Depuis quelques jours nous entendons dire que la SOCOPMA vivrait ses derniers instants
Depuis quelques jours nous entendons dire que la SOCOPMA vivrait ses derniers instants, qu’elle devrait être liquidée dans les semaines à venir et que les 700 000 euros portés par le groupe DATEX pour sauver la structure n’auraient servi à rien. POLITIQUES PUBLIQUES le blog d’informations se demandait même si ce n’était pas un complot ?
Dans cet article, MAKAC LA n’accusera personne, mais interrogera votre intelligence sur les agissements de chacun des acteurs de cette affaire.
La SOCOPMA était déjà morte une première fois.
Juvénal REMIR avait crié au scandale. Il avait fait tout un ramdam et avait expliqué à la population martiniquaise que cet outil était indispensable, pour l’agriculture paysanne, pour le consommateur. Le chabin avait envahi tous les médias, comme un vieux nègre et avec moins d’une dizaine de ses copains agriculteurs avaient organisé une tournée des créanciers de LA SOCOPMA.
Ils étaient passés bruyamment réclamer leur argent, l’argent des petits planteurs de la SOCOPMA.
En trois jours, au prix d’interpellations de politiques de commerçants ils avaient récupéré presque 300 000 Euros en chèques ou en promesse de règlement. Fort de ce succès Juvénal avait pris l’opinion publique à témoin, démontrant qu’à lui tout seul avec ses seuls moyens il était capable de redresser une situation que personne d’autre n’arrivait à résoudre. Il était celui qui était capable
1 De redresser LA SOCOPMA
2 D’aller chercher l’argent de LA SOCOPMA
3 Faire revenir sur sa décision un tribunal de commerce.
4 De mobiliser l’opinion publique soit la preuve par neuf qu’on pouvait lui faire confiance.
C’est avec ce rapport de force qu’il avait imposé au tribunal de commerce d’annuler la liquidation de la SOCOPMA d’autant qu’il arrivait avec dans ses bagages la DATEX, dont la gérante Murielle PALANDRI en guerre pour conserver du marché des cantines du sud mettait à la disposition de la SOCOPMA deux chèques de plus de 300 000 euros.
Dans cet article, MAKAC LA n’accusera personne, mais interrogera votre intelligence sur les agissements de chacun des acteurs de cette affaire.
La SOCOPMA était déjà morte une première fois.
Juvénal REMIR avait crié au scandale. Il avait fait tout un ramdam et avait expliqué à la population martiniquaise que cet outil était indispensable, pour l’agriculture paysanne, pour le consommateur. Le chabin avait envahi tous les médias, comme un vieux nègre et avec moins d’une dizaine de ses copains agriculteurs avaient organisé une tournée des créanciers de LA SOCOPMA.
Ils étaient passés bruyamment réclamer leur argent, l’argent des petits planteurs de la SOCOPMA.
En trois jours, au prix d’interpellations de politiques de commerçants ils avaient récupéré presque 300 000 Euros en chèques ou en promesse de règlement. Fort de ce succès Juvénal avait pris l’opinion publique à témoin, démontrant qu’à lui tout seul avec ses seuls moyens il était capable de redresser une situation que personne d’autre n’arrivait à résoudre. Il était celui qui était capable
1 De redresser LA SOCOPMA
2 D’aller chercher l’argent de LA SOCOPMA
3 Faire revenir sur sa décision un tribunal de commerce.
4 De mobiliser l’opinion publique soit la preuve par neuf qu’on pouvait lui faire confiance.
C’est avec ce rapport de force qu’il avait imposé au tribunal de commerce d’annuler la liquidation de la SOCOPMA d’autant qu’il arrivait avec dans ses bagages la DATEX, dont la gérante Murielle PALANDRI en guerre pour conserver du marché des cantines du sud mettait à la disposition de la SOCOPMA deux chèques de plus de 300 000 euros.
