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Mais voici les vrais chiffres de la MARTINIQUE. Votants au second tour : 4326 ( 4513 au 1er tour, 187 électeurs de moins). Exprimés : 4312. Blancs et nuls : 14. François Fillon : 2583 voix 59,9%. Alain Juppé : 1729 voix 40,1%.
À titre comparatif voici les résultats en FRANCE François FILLON, c’est 70 % et Alain JUPPE 30 %.
Alors Peut-on tirer une conclusion du résultat des primaires de la droite en MARTINIQUE ? Il y a toujours un enseignement à faire à partir d’un tel panel d’électeurs. En MARTINIQUE comme en France, c’est La yole Fillon qui passe en tête avec une confortable avance. Ce sont donc des chiffres incontestables de la victoire d’un candidat dont on dit être de la droite dure. La droite raciste, anti sociale, serait donc majoritaire en MARTINIQUE comme en France.
Est pour cela que nous avons pu lire sur le mur de Guillaume de REYNAL : « Les Martiniquais ont montré leur désaccord avec les équipes actuelles des Républicains de Martinique.
Marc SEFIL et Fred Michel TIRAULT, soutiens d’Alain JUPPE, désavoués.
Yan MONPLAISIR et Karine MOUSSEAU, soutiens de Nicolas SARKOZY, désavoués.
Ils ont payé leur alliance ignoble. »
Ce que ne dit pas ce post, c’est que la mairesse du Morne-Rouge qui est en alliance répétée avec le PPM Jenny DULYS-PETIT avait rejoint sa famille politique d’origine en venant soutenir la droite Marc Sefil et Fred Michel Tirault lors du passage du porte-parole d’Alain JUPPE au Saint-Esprit. Il est vrai qu’à l’époque les sondages plaçaient AJ en position de vainqueur en France et en MARTINIQUE. Cela valait bien un saut de cheval entre Morne -Rouge et la commune du Sud.
La vraie gagnante de cette course de bourriques est donc un second couteau. Il s’agit de Diane MONTROSE qui devient la courroie de transmission d’un candidat dont le caractère présidentiable est joué à deux contre un. C’est donc si les dés ne sont pas pipés elle la nouvelle patronne de la droite en MARTINIQUE. Elle devient dorénavant l’interlocutrice privilégiée de François FILLON au pays mais son poids politique relatif et son faible réseau fait d’elle un pion interchangeable. Pour l’instant, F FILLON est loin d’être le président de la France.
Comme partout ailleurs en politique, il faut, de la patience alors attendons les primaires de la gauche dans un premier temps, les élections présidentielles dans un second et les législatives pour savoir qui détient les bonnes cartes politiques au pays.
C’est à l’épreuve du temps que l’on découvre si les fleurs promettent de bons fruits.
À titre comparatif voici les résultats en FRANCE François FILLON, c’est 70 % et Alain JUPPE 30 %.
Alors Peut-on tirer une conclusion du résultat des primaires de la droite en MARTINIQUE ? Il y a toujours un enseignement à faire à partir d’un tel panel d’électeurs. En MARTINIQUE comme en France, c’est La yole Fillon qui passe en tête avec une confortable avance. Ce sont donc des chiffres incontestables de la victoire d’un candidat dont on dit être de la droite dure. La droite raciste, anti sociale, serait donc majoritaire en MARTINIQUE comme en France.
Est pour cela que nous avons pu lire sur le mur de Guillaume de REYNAL : « Les Martiniquais ont montré leur désaccord avec les équipes actuelles des Républicains de Martinique.
Marc SEFIL et Fred Michel TIRAULT, soutiens d’Alain JUPPE, désavoués.
Yan MONPLAISIR et Karine MOUSSEAU, soutiens de Nicolas SARKOZY, désavoués.
Ils ont payé leur alliance ignoble. »
Ce que ne dit pas ce post, c’est que la mairesse du Morne-Rouge qui est en alliance répétée avec le PPM Jenny DULYS-PETIT avait rejoint sa famille politique d’origine en venant soutenir la droite Marc Sefil et Fred Michel Tirault lors du passage du porte-parole d’Alain JUPPE au Saint-Esprit. Il est vrai qu’à l’époque les sondages plaçaient AJ en position de vainqueur en France et en MARTINIQUE. Cela valait bien un saut de cheval entre Morne -Rouge et la commune du Sud.
La vraie gagnante de cette course de bourriques est donc un second couteau. Il s’agit de Diane MONTROSE qui devient la courroie de transmission d’un candidat dont le caractère présidentiable est joué à deux contre un. C’est donc si les dés ne sont pas pipés elle la nouvelle patronne de la droite en MARTINIQUE. Elle devient dorénavant l’interlocutrice privilégiée de François FILLON au pays mais son poids politique relatif et son faible réseau fait d’elle un pion interchangeable. Pour l’instant, F FILLON est loin d’être le président de la France.
Comme partout ailleurs en politique, il faut, de la patience alors attendons les primaires de la gauche dans un premier temps, les élections présidentielles dans un second et les législatives pour savoir qui détient les bonnes cartes politiques au pays.
C’est à l’épreuve du temps que l’on découvre si les fleurs promettent de bons fruits.
