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Car, refuser exagérément, même avec une explication de vote qui paraît fallacieuse, de porter la somme de cinq cents mille euros à un million, montant alloué aux familles sinistrées qui ont perdu leur demeure, montre à quel prix le manque d'humanité est néfaste dans le coeur de ces élus.
Des heures durant ils ont perdu du temps qui aurait pû servir à autre chose qu'à discuter sur le fait qu'ils ne voteraient pas l'augmentation d'une proposition de l'un d'entre-eux.
Lorsque l'on sait que la situation financière de la collectivité n'est pas déficitaire, qu'au contraire elle est excédentaire de dizaines de millions d'euros sur l’exercice précédent, il est à se demander ce qui fait que: ces élus qui ont voté une somme de plus d'un million et demi pour la construction d'une école à l'île de la Dominique et de Grenade; de cinq cents mille euros pour subventionner un film d'une série policière produit par une chaîne de télévision nationale; de neuf cent cinquante mille euros pour la relance de la destination Martinique; d'une coquette somme pour un film tourné pour valoriser notre département, pourquoi le Martiniquais n'aurait-il pas droit aux mêmes égards pour que l'eau coule dans le robinet de sa maison!
Quelle est la raison qui provoque une telle réticence de la part de ces élus à prendre en considération le simple fait que leur habitation, leur terrain, soit perdu à tout jamais et que cela mérite une aide conséquente de celui qui avait dit lors de son installation que: "je suis le président de tous les Martiniquais". Que se passe-t-il dans la tête de ces élus qui savent pertinemment que c'est avec les fonds prélevés des impôts de ces personnes, celles qui ont voté pour eux, celles qui deviennent brusquement des sans-abri, celles qui appartiennent à un peuple qui doit faire corps avec une identité martiniquaise, ne mériteraient pas un minimum de considération de la part de ces mêmes élus!
Les auteurs de l'alliance qui avaient permis l'arrivée de cette équipe au pouvoir en décembre deux-mil-quinze seraient-ils en mesure d'expliquer la raison pour laquelle plusieurs jours dans la semaine, et ce, depuis des mois, il faut interpeller les cadres du fermier distributeur d'eau, puisque cette denrée importante de la vie de tous les jours ne coule pas régulièrement dans les robinets des foyers de certains quartiers.
Ces auteurs qui s'enorgueillissaient d'avoir délivré la Martinique de l'ancienne équipe en portant sur les fonds baptismaux de la collectivité territoriale cette coalition actuelle à la tête du pouvoir indélébile sont-ils en mesure de rassurer la population sur les prochaines élections? Se posent-ils la question de savoir ce qui empêche aux élus de leur majorité d'accorder à la centaine de propriétaires ayant perdu leur maison, leur terrain, par le choix d'un vote, une somme convenable pour parer en partie à la détresse de ces malheureux qu'ils sont devenus.
La réticence de ces élus montre à quel prix ils se trompent sur certains sujets. Leur entêtement sur Séguineau génère un manque à gagner de quatre cents mille euros mensuels pour la collectivité territoriale. Albioma qu'ils critiquaient férocement et dont ils refusaient même la présence, aujoud'hui, ce sont eux qui bénéficient d'un résultat qu'ils n'ont pas générés - 25% d'énergie renouvelable en Martinique dont 13% d'Albioma; les éoliennes de Grand-Rivière etc....
Lorsque l'on sait que la situation financière de la collectivité n'est pas déficitaire, qu'au contraire elle est excédentaire de dizaines de millions d'euros sur l’exercice précédent, il est à se demander ce qui fait que: ces élus qui ont voté une somme de plus d'un million et demi pour la construction d'une école à l'île de la Dominique et de Grenade; de cinq cents mille euros pour subventionner un film d'une série policière produit par une chaîne de télévision nationale; de neuf cent cinquante mille euros pour la relance de la destination Martinique; d'une coquette somme pour un film tourné pour valoriser notre département, pourquoi le Martiniquais n'aurait-il pas droit aux mêmes égards pour que l'eau coule dans le robinet de sa maison!
Quelle est la raison qui provoque une telle réticence de la part de ces élus à prendre en considération le simple fait que leur habitation, leur terrain, soit perdu à tout jamais et que cela mérite une aide conséquente de celui qui avait dit lors de son installation que: "je suis le président de tous les Martiniquais". Que se passe-t-il dans la tête de ces élus qui savent pertinemment que c'est avec les fonds prélevés des impôts de ces personnes, celles qui ont voté pour eux, celles qui deviennent brusquement des sans-abri, celles qui appartiennent à un peuple qui doit faire corps avec une identité martiniquaise, ne mériteraient pas un minimum de considération de la part de ces mêmes élus!
