Tout le monde est choqué d'autant que cette démolition appelle une question principale, pourquoi lui et pas d'autres ?
Les autres c'est celles des békés , mais comme dit Gabriel Lagrancourt dans un post, il n'y a pas que des békés qui ont une maison construite sur les 50 pas.
Cette affaire est d'autant plus choquante qu'à l'époque où cette maison a été construite, c'était "lé ti maléré" qui se trouvaient sous les mancenilliers . C'était l' extrême pauvreté qui pouvait avoir du bon, un morceau de terrain auprès de la mer. Il n'y avait pas les possibilités existantes aujourd'hui par la CAF, des solutions de vacances pour ceux qui étaient malheureux. Ceux qui vivaient sur le pavé, c'est à dire à la ville, près de la mer se retrouvaient au paradis.
Il se trouve que les services de l'état ne veulent rien entendre de ce passé. Et alors que tout concourait à laisser ce "petit maléré la" là, les textes en vigueur en particulier, les services sous l'autorité du préfet ont pris la scélérate décision de casser la maison. La Maison du "ti maléré".
Notre journal en appelle à la reconstruction de cette maison. Il ne peut y avoir plus fort que la volonté populaire et deux poids deux mesure pour un même problème. On ne peut passer son temps à être juste choqué et ne rien faire, ne rien dire, ne rien penser, et à faire les malins sur les réseaux sociaux. Certains en appellent au dynamitage de la maison des békés. Ce n'est pas notre option, mieux nous désapprouvons ces appels à la violence entre Martiniquais. Nous en appelons à la simple reconstruction de la maison de Mr Nomis.
Nous allons mobiliser autour de cette cause .. Trop c'est trop !
.
Cette affaire est d'autant plus choquante qu'à l'époque où cette maison a été construite, c'était "lé ti maléré" qui se trouvaient sous les mancenilliers . C'était l' extrême pauvreté qui pouvait avoir du bon, un morceau de terrain auprès de la mer. Il n'y avait pas les possibilités existantes aujourd'hui par la CAF, des solutions de vacances pour ceux qui étaient malheureux. Ceux qui vivaient sur le pavé, c'est à dire à la ville, près de la mer se retrouvaient au paradis.
Il se trouve que les services de l'état ne veulent rien entendre de ce passé. Et alors que tout concourait à laisser ce "petit maléré la" là, les textes en vigueur en particulier, les services sous l'autorité du préfet ont pris la scélérate décision de casser la maison. La Maison du "ti maléré".
Notre journal en appelle à la reconstruction de cette maison. Il ne peut y avoir plus fort que la volonté populaire et deux poids deux mesure pour un même problème. On ne peut passer son temps à être juste choqué et ne rien faire, ne rien dire, ne rien penser, et à faire les malins sur les réseaux sociaux. Certains en appellent au dynamitage de la maison des békés. Ce n'est pas notre option, mieux nous désapprouvons ces appels à la violence entre Martiniquais. Nous en appelons à la simple reconstruction de la maison de Mr Nomis.
Nous allons mobiliser autour de cette cause .. Trop c'est trop !
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