La conscience « collective » du peuple Martiniquais a manifesté sa révolte en cette date « Historique » du 05 février 2009 comme la Montagne Pelée est entrée en irruption le 08 mai 1902 et que rien n‘a pu arrêter.
Les Martiniquais défilent dans les principales artères de Fort de France pour des causes justes et diverses où chacun évoque ses propres raisons revendicatrices, souvent à terme immédiat pour alléger leur souffrance et faire face aux exigences du quotidien, mais au-delà se dégage une force subconsciente beaucoup plus profonde, la synthèse de ces deux dates : 08 mai 1902 et 05 février 2009 ne sont pas le fruit du hasard.
08 / + 05 / + 1902 = 25 (2+5) = 7
05 / + 02 / + 2009 = 18 (1+8) = 9.
25 + 18 = 43 (4+3) = 7
7 + 9 = 16 (1+6) = 7
En numérologie de chiffre « 7 » est la symbolique maçonnique de l’accès à la maîtrise
La disparition physique de l’illustre Aimé CESAIRE 20-04-2008 l’élection de Barak OBAMA 04-11-2008- nous ramènent également au chiffre « 7 ».
Entre la disparition physique d’Aimé CESAIRE et l’investiture de Barak OBAMA 20-01-2009, il c’est écoulé 9 mois la parfaite gestation de l’élaboration créatrice de l’esprit.
De la conscience Martiniquaise vient de naître le jour de « la maîtrise de notre destiné ». Le hasard n’existant pas, il n’est par définition que la conséquence d’un aléa non maîtrisé.
Aujourd’hui pour le peuple Martiniquais il ne l’est plus.
Il n’y a guère qu’à toi que je puisse soumettre cette réflexion philosophique, un profane même érudit ne pourrait pas comprendre, si ce n’est que l’assimiler à un raisonnement relavant d’une étude psychiatrique pour folie aggravée.
Je me rends de plus en plus compte, mais ce n’est qu’une confirmation que l’Etat Français et ceux qui le représentent tant à Paris qu’à la Martinique ne connaissent absolument pas le peuple Martiniquais sous quelque aspect que ce soit .
Nous sommes aujourd’hui au seuil du pouvoir, mais le pouvoir se prend, il ne se donne pas, ce ne sont pas les mesurettes annoncées par le Président SARKOZY qui vont régler le fond de cette crise globale, si ce n’est qu’anesthésier le peuple pour se donner le temps de la réflexion pour mieux réagir, prenons ce qu’il nous donne c’est un pas de fait, mais ne nous contentons pas d’un petit geste d’apaisement, nous nous devons de régler avec l’Etat Français « l’ensemble des problèmes sur le fond, » politique, identitaire, culturel, économique et social.
Les Etats généraux préconisés par le Président de la République d’ici trois mois avant d’envisager une éventuelle modification institutionnelle avant fin 2009 reporte une ébauche de solution à 10 mois pour ne pas dire aux calendes grecques, à quoi a donc servi le congrès réunissant les élus en décembre 2008.
Encore une fois on défini pour nous un calendrier au grès de ceux qui le décident, dans la situation actuelle c’est inacceptable, c’est à nous d’imposer dans l’urgence le calendrier que nous allons mettre en place, et aux parlementaires de rendre compte à l’assemblée nationale des dates que nous avons arrêtées, nous ne devons plus être aux ordres.
Faisons nous mêmes nos états généraux ici tout de suite, maintenant, et apportons à la République dans les plus brefs délais, non pas se que nous proposons, mais les exigences que nous voulons. Faisons nous même un référendum populaire dans chaque commune pour un véritable changement, une fois l’approbation pour l’article 74 confirmé par le peuple, négocions avec l’Etat pour les aménagements spécifiques qui nous voulons y inclure, n’attendons pas d’être amnésiés pour réagir.
Je le répète, c’est ici et maintenant que le fond doit se régler, nous aurons ensuite plus de temps pour mettre en place des commissions de travail pour finalisés l’ensemble des travaux du collectif du 05 février 2009 et les desideratas du peuple.
La départementalisation telle qu’imposée il y a 60 ans a rendu son âme le 04 février 2009 à 24 heures nous sommes entrés le 05 février dans « la détermination du peuple Martiniquais à définir lui-même son propre avenir » pour plus de justice, plus d’égalité, plus de liberté.
