Yolaine Poletti-Duflo prend la tête de Martinique 1ère Yolaine Poletti-Duflo a succédé lundi 4 décembre à Augustin Hoareau au poste de directrice régionale de Martinique 1ère. Elle devra mener de front deux gros chantiers, le déménagement à la tour à Fort-de-France l'an prochain, mais aussi la convergence des différents services.
C'est ce que nous apprenons par le site de Martinique Première. Mais vous n'ignorez pas que le grand projet de la station de Clairière, c'est son déménagement à la Tour LUMINA, en plein cœur de Fort-de-France.
On peut à cette occasion se demander qui sont les grands GRECS qui ont pris la décision de mettre la station face à la mer , en zone liquéfiable et aux étages, dans un pays où le bon sens devrait faire mettre tous les services d'urgence en hauteur et à pieds secs. Les derniers assauts de vagues ces jours derniers, laissent imaginer comment le personnel va pouvoir regagner leurs postes de travail en cas de catastrophe forcément prévisible. Mais rassurez vous, ce n'est pas la faute de la nouvelle directrice. Elle elle pense sans manman à son déboulé, comme si elle ne s'était pas aperçue qu'elle était au pays des vidés et des mangoustes.
Quant à l'analyse de Madame, la directrice sur l'existant, on se satisfait qu'elle reconnaisse le travail réalisé sur le digital qui est en train de donner une vraie vigueur à la machine dont elle a la charge. Enfin sur la question de la convergence entre médias, elle a tout à fait raison de parler de complémentarité entre supports le futur est là. Cela montre la faiblesse des autres premiers supports qui sont restés sur leur métier de base incapables de comprendre que le futur est dans la transition numérique. Il suffit de regarder ce qui est arrivé à France Antilles. Dernier point sur cette première prise de parole enthousiaste, pensez à construire l'écosystème autour de la station de clairière , en continuant de faire appel aux structures privées, qui tournent autour du monde de l'organisation événementielle, des comités régionaux et organisations culturelles qui font tout pour faire émerger une filière culturelle et sportive.
Si nous nous permettons de donner notre avis c’est pour rappeler aux uns et aux autres que c’est avec l’argent de notre redevance entre autre, qu’ils bénéficient seuls, de ces conditions de travail. Certains qui ont entendu le terme boulé ont déjà pris, rendez pour l’inauguration de la station d’Etat en espérant que le rhum va couler, comme pour un chanté Noel.
Bienvenue donc à madame la directrice au pays des vidés, des bagay et pas bitin !
On peut à cette occasion se demander qui sont les grands GRECS qui ont pris la décision de mettre la station face à la mer , en zone liquéfiable et aux étages, dans un pays où le bon sens devrait faire mettre tous les services d'urgence en hauteur et à pieds secs. Les derniers assauts de vagues ces jours derniers, laissent imaginer comment le personnel va pouvoir regagner leurs postes de travail en cas de catastrophe forcément prévisible. Mais rassurez vous, ce n'est pas la faute de la nouvelle directrice. Elle elle pense sans manman à son déboulé, comme si elle ne s'était pas aperçue qu'elle était au pays des vidés et des mangoustes.
Quant à l'analyse de Madame, la directrice sur l'existant, on se satisfait qu'elle reconnaisse le travail réalisé sur le digital qui est en train de donner une vraie vigueur à la machine dont elle a la charge. Enfin sur la question de la convergence entre médias, elle a tout à fait raison de parler de complémentarité entre supports le futur est là. Cela montre la faiblesse des autres premiers supports qui sont restés sur leur métier de base incapables de comprendre que le futur est dans la transition numérique. Il suffit de regarder ce qui est arrivé à France Antilles. Dernier point sur cette première prise de parole enthousiaste, pensez à construire l'écosystème autour de la station de clairière , en continuant de faire appel aux structures privées, qui tournent autour du monde de l'organisation événementielle, des comités régionaux et organisations culturelles qui font tout pour faire émerger une filière culturelle et sportive.
Si nous nous permettons de donner notre avis c’est pour rappeler aux uns et aux autres que c’est avec l’argent de notre redevance entre autre, qu’ils bénéficient seuls, de ces conditions de travail. Certains qui ont entendu le terme boulé ont déjà pris, rendez pour l’inauguration de la station d’Etat en espérant que le rhum va couler, comme pour un chanté Noel.
Bienvenue donc à madame la directrice au pays des vidés, des bagay et pas bitin !