Profitant des soubressauts de la Mémoire collective en Guadeloupe et en Martinique ,Patrick Karam, a organisé une conférence débat sur le thème de "La place des Békés dans la société antillaise, Mythes et réalités", à la salle Félix Éboué du secrétariat d'Etat à l'outre-mer.
Nous avons adressé à Patrick Karam le texte de Félix Eboué : Jouer le jeu.
C’est justement ce que n’ont jamais fait les békés dans nos sociétés , ils n’ont jamais joué le jeu.
Ils ont profité sans vergogne de l’héritage de la société d'Habitation et ça ce n’est pas un mythe, et Patrick Karam serait un salopard de première s’il faisait croire à qui que soit, ou encore à lui-même qu’il ne le sait pas.
En tout cas, les békés le savent.
Tant que ceux qui participent et organisent ces débats écarteront tous ceux qui disent aux békés leurs quatre vérités, le problème ne sera jamais posé et le contentieux historique va demeurer.
Quand le délégué interministériel installe à la table des débats les représentants des Békés en la personne d’un Hervé Damoiseau, président des Rhum Damoiseau, de Jean Louis de Lucy, agriculteur, Roger de Jaham, chef d'entreprises, Willy Angèle, président du Medef Guadeloupe, Phillipe Lavil, artiste, José Marraud Desgrottes, expert comptable interrogés par Serge Romana, président du CM98, Daniel Dalin, président du collectif Dom et Pierre Pluton, maire d'Evry-Grery-sur Yerres,Patrick Karam a tracé la ligne.
Les vrais problèmes ne seront pas posés.
D’entré de débat Patrick Karam ferme le jeu et suit pas les conseils de Félix Eboué. En annonçant que "Les manifestations contre la vie chère aux Antilles ne sont pas des conflits de races comme cela a été dit dans la presse et sur Internet. C'est une politique de bouc-émissaires. La question des Békés pose le problème de la faillite de la république et la responsabilité de l'État aux Antilles depuis 60 ans (...) Il vaut mieux une entreprise locale dirigé par un Béké, qu'une multinationale à capitaux étrangers. Je préfère le capitalisme régional au capitalisme international. »
Il mélange volontairement tous les problèmes.
Le capitalisme béké n’est pas contesté dans nos territoires, mais leur profitation.
Sur la race ?
Notre pauvre Karam au nom, sans doute de ses accointances avec De Vilpin feint d’ignorer que les békés constituent encore de nos jours un groupe fermé qu’il revendique tous du fait même de leur comportement, et le courageux Alain Huygues Despointes est sacrifié après son aveux au nom des autres de la volonté du groupe de préserver une race.
Les représentants des Békés. De Phillipe Lavil à Roger de Jaham en passant par José Marraud Desgrottes, ils ont tentés de contredire ce qu'ils estimaient être de la désinformation de la part des médias . "Les Békés ne représentaient en 2007 que 14% du PIB de la Guadeloupe alors qu'on parlait de 85% dans les Média" a expliqué José Marraud Desgrottes, expert comptable.
"Les situations socio-professionnelles des Békés sont le reflet de la société antillaise" s'est défendu, Roger de Jaham, chef d'entreprise, qui a souligné qu'avant la loi Taubira, il avait déjà entamé des démarches pour reconnaître l'esclavage comme "crime contre l'humanité".
José Marraud DesGrottes a bluffé l'auditoire par des chiffres inexacts sur l'économie en outre mer. Il a par exemple menti sans vergogne en déclarant que « lles Antilles n'étaient pas un cimetière pour Bac+5 puisque le chômage de ces derniers se situait grosso modo au niveau de la moyenne nationale entre 7 et 9% ».
Ou a-t-il pris ces chiffres sur le chômage aux Antilles ?
Et même pas le délégué Patrick Karam n’a rectifié.
Il a souligné l'évidence de la distance qui rendait nécessairement les produits importés plus chers aux Antilles qu'en métropole, sans expliquer qu’au passage que les plus grands profiteurs étaient les békés de la grande distribution qui s'octroyaient des marges trop élevées.Pas seulement les békés.
En fait, Marraud Desgrottes n’a pas eut en face de lui des intervenants ayant un point de vue différent du sien. Cette absence de répartie a quelque peu déséquilibré le débat sur l'existence ou non d'un monopole béké, et sur l'économie des Antilles puisqu'il n'avait personne pour discuter statistiques économiques.
Un faux débat organisé Patrick Karam qui s'est transformé ,à l'occasion en Libanais domestique des békés.
Le Serge Romana, président du CM98, il s’en est sorti par des banalités. Roger de Jaham, va sans doute l’installer comme membre de l’association de nègres domestiques Tous créoles.
