Vendredi, le procureur général Faris Al Rawi a présenté le projet de loi sur les amendements aux drogues dangereuses et le projet de loi sur le contrôle du cannabis. La législation vise à réduire les peines de possession et de consommation et à lancer un commerce légal.
Le projet de loi sur les drogues dangereuses autoriserait les personnes à posséder jusqu'à 30 grammes de cannabis ou 5 grammes de résine de cannabis sans subir de procès. La possession de 60 à 100 grammes de résine équivaut à une amende de 739 dollars sans arrestation, punition ou séquestration.Le projet de loi sur le contrôle du cannabis mettrait en place une autorité nationale du cannabis capable de délivrer des licences pour les transformateurs, les cultivateurs, les laboratoires, les détaillants, les transporteurs et les importateurs.
Le procureur général a déclaré devant le Parlement que Trinidad-et-Tobago pourrait économiser jusqu'à 100 millions de dollars en mettant fin à la prohibition du cannabis, permettant ainsi d'économiser les coûts évitables de la détention liée au cannabis et des heures légales.
La question se posera forcément un jour en Martinique, qui ne pourra pas être la seule île à ne pas cultiver le cannabis dans un but thérapeutique. Ceci d'autant que selon un addictologue 8 jeunes Martiniquais sur 10 auraient déjà goûté au cannabis récréatif.
La législation introduite permettrait également aux résidents de cultiver jusqu'à quatre plants de cannabis chez eux, mais uniquement des plantes mâles, qui ne produisent pas de THC, le principe actif produisant un effet psychoactif.
Le procureur général a déclaré devant le Parlement que Trinidad-et-Tobago pourrait économiser jusqu'à 100 millions de dollars en mettant fin à la prohibition du cannabis, permettant ainsi d'économiser les coûts évitables de la détention liée au cannabis et des heures légales.
La question se posera forcément un jour en Martinique, qui ne pourra pas être la seule île à ne pas cultiver le cannabis dans un but thérapeutique. Ceci d'autant que selon un addictologue 8 jeunes Martiniquais sur 10 auraient déjà goûté au cannabis récréatif.
La législation introduite permettrait également aux résidents de cultiver jusqu'à quatre plants de cannabis chez eux, mais uniquement des plantes mâles, qui ne produisent pas de THC, le principe actif produisant un effet psychoactif.