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De complication en complication, de solution en solution.....
L'affaire aurait pu définitivement capoter si une banque locale n'avait pas sauvé la brigade de l'impréparation des autorités locales. En effet comment payer ces médecins s' ils n'ont pas de compte en banque.
Compte tenu de l’embargo dont Cuba subit les foudres, il a donc fallu trouver une solution juridique pour payer chaque médecin. C'est le Crédit Agricole Antilles Guyane qui aura finalement trouvé la solution. Interrogé par la presse à ce sujet , le Président de la banque a informé qu'il n'était pas là pour juger du bien fondé ou pas de la venue des Cubains. Fin de citation.
Effectivement au moment où la décision a été prise de faire venir les médecins, elle correspondait à un besoin sanitaire. C'est à ce titre que la banque a par utilité, déverrouillé administrativement l'affaire une fois que les médecins étaient sur place.
Donc ce dossier aurait été impossible à boucler si une banque locale, ayant capacité de décision locale, et basée sur le système mutualiste, n'avait pas mobilisé tout son service Juridique et la conformité pour sortir de l'ornière la CTM.
C'est donc ainsi que finalement les médecins ont réussi à disposer de leurs revenus. Mais cet aspect du dossier étant réglé par la banque, montre bien l'impréparation de la CTM. il se trouve que le DOSSIER redevient actuellement politique à défaut de demeurer médical. En effet les réactions sont nombreuses et celle de Catherine Conconne est équivoque.
Compte tenu de l’embargo dont Cuba subit les foudres, il a donc fallu trouver une solution juridique pour payer chaque médecin. C'est le Crédit Agricole Antilles Guyane qui aura finalement trouvé la solution. Interrogé par la presse à ce sujet , le Président de la banque a informé qu'il n'était pas là pour juger du bien fondé ou pas de la venue des Cubains. Fin de citation.
Effectivement au moment où la décision a été prise de faire venir les médecins, elle correspondait à un besoin sanitaire. C'est à ce titre que la banque a par utilité, déverrouillé administrativement l'affaire une fois que les médecins étaient sur place.
Donc ce dossier aurait été impossible à boucler si une banque locale, ayant capacité de décision locale, et basée sur le système mutualiste, n'avait pas mobilisé tout son service Juridique et la conformité pour sortir de l'ornière la CTM.
C'est donc ainsi que finalement les médecins ont réussi à disposer de leurs revenus. Mais cet aspect du dossier étant réglé par la banque, montre bien l'impréparation de la CTM. il se trouve que le DOSSIER redevient actuellement politique à défaut de demeurer médical. En effet les réactions sont nombreuses et celle de Catherine Conconne est équivoque.
L'alerte de Catherine Conconne sur son compte Facebook...
Je répète.....je répète.....je répète, dit-elle
La brigade de médecins cubains en mission en ce moment à la Martinique a l’invitation de la CTM n’a rien à voir avec le dispositif législatif voté au Sénat en 2019 qui prévoit le recours à des médecins hors Union européenne dont Cuba. Tro préssé pa ka fè jou ouvè......
Ce dispositif législatif est lui, en cours de formalisation par l’ARS.
Je répète.....je répète.....je répète. Fin de citation de Catherine Conconne.
Alors la sénatrice est elle objective? A défaut d'en avoir gros sur le macaron cette dernière pourrait écrire un livre sur cette affaire des médecins cubains. Rappelons entre autre épisode que c'est ce dossier qui a fait déborder le vase au point de demander sa démission au PPM. Rappelons que cette démission a été acceptée à l’unanimité, une chiffre trop consensuel pour croire que la sénatrice n'aurait trouvé personne pour la défendre dans un parti où elle aurait passé la plus grande partie de sa vie politique.
Donc cette décision est avant tout une consigne d'un chef dont les petits soldats obéissants voulaient, faire savoir qu' ils obéissaient. Donc quand la sénatrice dit qu'on ne le fera pas prendre un six pour un neuf , elle a dans une certaine mesure raison . D'autant qu'on apprend que dans la délégation il y aurait un agriculteur et un accompagnateur gouvernemental.
La brigade de médecins cubains en mission en ce moment à la Martinique a l’invitation de la CTM n’a rien à voir avec le dispositif législatif voté au Sénat en 2019 qui prévoit le recours à des médecins hors Union européenne dont Cuba. Tro préssé pa ka fè jou ouvè......
Ce dispositif législatif est lui, en cours de formalisation par l’ARS.
Je répète.....je répète.....je répète. Fin de citation de Catherine Conconne.
Alors la sénatrice est elle objective? A défaut d'en avoir gros sur le macaron cette dernière pourrait écrire un livre sur cette affaire des médecins cubains. Rappelons entre autre épisode que c'est ce dossier qui a fait déborder le vase au point de demander sa démission au PPM. Rappelons que cette démission a été acceptée à l’unanimité, une chiffre trop consensuel pour croire que la sénatrice n'aurait trouvé personne pour la défendre dans un parti où elle aurait passé la plus grande partie de sa vie politique.
Donc cette décision est avant tout une consigne d'un chef dont les petits soldats obéissants voulaient, faire savoir qu' ils obéissaient. Donc quand la sénatrice dit qu'on ne le fera pas prendre un six pour un neuf , elle a dans une certaine mesure raison . D'autant qu'on apprend que dans la délégation il y aurait un agriculteur et un accompagnateur gouvernemental.
Nous sommes très loin de la jubilation de la plénière où les élus MIM donnaient le sentiment d'être rentrés dans la cour de la Préfecture sur le toit de véhicules militaires..
En définitive deux points de vue s'opposent: Celui qui consiste à dire vous voyez ce que nous faisons et celui qui consite à considérer que justement on ne voit rien du tout. Mais à sagesse malheur est source d'expérience. La Martinique vient par cette affaire de découvrir la difficulté de collaborer avec les pays de la Caraïbe de son choix. La vision des politiciens martiniquais , n'est pas la vision désastreuse qu'ont les autorités américaines d'un pays socialiste à sa porte. Or il se trouve qu'ici c'est l'embargo et qu'ailleurs ce sont les négatives listes.
Comme quoi l'internationalité régionale n'est pas pour demain.
Comme quoi l'internationalité régionale n'est pas pour demain.
