L’accouchement n’a pas été sans douleur. Du bruit du bruit du bruit pour rien
Sauf que cette expérience montre bien au martiniquais que le mode constructif modulaire est très probablement le plus adapté à notre pays.
Ce système est rapide, parasismique, para cyclonique et équipé de panneaux solaires il peut rendre un bâtiment positif.
Le temps consacré à cette construction montre bien aussi que le système est rentable 7 millions en deux mois c’est beaucoup d’argent, bien qu’il faille prendre le temps de la construction des modules. Deux mois pour construire 1000 places c’est assez remarquable. C’est la démonstration que si on voulait en deux ans les 20 000 logements manquants de Martinique pourraient être construits avec un autre système constructif en moins de deux ans. La réalisation des ouvrages par de nombreuses petites entreprises est aussi à féliciter.
Pour l’immobilier d’entreprise c’est la même démarche, beaucoup d’entreprises vivent déjà confortablement dans ce type de construction !
Il convient pour notre compréhension de ne pas confondre un système modulaire et un conteneur. Encore qu’avec des conteneurs, on puisse faire de très belles réalisations.
C’est aussi une construction plus écologique. Moins de béton, c’est moins de destruction de carrière dans le nord, c’est aussi moins de bruit à Saint Pierre et moins de camions sur les routes. Vous voyez cette expérience nous démontre que nos mentalités sur ce point doivent évoluer.
Ce système est rapide, parasismique, para cyclonique et équipé de panneaux solaires il peut rendre un bâtiment positif.
Le temps consacré à cette construction montre bien aussi que le système est rentable 7 millions en deux mois c’est beaucoup d’argent, bien qu’il faille prendre le temps de la construction des modules. Deux mois pour construire 1000 places c’est assez remarquable. C’est la démonstration que si on voulait en deux ans les 20 000 logements manquants de Martinique pourraient être construits avec un autre système constructif en moins de deux ans. La réalisation des ouvrages par de nombreuses petites entreprises est aussi à féliciter.
Pour l’immobilier d’entreprise c’est la même démarche, beaucoup d’entreprises vivent déjà confortablement dans ce type de construction !
Il convient pour notre compréhension de ne pas confondre un système modulaire et un conteneur. Encore qu’avec des conteneurs, on puisse faire de très belles réalisations.
C’est aussi une construction plus écologique. Moins de béton, c’est moins de destruction de carrière dans le nord, c’est aussi moins de bruit à Saint Pierre et moins de camions sur les routes. Vous voyez cette expérience nous démontre que nos mentalités sur ce point doivent évoluer.
Le nouveau lycée Schœlcher c’est la même logique.
Notez tout de même que la petite « plaisanterie » aura couté 7 millions d’Euros. C’est beaucoup d’argent c’est presque autant que le budget global des subventions sportives état confondu (hors infrastructure).
MAKACLA vous avait donné son avis sur le lycée de transit. Un premier avis. un second avis et notre réflextion n'a pas changé. Mais nos politiques ne resteraient-ils pas dans la même logique, si la reconstruction du Lycée Schœlcher devait se poursuivre alors que démonstration est faite que les trois lycées peuvent cohabiter. On repartirait dans le béton, dans la construction de bâtiments traditionnels par les mêmes entreprises qui écument la Martinique, sans que l’on ne soupèse ce qu’elles apportent aux pays.
Elles donnent du travail me direz vous : Oui c’est vrai, mais du travail temporaire ; du travail non durable. Observez CARAIBES MOTTER ceux qui ont construit le TCSP. Avez-vous le sentiment que ce patron a gardé tous les ouvriers utiles à la construction de cet ouvrage ? Certainement pas.
SIMP et SOGEA ont déjà remis une offre commune à la CTM. Si ils sont adjudicataires ils mangeront le gros du steak et laisserons les os de la finition à des sous traitants qui seront incapables de payer les charges sociales au regard des prix des marchés qui seront négociés. DMS n’aura pas d’autre choix que de les choisir à moins qu’une entreprise Européenne ne vienne se sustenter. Ce serait amplement plus grave même si la logique Européenne voudrait que…..
La petite expérience réussie de Sylvia Saithsoothane démontre qu’une autre voie est possible. On peut donc aisément et sans faire de polémique se demander alors, si aujourd’hui il ya toujours lieu encore de reconstruire un nouveau lycée Schœlcher.
La réponse n’est pas seulement démographique, elle est hélas politique. La politique c’est l’accumulation des symboles. La marche arrière est la plus déshonorable défaite.
Il faudra donc démolir pour reconstruire inévitablement !
MAKACLA vous avait donné son avis sur le lycée de transit. Un premier avis. un second avis et notre réflextion n'a pas changé. Mais nos politiques ne resteraient-ils pas dans la même logique, si la reconstruction du Lycée Schœlcher devait se poursuivre alors que démonstration est faite que les trois lycées peuvent cohabiter. On repartirait dans le béton, dans la construction de bâtiments traditionnels par les mêmes entreprises qui écument la Martinique, sans que l’on ne soupèse ce qu’elles apportent aux pays.
Elles donnent du travail me direz vous : Oui c’est vrai, mais du travail temporaire ; du travail non durable. Observez CARAIBES MOTTER ceux qui ont construit le TCSP. Avez-vous le sentiment que ce patron a gardé tous les ouvriers utiles à la construction de cet ouvrage ? Certainement pas.
SIMP et SOGEA ont déjà remis une offre commune à la CTM. Si ils sont adjudicataires ils mangeront le gros du steak et laisserons les os de la finition à des sous traitants qui seront incapables de payer les charges sociales au regard des prix des marchés qui seront négociés. DMS n’aura pas d’autre choix que de les choisir à moins qu’une entreprise Européenne ne vienne se sustenter. Ce serait amplement plus grave même si la logique Européenne voudrait que…..
La petite expérience réussie de Sylvia Saithsoothane démontre qu’une autre voie est possible. On peut donc aisément et sans faire de polémique se demander alors, si aujourd’hui il ya toujours lieu encore de reconstruire un nouveau lycée Schœlcher.
La réponse n’est pas seulement démographique, elle est hélas politique. La politique c’est l’accumulation des symboles. La marche arrière est la plus déshonorable défaite.
Il faudra donc démolir pour reconstruire inévitablement !