Une opération de communication qui enfonce encore plus nos bavards békés,Roger de Jaham en tête qui embarque cette fois le malheureux Eric de Lucie qui n'avait pas de besoin d'un Roger la gaffe qui se prend pour un petit Bernard à ses côtés
Nous avons adressé à Patrick Karam le texte de Félix Eboué : Jouer le jeu.
C’est justement ce que n’ont jamais fait les békés dans nos sociétés , ils n’ont jamais joué le jeu.
Ils ont profité sans vergogne de l’héritage de la société d'Habitation et ça ce n’est pas un mythe, et Patrick Karam serait un salopard de première s’il faisait croire à qui que soit, ou encore à lui-même qu’il ne le sait pas.
En tout cas, les békés le savent.
Tant que ceux qui participent et organisent ces débats écarteront tous ceux qui disent aux békés leurs quatre vérités, le problème ne sera jamais posé et le contentieux historique va demeurer.
Quand le délégué interministériel installe à la table des débats les représentants des Békés en la personne d’un Hervé Damoiseau, président des Rhum Damoiseau, de Jean Louis de Lucy, agriculteur, Roger de Jaham, chef d'entreprises, Willy Angèle, président du Medef Guadeloupe, Phillipe Lavil, artiste, José Marraud Desgrottes, expert comptable interrogés par Serge Romana, président du CM98, Daniel Dalin, président du collectif Dom et Pierre Pluton, maire d'Evry-Grery-sur Yerres,Patrick Karam a tracé la ligne.
Les vrais problèmes ne seront pas posés.
D’entré de débat Patrick Karam ferme le jeu et suit pas les conseils de Félix Eboué. En annonçant que "Les manifestations contre la vie chère aux Antilles ne sont pas des conflits de races comme cela a été dit dans la presse et sur Internet. C'est une politique de bouc-émissaires. La question des Békés pose le problème de la faillite de la république et la responsabilité de l'État aux Antilles depuis 60 ans (...) Il vaut mieux une entreprise locale dirigé par un Béké, qu'une multinationale à capitaux étrangers. Je préfère le capitalisme régional au capitalisme international. »
Il mélange volontairement tous les problèmes.
Le capitalisme béké n’est pas contesté dans nos territoires, mais leur profitation.
Sur la race ?
Notre pauvre Karam au nom, sans doute de ses accointances avec De Vilpin feint d’ignorer que les békés constituent encore de nos jours un groupe fermé qu’il revendique tous du fait même de leur comportement, et le courageux Alain Huygues Despointes est sacrifié après son aveux au nom des autres de la volonté du groupe de préserver une race.
Les représentants des Békés. De Phillipe Lavil à Roger de Jaham en passant par José Marraud Desgrottes, ils ont tentés de contredire ce qu'ils estimaient être de la désinformation de la part des médias . "Les Békés ne représentaient en 2007 que 14% du PIB de la Guadeloupe alors qu'on parlait de 85% dans les Média" a expliqué José Marraud Desgrottes, expert comptable.
"Les situations socio-professionnelles des Békés sont le reflet de la société antillaise" s'est défendu, Roger de Jaham, chef d'entreprise, qui a souligné qu'avant la loi Taubira, il avait déjà entamé des démarches pour reconnaître l'esclavage comme "crime contre l'humanité".
José Marraud DesGrottes a bluffé l'auditoire par des chiffres inexacts sur l'économie en outre mer. Il a par exemple menti sans vergogne en déclarant que « lles Antilles n'étaient pas un cimetière pour Bac+5 puisque le chômage de ces derniers se situait grosso modo au niveau de la moyenne nationale entre 7 et 9% ».
Ou a-t-il pris ces chiffres sur le chômage aux Antilles ?
Et même pas le délégué Patrick Karam n’a rectifié.
Il a souligné l'évidence de la distance qui rendait nécessairement les produits importés plus chers aux Antilles qu'en métropole, sans expliquer qu’au passage que les plus grands profiteurs étaient les békés de la grande distribution qui s'octroyaient des marges trop élevées.Pas seulement les békés.
En fait, Marraud Desgrottes n’a pas eut en face de lui des intervenants ayant un point de vue différent du sien. Cette absence de répartie a quelque peu déséquilibré le débat sur l'existence ou non d'un monopole béké, et sur l'économie des Antilles puisqu'il n'avait personne pour discuter statistiques économiques.
Un faux débat organisé Patrick Karam qui s'est transformé ,à l'occasion en Libanais domestique des békés.
Le Serge Romana, président du CM98, il s’en est sorti par des banalités. Roger de Jaham, va sans doute l’installer comme membre de l’association de nègres domestiques Tous créoles.
Une opération de communication qui enfonce encore plus nos bavards békés,Roger de Jaham en tête qui embarque cette fois le malheureux Eric de Lucie qui n'avait pas de besoin d'un Roger la gaffe qui se prend pour un petit Bernard à ses côtés