Adoptée par l’Assemblée nationale le 14 janvier, la proposition de loi initiale visait à fixer un objectif de 20 %, puis de 40 % en 2020, de produits « relevant de l’alimentation durable » (1) servis dans les restaurants collectifs gérés par l’État, les collectivités territoriales et les EPCI. Si les députés avaient d’abord supprimé le premier seuil de 20 %, dans les six mois suivant la publication de la loi, ils avaient néanmoins maintenu le taux de 20 % de produits « issus de l’agriculture biologique ».
Les sénateurs ont, quant à eux, supprimé, le 9 mars, ce seuil obligatoire de « bio », considérant, comme de nombreux maires, qu’il s’agit là d’une « fausse bonne idée ».
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Les sénateurs ont, quant à eux, supprimé, le 9 mars, ce seuil obligatoire de « bio », considérant, comme de nombreux maires, qu’il s’agit là d’une « fausse bonne idée ».
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