J’ai de mon côté effectué différentes approches pour préparer le devenir ne serai-ce qu’économique et de continuité territoriale du Pays Martinique.
j’ai dit.
Les Martiniquais défilent dans les principales artères de Fort de France pour des causes justes et diverses où chacun évoque ses propres raisons revendicatrices, souvent à terme immédiat pour alléger leur souffrance et faire face aux exigences du quotidien, mais au-delà se dégage une force subconsciente beaucoup plus profonde, la synthèse de ces deux dates : 08 mai 1902 et 05 février 2009 ne sont pas le fruit du hasard.
08 / + 05 / + 1902 = 25 (2+5) = 7
05 / + 02 / + 2009 = 18 (1+8) = 9.
25 + 18 = 43 (4+3) = 7
7 + 9 = 16 (1+6) = 7
En numérologie de chiffre « 7 » est la symbolique maçonnique de l’accès à la maîtrise
La disparition physique de l’illustre Aimé CESAIRE 20-04-2008 l’élection de Barak OBAMA 04-11-2008- nous ramènent également au chiffre « 7 ».
Entre la disparition physique d’Aimé CESAIRE et l’investiture de Barak OBAMA 20-01-2009, il c’est écoulé 9 mois la parfaite gestation de l’élaboration créatrice de l’esprit.
De la conscience Martiniquaise vient de naître le jour de « la maîtrise de notre destiné ». Le hasard n’existant pas, il n’est par définition que la conséquence d’un aléa non maîtrisé.
Aujourd’hui pour le peuple Martiniquais il ne l’est plus.
Il n’y a guère qu’à toi que je puisse soumettre cette réflexion philosophique, un profane même érudit ne pourrait pas comprendre, si ce n’est que l’assimiler à un raisonnement relavant d’une étude psychiatrique pour folie aggravée.
Je me rends de plus en plus compte, mais ce n’est qu’une confirmation que l’Etat Français et ceux qui le représentent tant à Paris qu’à la Martinique ne connaissent absolument pas le peuple Martiniquais sous quelque aspect que ce soit .
Nous sommes aujourd’hui au seuil du pouvoir, mais le pouvoir se prend, il ne se donne pas, ce ne sont pas les mesurettes annoncées par le Président SARKOZY qui vont régler le fond de cette crise globale, si ce n’est qu’anesthésier le peuple pour se donner le temps de la réflexion pour mieux réagir, prenons ce qu’il nous donne c’est un pas de fait, mais ne nous contentons pas d’un petit geste d’apaisement, nous nous devons de régler avec l’Etat Français « l’ensemble des problèmes sur le fond, » politique, identitaire, culturel, économique et social.
Les Etats généraux préconisés par le Président de la République d’ici trois mois avant d’envisager une éventuelle modification institutionnelle avant fin 2009 reporte une ébauche de solution à 10 mois pour ne pas dire aux calendes grecques, à quoi a donc servi le congrès réunissant les élus en décembre 2008.
Encore une fois on défini pour nous un calendrier au grès de ceux qui le décident, dans la situation actuelle c’est inacceptable, c’est à nous d’imposer dans l’urgence le calendrier que nous allons mettre en place, et aux parlementaires de rendre compte à l’assemblée nationale des dates que nous avons arrêtées, nous ne devons plus être aux ordres.
Faisons nous mêmes nos états généraux ici tout de suite, maintenant, et apportons à la République dans les plus brefs délais, non pas se que nous proposons, mais les exigences que nous voulons. Faisons nous même un référendum populaire dans chaque commune pour un véritable changement, une fois l’approbation pour l’article 74 confirmé par le peuple, négocions avec l’Etat pour les aménagements spécifiques qui nous voulons y inclure, n’attendons pas d’être amnésiés pour réagir.
Je le répète, c’est ici et maintenant que le fond doit se régler, nous aurons ensuite plus de temps pour mettre en place des commissions de travail pour finalisés l’ensemble des travaux du collectif du 05 février 2009 et les desideratas du peuple.
La départementalisation telle qu’imposée il y a 60 ans a rendu son âme le 04 février 2009 à 24 heures nous sommes entrés le 05 février dans « la détermination du peuple Martiniquais à définir lui-même son propre avenir » pour plus de justice, plus d’égalité, plus de liberté.
J’ai de mon côté effectué différentes approches pour préparer le devenir ne serai-ce qu’économique et de continuité territoriale du Pays Martinique.
j’ai dit.