Ce premier round était un succès pour tout un clan.
1 madame AMABLE « la petite planteuse d’oignons » gagnait sont combat.
2 Juvénal le Zorro ramassait une bonne partie de l’argent que la SOCOPMA lui devait pour la livraison de ses produits. Il avait été parmi les derniers seigneurs à livrer jusqu’à la dernière minute des produits à la coopérative.
3 Murielle PALANDRI apparaissait comme la nouvelle prêtresse de l’agriculture, celle qui avait sauvé la SOCOPMA, les 200 petits planteurs de la Martinique, et surtout comme celle qui allait donner aux petits martiniquais à manger les produits de la production martiniquaise produits par les producteurs martiniquais.
En termes d’image cette campagne de communication à 700 000 euros ne représentait rien au vue du marché qui était en face : 15 000 repas par jour durant 6 ans avec possible une rallonge de 2 ans possibles soit 11 millions d’euros par an multipliés par 8 ans.
Ce marché du sud de 88 millions d’euros, valait donc bien une petite campagne de communication à 700 000 euros.
Cette victoire était une victoire politique d’un clan d’affairistes contre un autre clan d’affairistes.
Premier battu à cette heure Yan MOMPLAISIR. Ce dernier avait validé sa participation à un autre projet de reprise de la SOCOPMA. Il avait posé ses conditions à la reprise. Liquidation de la SOCOPMA donc licenciement du personnel dans un premier temps rachat des actifs et réembauche progressive de l’ex personnel de la SOCOPMA.
Ce projet était mené par un petit groupe de petits agriculteurs qui s’était réuni dans la campagne Robertine et qui eux aussi voulaient sauver la SOCOPMA selon leur vision.
Une structure logistique devait s’occuper de l’organisation, de la commercialisation, du ramassage des produits, mais ce qui les préoccupait particulièrement ce petit groupe c’était la SOCOPGEL l’unité de production de produits surgelés sur laquelle ils voulaient mettre tous leurs efforts.
Juvénal avait freiné des quatre fers. Le risque pour lui la perte définitive des montants que lui devait la SOCOPMA. En cas de liquidation de la structure il pouvait s’assoir sur ses factures.
Il avait donc tout fait pour stopper la reprise de SOCOPMA par le Groupe MONPLAISIR au seul motif qu’il lui fallait de son argent, même si la méthode qui lui permettait de récupérer son fric allait contre les intérêts futurs des petits planteurs martiniquais.
Pour indiquer à quel point l’homme jouait sur tous les tableaux, et qu’il était prêt à tout, il était portant lui aussi actionnaire du nouveau groupement qui avait été créé par MARIE LOUISE et qui était porteur de la solution avec les petits agriculteurs.
Juvénal a donc sauvé la SOCOPMA de la liquidation, créé un nouveau groupement avec d’autres, abandonné ce groupement, Trahi ses collègues agriculteurs pour finir par venir soutenir PALANDRI au rachat de LA SOCOPMA, l’homme faisant davantage confiance à des patrons plus blancs que lui et à de gros bonnets du business local.
Ainsi on peut dire que l’histoire qui est à l’origine de la prochaine liquidation de la SOCOPMA est une initiative piloté par Juvénal REMIR dont le seul but était de se faire faire pour lui au moins, ou de permettre qu’on lui fasse pour lui et un autre petit groupe un solde de tout compte positif.
La vraie question maintenant est de savoir combien de petits agriculteurs ne seront jamais payés dans cette affaire ?
Donc quand Juvénal REMIR retourne sur ATV dans l’émission de jean Marc PULVAR. Il trompe qui il veut mais pas MAKAC LA !
Le complot commence après, ce qui le déclenche c’est que la DATEX a perdu entre temps le marché des repas du sud au profit du groupe MOMPLAISIR.
Nous y reviendrons dans un autre article dont le titre sera oui il y a bien un complot contre la SOCOPMA organisé par des gens de la SOCOPMA entre autres !
