne jamais visiter un site par l'anonymat.Vous pouvez m'injuriez mada 972 caché sous votre pseudo,mais répondez à mon texte sur le fond !!!
Ossy
Mada 972 tu ne connais pas ce Rachid,c'est un sot prétentieux donc un full-sot et "Un sot sans prétention est moitié moins sot qu'un autre".Ce pseudo sage est une vrai tête de bovin.Vous êrdrez votre temps.
moua
Voici ...pour les apprentis journaliste cooptés....ce qu est un vrai journaliste....Irlandais et droit dans ses bottes lui ...
Alors qu’en France, lors des interventions télévisées du chef de l’Etat, le Monarque choisit parmi ses sujets-journalistes ceux qui auront l’honneur de l’interviewer et que les chaînes de télévision se précipitent pour réserver des faisceaux afin de diffuser au mieux la parole royale dans la France entière. Alors que dans le même temps Les Nouveaux Chiens de Garde qui dénoncent la collusion entre pouvoir, argent et médias est toujours visible dans quelques dizaines de salles en France, un extrait d’une conférence de presse en Irlande nous donne une idée plus claire de la notion d’irrévérence journalistique. Véritable légende du journalisme dans son pays, Vincent Browne, chroniqueur dans plusieurs journaux et animateur de talk-shows politiques durant toute sa carrière, a également lancé un magazine d’investigation dans les années 70. Il a fait sa réputation par sa capacité à déstabiliser des politiciens expérimentés lors de son émission Tonight with Vincent Browne. Le 19 janvier, c’est le représentant de la BCE Klaus Masuch qui a été la victime de l’insistance du journaliste. Interrogé sur la légitimité et la rigueur du plan de sauvetage mis au point par la Banque Centrale Européenne, la main sur le cœur, Klaus Masuch s’est dit impressionné par l’attitude et la compréhension du secteur financier avant d’ajouter que le chauffeur de taxi qui l’amenait de l’aéroport lui avait paru « très très bien informé. Je pense que c’est un bon signe qui prouve que le débat est ouvert ». Le conte de fées du taxi irlandais Dossier - La Grèce en faillite Une banque pour les PME ? Une nouvelle crise des subprimes ! « Entre farine et poudreuse, les Grecs déneigent par leurs propres moyens » Si on perçoit quelques rires dans la salle de presse, Vincent Brown entend en savoir plus sur l’échange du représentant de la BCE avec son chauffeur de taxi : « Est-ce que votre chauffeur de taxi vous a dit à quel point le peuple Irlandais reste perplexe qu’on nous demande de payer à des porteurs de bons non garantis des milliards d’euros en dettes pour lesquelles le peuple irlandais n’a aucune relation, ni aucun rapport. Et, ce, essentiellement pour renflouer ou pour assurer la solvabilité de banques européennes. Et si votre chauffeur de taxi vous a posé cette question ou s’il vous l’avait posée quelle aurait été votre réponse ? ». La responsable des relations de presse de la BCE demandera à Vincent Browne de poser immédiatement sa deuxième question et de rendre son micro histoire d’en finir le plus vite possible. Tenace, le journaliste refusera d’obtempérer pour être bien sûr d’obtenir une réponse précise pour son chauffeur de taxi. Klaus Masuch a déjà oublié son conte de fées et son taxi s’est transformé en citrouille. Le représentant de la BCE se perd dans un argumentaire des plus flous hésitant entre la langue de bois technocratique, la complexité du monde contemporain et un brin de compréhension pour le peuple qui souffre avant de conclure brutalement : « La décision a été difficile à prendre mais c’est la décision que nous avons prise ». L'Etat Irlandais menacé d'une explosion financière L’échange fait référence à une banque Irlandaise, l’Anglo Irish Bank, en faillite qui pendant plusieurs années a affiché des pertes supérieures à dix milliards d’euros, et dont le coût du plan de sauvetage est estimé à 30 milliards d’euros. L’Anglo Irish Bank est plombée par des actifs «pourris» détenus par des créanciers privés. Complètement démantelée, rebaptisée IRBC, la banque n’a aujourd’hui plus de clients mais l'Etat irlandais continue de rembourser à coup de milliards ses créanciers privés sous peine « d’une explosion financière à Dublin ». Pour Vincent Brown, le chauffeur de taxi n’en sait toujours pas assez. Il revient à la charge pour tenter de comprendre pourquoi le peuple irlandais se doit de payer pour une banque défunte « expliquez cette situation au chauffeur de taxi ? » insiste-t-il. Faisant mine d’avoir répondu, Klaus Masuch ignore la question. Le journaliste ne lâche rien : « Vous exigez que soient faits des paiements, non pour le bénéfice du peuple irlandais mais au bénéfice d’institutions financières européennes. Vous avez donné une réponse qui ne répond pas à la question, qui ne satisferait ni le chauffeur de taxi, ni le peuple irlandais ! ». L'histoire ne dit pas si au retour, le représentant de la BCE a confié ses états d'âmes à un taxi ou à un ambulancier. remi
Monsieur CHAUVET, je suis un fidèle lecteur de votre blog car il m'interpelle, me scandalise par ses positions xénophobes et parfois me divertit.
Aussi, je me permets de vous indiquer que la qualité de votre blog ne serait nullement affectée si vous pouviez acquérir un niveau d'orthographe proche de celui d'un élève de CM2. J'ai encore mal aux yeux. " Bien sûr c’était l’occasion rêvée pour que certains médias relèvent, n’ont pas le comportement..." |