Cet historien Allemand nous parle de la Guadeloupe en grève !
« Comme historien allemand, installé ici depuis 8 ans, je vois le moment de m’exprimer [...] Vous avez bien sûr le droit de faire votre histoire comme nous on a fait la notre, mais n’oubliez pas qu’on a payé un prix très fort.
En comparant ce qui se passe ici en ce moment, on découvre beaucoup de similarités. On a un mouvement à la base national et aussi socialiste qui profite d’un mécontentement d’une grande partie de la population.
Pour mieux agiter, il faut un ennemi commun, on divise le peuple. Les bons ont un ruban rouge (chez nous les indésirables ont eu une• étoile jaune). On crée sa propre police la « sécurité LKP » (chez nous On appelle à la grève totale et les gens hurlent oui.• c’était le SA). • (Goebbels nous a fait crier et hurler qu’on veut la guerre totale). • On contrôle les médias, (LKP=RFO) On prend le contrôle de•
On interdit de filmer (à Jarry hier). • toutes activités. Sans autorisation du Comité vous ne pouvez plus •travailler. On fait croire que le mouvement est porté par une large majorité mais quand je parle avec des gens je constate qu’ils disent oui au mouvement par peur, on ferme les rideaux des magasins par peur.
Je ressens un profond malaise, parce que j’ai toujours reproché à la génération de mes parents de ne pas avoir réagi, d’avoir été lâche. (On m’a répondu qu’on ne pouvait pas s’imaginer que ça irait si loin). Et nous, les parents d’aujourd’hui ?
On a peur de manifester dans les rues pour la réouverture des écoles ? Pour la démocratie, pour nos valeurs ? C’est malheureusement VRAI ! »
NDLR. Il devrait laisser les Guadeloupéens gérer et penser les affaires guadeloupéennes, et se souvenir avant qu’il ne soit trop tard :Ou on aime la Guadeloupe ou on la
« Comme historien allemand, installé ici depuis 8 ans, je vois le moment de m’exprimer [...] Vous avez bien sûr le droit de faire votre histoire comme nous on a fait la notre, mais n’oubliez pas qu’on a payé un prix très fort.
En comparant ce qui se passe ici en ce moment, on découvre beaucoup de similarités. On a un mouvement à la base national et aussi socialiste qui profite d’un mécontentement d’une grande partie de la population.
Pour mieux agiter, il faut un ennemi commun, on divise le peuple. Les bons ont un ruban rouge (chez nous les indésirables ont eu une• étoile jaune). On crée sa propre police la « sécurité LKP » (chez nous On appelle à la grève totale et les gens hurlent oui.• c’était le SA). • (Goebbels nous a fait crier et hurler qu’on veut la guerre totale). • On contrôle les médias, (LKP=RFO) On prend le contrôle de•
On interdit de filmer (à Jarry hier). • toutes activités. Sans autorisation du Comité vous ne pouvez plus •travailler. On fait croire que le mouvement est porté par une large majorité mais quand je parle avec des gens je constate qu’ils disent oui au mouvement par peur, on ferme les rideaux des magasins par peur.
Je ressens un profond malaise, parce que j’ai toujours reproché à la génération de mes parents de ne pas avoir réagi, d’avoir été lâche. (On m’a répondu qu’on ne pouvait pas s’imaginer que ça irait si loin). Et nous, les parents d’aujourd’hui ?
On a peur de manifester dans les rues pour la réouverture des écoles ? Pour la démocratie, pour nos valeurs ? C’est malheureusement VRAI ! »
NDLR. Il devrait laisser les Guadeloupéens gérer et penser les affaires guadeloupéennes, et se souvenir avant qu’il ne soit trop tard :Ou on aime la Guadeloupe ou on la