Plusieurs avocats dépêchés sur place. Des activités artistiques avec des sons de tambours révolutionnaires et une omni-présence sur les réseaux sociaux...
Curieusement on avait pas entendu parler des RVN depuis le déboulonnage de statues de Schoelcher. Il s'en était suivi une revendication volontaire de ces destructions, et une annulation du procès des militants dit de l’empoisonnement au chloredécone.
En effet il est fait observation par ces personnes engagées sur la défense de la cause martiniquaise ,selon elles, que l'appareil judiciaire en Martinique va de mesure de différenciation à mesure de distanciation. En effet comme ils l'expliquent, quand il s'agit de réprimer les empoisonneurs de la terre martiniquaise, il n'y a ni accusation, ni procès et encore moins de désignation de coupable.
Or toujours selon les militants, il est observé que lorsqu' il s'agit de défoncer au petit matin, les portes de chez des activistes, la force est mobilisée, pour faire entendre raison à ceux qui osent dénoncer le gendarme, ils sont au contact et bandés sur le mouvement.
Nous observons, quant à nous, qu'un trouble grandissant augmente dans le pays, "miganant", réparation, identité, colonialisme, réparation et pouvoir économique dominant. Si le dossier ne devient pas résolument politique, et que des groupes politiques s'en saisissent véritablement, la vie des Martiniquais sera pigmentée de scares de toutes sortes à l'image d'un malade trop longtemps alité. Il se trouve que pour l'heure les activistes préfèrent la voie du maquis à celle des urnes, et que les autorités dont la Préfectorale et la justice, entendent faire rappeler l'état de droit de justement aux moins dociles.
Cette situation gangrène les relations, le pays, et oppose les Martiniquais entre eux, au moment où dans le monde le vent des revendications pour la réparation et la décolonisation est constant. Personne se sait pour l'heure où se terminera ce jeu du crabe et de la ratière, mais tout bon observateur sait que la situation ne peut rester en l'état !
En effet il est fait observation par ces personnes engagées sur la défense de la cause martiniquaise ,selon elles, que l'appareil judiciaire en Martinique va de mesure de différenciation à mesure de distanciation. En effet comme ils l'expliquent, quand il s'agit de réprimer les empoisonneurs de la terre martiniquaise, il n'y a ni accusation, ni procès et encore moins de désignation de coupable.
Or toujours selon les militants, il est observé que lorsqu' il s'agit de défoncer au petit matin, les portes de chez des activistes, la force est mobilisée, pour faire entendre raison à ceux qui osent dénoncer le gendarme, ils sont au contact et bandés sur le mouvement.
Nous observons, quant à nous, qu'un trouble grandissant augmente dans le pays, "miganant", réparation, identité, colonialisme, réparation et pouvoir économique dominant. Si le dossier ne devient pas résolument politique, et que des groupes politiques s'en saisissent véritablement, la vie des Martiniquais sera pigmentée de scares de toutes sortes à l'image d'un malade trop longtemps alité. Il se trouve que pour l'heure les activistes préfèrent la voie du maquis à celle des urnes, et que les autorités dont la Préfectorale et la justice, entendent faire rappeler l'état de droit de justement aux moins dociles.
Cette situation gangrène les relations, le pays, et oppose les Martiniquais entre eux, au moment où dans le monde le vent des revendications pour la réparation et la décolonisation est constant. Personne se sait pour l'heure où se terminera ce jeu du crabe et de la ratière, mais tout bon observateur sait que la situation ne peut rester en l'état !