J’avoue avec humilité, ne pas tout comprendre, par ces temps où tout est d’une complexité avancée, peut-être accentuée par la montée dans l’âge, sait-on jamais !
J’avoue ne pas comprendre le mécanisme des grands débats du Président Macron.
Il écoute des heures et des heures, puis répond à l’auditoire : « Je vous ai entendu, je vous ai compris, mais le mode d’emploi c’est…….. » (En l’occurrence son mode d’emploi)
J’avoue ne pas comprendre les interventions du Premier ministre Edouard Philippe, qui accumule les lapsus que Freud définit ainsi « Le lapsus est un symptôme important de l'émergence de désirs inconscients ».
La vulgarisation de la psychanalyse freudienne assure le succès du mot depuis.
Ne dit-on pas un lapsus révélateur !
C’est sans doute cette confusion en moi qui induit l’incompréhension.
J’avoue ne pas comprendre que l’enquête à propos de la dame de 73 ans molestée lors d’une manifestation des Gilets jaunes à Nice au cours de laquelle un membre du service de police est impliqué soit confiée à la compagne de ce dernier.
On n’est jamais mieux servi que par soi-même !
J’avoue ne pas comprendre, et certains diront que c’est un secret de polichinelle, que pas un jour ne se passe s’il n’y a pas un mouvement de grève qui affecte notre pays Martinique.
Pas un jour où des manifestations de violences ne viennent ternir son image.
Pas un jour sans l’annonce d’un autre mouvement de grève qui prendra la relève du précédent, et ainsi de suite.
J’avoue ne pas comprendre qu’il faille un coup de tonnerre pour faire réagir ceux qui ont la charge des affaires du pays.
J’avoue être comme un canard à qui on demanderait de souffler dans une clarinette, quand il a fallu des mois pour que la structure unique d’organisation des transports commence à se bouger, parce qu’un courageux maire jette un pavé dans la mare, en expliquant de manière magistrale, à qui revient la responsabilité de mettre autour de la même table les acteurs d’un mouvement de grève interminable.
J’avoue ne pas comprendre que face aux problèmes du pôle universitaire de Martinique qui est en train de se faire bouffer (j’espère avoir bien compris), qu’il y a une inertie autour de cette situation qui tombera dans l’oubli avec la mise à mort annoncée de la structure.
J’avoue ne pas avoir compris ce qu’a voulu dire un journaliste dans son journal du matin en s’exprimant ainsi : « Suite à l’interpellation de Serge Letchimy, à propos des VHU, le Préfet a réagi »
J’ai écouté jusqu’à la fin pour comprendre que « Suite à l’interpellation du Préfet par Serge Letchimy à propos des VHU… »
Sur le coup je me suis demandé dans quelle affaire le député martiniquais s’est foutu !
J’avoue ne pas comprendre que nos jeunes étudiants exposent leurs difficultés financières liées à leur bourse, et qu’ils ont du mal à joindre les deux bouts.
J’avoue ne pas comprendre les sommes qui sont mises en jeu pour un drapeau et un hymne.
J’avoue rester stupéfait, par les difficultés exprimées très clairement, et le grand embarras, au bord du clash, de l’experte en culture et histoire de la CTM, face à l’offensive (enfin) du journaliste de Martinique la 1ère, pour qu’elle finisse par cette d’incongruité : « le drapeau de la nation martiniquaise n’est pas définitif ».
Tout cela signifie bien que nous vivons une époque hors du commun.
J’avoue enfin que notre département semble piétiner, s’embourber dans les difficultés sociales, preuve que tout ne va pas en ce monde loin d’être le meilleur.
Mais ce n’est que moi qui avoue ne pas tout comprendre, mais j’avoue que cela fait beaucoup de choses que je ne comprends pas.
Décidément j’avance dans l’âge !
Il écoute des heures et des heures, puis répond à l’auditoire : « Je vous ai entendu, je vous ai compris, mais le mode d’emploi c’est…….. » (En l’occurrence son mode d’emploi)
J’avoue ne pas comprendre les interventions du Premier ministre Edouard Philippe, qui accumule les lapsus que Freud définit ainsi « Le lapsus est un symptôme important de l'émergence de désirs inconscients ».
La vulgarisation de la psychanalyse freudienne assure le succès du mot depuis.
Ne dit-on pas un lapsus révélateur !
C’est sans doute cette confusion en moi qui induit l’incompréhension.
J’avoue ne pas comprendre que l’enquête à propos de la dame de 73 ans molestée lors d’une manifestation des Gilets jaunes à Nice au cours de laquelle un membre du service de police est impliqué soit confiée à la compagne de ce dernier.
On n’est jamais mieux servi que par soi-même !
J’avoue ne pas comprendre, et certains diront que c’est un secret de polichinelle, que pas un jour ne se passe s’il n’y a pas un mouvement de grève qui affecte notre pays Martinique.
Pas un jour où des manifestations de violences ne viennent ternir son image.
Pas un jour sans l’annonce d’un autre mouvement de grève qui prendra la relève du précédent, et ainsi de suite.
J’avoue ne pas comprendre qu’il faille un coup de tonnerre pour faire réagir ceux qui ont la charge des affaires du pays.
J’avoue être comme un canard à qui on demanderait de souffler dans une clarinette, quand il a fallu des mois pour que la structure unique d’organisation des transports commence à se bouger, parce qu’un courageux maire jette un pavé dans la mare, en expliquant de manière magistrale, à qui revient la responsabilité de mettre autour de la même table les acteurs d’un mouvement de grève interminable.
J’avoue ne pas comprendre que face aux problèmes du pôle universitaire de Martinique qui est en train de se faire bouffer (j’espère avoir bien compris), qu’il y a une inertie autour de cette situation qui tombera dans l’oubli avec la mise à mort annoncée de la structure.
J’avoue ne pas avoir compris ce qu’a voulu dire un journaliste dans son journal du matin en s’exprimant ainsi : « Suite à l’interpellation de Serge Letchimy, à propos des VHU, le Préfet a réagi »
J’ai écouté jusqu’à la fin pour comprendre que « Suite à l’interpellation du Préfet par Serge Letchimy à propos des VHU… »
Sur le coup je me suis demandé dans quelle affaire le député martiniquais s’est foutu !
J’avoue ne pas comprendre que nos jeunes étudiants exposent leurs difficultés financières liées à leur bourse, et qu’ils ont du mal à joindre les deux bouts.
J’avoue ne pas comprendre les sommes qui sont mises en jeu pour un drapeau et un hymne.
J’avoue rester stupéfait, par les difficultés exprimées très clairement, et le grand embarras, au bord du clash, de l’experte en culture et histoire de la CTM, face à l’offensive (enfin) du journaliste de Martinique la 1ère, pour qu’elle finisse par cette d’incongruité : « le drapeau de la nation martiniquaise n’est pas définitif ».
Tout cela signifie bien que nous vivons une époque hors du commun.
J’avoue enfin que notre département semble piétiner, s’embourber dans les difficultés sociales, preuve que tout ne va pas en ce monde loin d’être le meilleur.
Mais ce n’est que moi qui avoue ne pas tout comprendre, mais j’avoue que cela fait beaucoup de choses que je ne comprends pas.
Décidément j’avance dans l’âge !