Tout le monde sait Que les comptes de l'institution sont blindés. et débordent de tune inutilisée. C'est même un argument de campagne.
C'est 10 millions qu'il fallait mettre sur la table et qui serviraient d'amorce au secteur. Et c'est tout un écosystème qui émergerait. Dans les métiers du cinéma il y a plus de 100 spécialités tout le secteur s'épanouirait. La formation par exemple serait avec de telles séries, un terrain d'apprentissage.
Ce n'est pas le choix qui a été fait.
Malgré des efforts innovants comme la mise en place du bureau du cinéma , l'amorçage a été trop faible, et l'impulsion politique timorée. Arrivé en fin de mandature, comme à la mort du dernier propriétaire d'un héritage les enfants se disputent le peu de résultats obtenu et considèrent que l’essentiel doit aller aux Martiniquais. Prétexte électoraliste ou pas, il se trouve que personne n'est satisfait de la répartition. Certains disent que c'est à l'international qu'il faut miser quand d'autres demandent d' écoutez gronder la rue, celle des artistes et autres métiers du spectacle.
Enfin et pour l’anecdote alors que j'assistais à la première de la série à Madiana : Alfred Marie Jeanne avait partagé sa confusion à l'issue de l'extrait .. Il avait dit je cite ," je reste sur ma faim ..." je m'attendais à autre chose , je m’attendais à un je ne sais quoi de plus consistant". Fin de citation. Prenons de la hauteur donc et analysons précisément notre situation si nous voulons faire avancer la Martinique.
Vous voyez à force de faire voir petit on finit par être petit.
Ce n'est pas le choix qui a été fait.
Malgré des efforts innovants comme la mise en place du bureau du cinéma , l'amorçage a été trop faible, et l'impulsion politique timorée. Arrivé en fin de mandature, comme à la mort du dernier propriétaire d'un héritage les enfants se disputent le peu de résultats obtenu et considèrent que l’essentiel doit aller aux Martiniquais. Prétexte électoraliste ou pas, il se trouve que personne n'est satisfait de la répartition. Certains disent que c'est à l'international qu'il faut miser quand d'autres demandent d' écoutez gronder la rue, celle des artistes et autres métiers du spectacle.
Enfin et pour l’anecdote alors que j'assistais à la première de la série à Madiana : Alfred Marie Jeanne avait partagé sa confusion à l'issue de l'extrait .. Il avait dit je cite ," je reste sur ma faim ..." je m'attendais à autre chose , je m’attendais à un je ne sais quoi de plus consistant". Fin de citation. Prenons de la hauteur donc et analysons précisément notre situation si nous voulons faire avancer la Martinique.
Vous voyez à force de faire voir petit on finit par être petit.