Les auteurs de l'alliance qui avaient permis l'arrivée de cette équipe au pouvoir en décembre deux-mil-quinze seraient-ils en mesure d'expliquer la raison pour laquelle plusieurs jours dans la semaine, et ce, depuis des mois, il faut interpeller les cadres du fermier distributeur d'eau, puisque cette denrée importante de la vie de tous les jours ne coule pas régulièrement dans les robinets des foyers de certains quartiers.
Ces auteurs qui s'enorgueillissaient d'avoir délivré la Martinique de l'ancienne équipe en portant sur les fonds baptismaux de la collectivité territoriale cette coalition actuelle à la tête du pouvoir indélébile sont-ils en mesure de rassurer la population sur les prochaines élections? Se posent-ils la question de savoir ce qui empêche aux élus de leur majorité d'accorder à la centaine de propriétaires ayant perdu leur maison, leur terrain, par le choix d'un vote, une somme convenable pour parer en partie à la détresse de ces malheureux qu'ils sont devenus.
La réticence de ces élus montre à quel prix ils se trompent sur certains sujets. Leur entêtement sur Séguineau génère un manque à gagner de quatre cents mille euros mensuels pour la collectivité territoriale. Albioma qu'ils critiquaient férocement et dont ils refusaient même la présence, aujoud'hui, ce sont eux qui bénéficient d'un résultat qu'ils n'ont pas générés - 25% d'énergie renouvelable en Martinique dont 13% d'Albioma; les éoliennes de Grand-Rivière etc....
Si conplo nèg sé complo chien conplo milat sé ki sa?
Le Nord qu'ils ont négligé volontairement pour des raisons inexplicables se retrouve aujourd'hui dans un état de délabrement; par exemple les sentiers agricoles qui sont enclavés. Le transport inexistant des quartiers vers le bourg des villes et qui mérite une attention particulière; le manque d'eau dans certains quartiers du grand Nord malgré les réserves abondantes à cause du manque des suppresseurs (compétence ne relevant pas de la collectivité territoriale), mais...
L'absence de dématérialisation ou bien de numérisation dans les écoles alors que la France est signataire d'une convention européenne qui finance à cent pour cent cette procédure.
En faisant le constat de l'échec annoncé pour cette mandature il ne suffisait pas de se mettre ensemble au lendemain du premier tour des élections en signant sur un coin de table des palabres qui n'engageaient que les seules personnes qui voulaient gagner les élections, mais d'avoir eu envie de travailler ensemble et d'un commun accord sur des bases saines pour que le peuple martiniquais récolte les bénéfices de son vote.
Celui-ci, féru de son déplacement jusqu'aux urnes aimerait que l'élu local l'aime, fasse corps avec lui dans le peuple qu'il représente et se retrouve en harmonie avec ses promesses de campagne. Le Martiniquais aimerait que de la compassion provienne de ces élus et il voudrait qu'ils mettent de côté sitôt les élections terminées leur idéologie politique sans queue ni tête au profit de l'investissement de son bien-être.
Gageons que pour cette élection future de la CTM, il ne sera nullement question d'un rassemblement pour être élu à tout prix, mais qu'il y aura un programme présenté pour que les personnes de même sensibilité se rallient autour d'un projet de mandature pour gérer convenablement cette collectivité qui fait exception dans le giron politique français avec la Corse.
Si conplo nèg sé complo chien conplo milat sé ki sa?
L'absence de dématérialisation ou bien de numérisation dans les écoles alors que la France est signataire d'une convention européenne qui finance à cent pour cent cette procédure.
En faisant le constat de l'échec annoncé pour cette mandature il ne suffisait pas de se mettre ensemble au lendemain du premier tour des élections en signant sur un coin de table des palabres qui n'engageaient que les seules personnes qui voulaient gagner les élections, mais d'avoir eu envie de travailler ensemble et d'un commun accord sur des bases saines pour que le peuple martiniquais récolte les bénéfices de son vote.
Celui-ci, féru de son déplacement jusqu'aux urnes aimerait que l'élu local l'aime, fasse corps avec lui dans le peuple qu'il représente et se retrouve en harmonie avec ses promesses de campagne. Le Martiniquais aimerait que de la compassion provienne de ces élus et il voudrait qu'ils mettent de côté sitôt les élections terminées leur idéologie politique sans queue ni tête au profit de l'investissement de son bien-être.
Gageons que pour cette élection future de la CTM, il ne sera nullement question d'un rassemblement pour être élu à tout prix, mais qu'il y aura un programme présenté pour que les personnes de même sensibilité se rallient autour d'un projet de mandature pour gérer convenablement cette collectivité qui fait exception dans le giron politique français avec la Corse.
Si conplo nèg sé complo chien conplo milat sé ki sa?