2 Juvénal le Zorro ramassait une bonne partie de l’argent que la SOCOPMA lui devait pour la livraison de ses produits. Il avait été parmi les derniers seigneurs à livrer jusqu’à la dernière minute des produits à la coopérative.
3 Murielle PALANDRI apparaissait comme la nouvelle prêtresse de l’agriculture, celle qui avait sauvé la SOCOPMA, les 200 petits planteurs de la Martinique, et surtout comme celle qui allait donner aux petits martiniquais à manger les produits de la production martiniquaise produits par les producteurs martiniquais.
En termes d’image cette campagne de communication à 700 000 euros ne représentait rien au vue du marché qui était en face : 15 000 repas par jour durant 6 ans avec possible une rallonge de 2 ans possibles soit 11 millions d’euros par an multipliés par 8 ans.
Ce marché du sud de 88 millions d’euros, valait donc bien une petite campagne de communication à 700 000 euros.
Cette victoire était une victoire politique d’un clan d’affairistes contre un autre clan d’affairistes.
Premier battu à cette heure Yan MOMPLAISIR. Ce dernier avait validé sa participation à un autre projet de reprise de la SOCOPMA. Il avait posé ses conditions à la reprise. Liquidation de la SOCOPMA donc licenciement du personnel dans un premier temps rachat des actifs et réembauche progressive de l’ex personnel de la SOCOPMA.
Ce projet était mené par un petit groupe de petits agriculteurs qui s’était réuni dans la campagne Robertine et qui eux aussi voulaient sauver la SOCOPMA selon leur vision.
Une structure logistique devait s’occuper de l’organisation, de la commercialisation, du ramassage des produits, mais ce qui les préoccupait particulièrement ce petit groupe c’était la SOCOPGEL l’unité de production de produits surgelés sur laquelle ils voulaient mettre tous leurs efforts.
Juvénal avait freiné des quatre fers. Le risque pour lui la perte définitive des montants que lui devait la SOCOPMA. En cas de liquidation de la structure il pouvait s’assoir sur ses factures.
Il avait donc tout fait pour stopper la reprise de SOCOPMA par le Groupe MONPLAISIR au seul motif qu’il lui fallait de son argent, même si la méthode qui lui permettait de récupérer son fric allait contre les intérêts futurs des petits planteurs martiniquais.
Pour indiquer à quel point l’homme jouait sur tous les tableaux, et qu’il était prêt à tout, il était portant lui aussi actionnaire du nouveau groupement qui avait été créé par MARIE LOUISE et qui était porteur de la solution avec les petits agriculteurs.
Juvénal a donc sauvé la SOCOPMA de la liquidation, créé un nouveau groupement avec d’autres, abandonné ce groupement, Trahi ses collègues agriculteurs pour finir par venir soutenir PALANDRI au rachat de LA SOCOPMA, l’homme faisant davantage confiance à des patrons plus blancs que lui et à de gros bonnets du business local.
Ainsi on peut dire que l’histoire qui est à l’origine de la prochaine liquidation de la SOCOPMA est une initiative piloté par Juvénal REMIR dont le seul but était de se faire faire pour lui au moins, ou de permettre qu’on lui fasse pour lui et un autre petit groupe un solde de tout compte positif.
La vraie question maintenant est de savoir combien de petits agriculteurs ne seront jamais payés dans cette affaire ?
Donc quand Juvénal REMIR retourne sur ATV dans l’émission de jean Marc PULVAR. Il trompe qui il veut mais pas MAKAC LA !
Le complot commence après, ce qui le déclenche c’est que la DATEX a perdu entre temps le marché des repas du sud au profit du groupe MOMPLAISIR.
Nous y reviendrons dans un autre article dont le titre sera oui il y a bien un complot contre la SOCOPMA organisé par des gens de la SOCOPMA entre autres !