Pour preuve le mouvement de solidarité général des autres pompistes du pays qui ont unanimement décidé de porter un jour le deuil de leur collègue en s’habillant de noir.
C’est l’occasion pour nous à icimartinique.com sous notre rubrique entreprendre en MARTINIQUE de constater une fois de plus les difficultés à entreprendre dans ce pays, qui doit se mettre aux normes européennes dans un contexte caribéen.
Ce sont parfois les conditions d’adaptations qui rendent le métier d’entrepreneur compliqué. Vous n’êtes pas sans savoir qu’une réforme sans précédent oblige les propriétaires des stations-service, à faire une mise aux normes sans précédent. La date butoir fixée dans un premier temps a été reporté au bénéfice des conséquences de fermeture d’installations impossibles à remettre aux normes.
Il s’ensuivrait une désertification des stations en particulier, les installations en campagne.
En MARTINIQUE où le pays a été désorganisé par l’implantation du TCSP la mise aux normes de certaines stations, outre les aspects environnementaux devrait poser de multiples questions. Prenons un seul exemple, les conditions des zones de décélération et d’accélération pour accéder aux stations et rentrer sur la nationale. Si les automobilistes finissent en connaissant la route à s’en sortir, il apparaît au regard de la réglementation en vigueur que l’accident de ces derniers jours devait finir par arriver. En effet, un plan d’installation de stations aux normes Européennes montre la distance au minimum entre le bord extérieur droit de la route et le bort extérieur gauche de la première voiture la plus proche de cette nationale. Cette norme à des conséquences sur la distance de décélération. Dans le cas de l'accident du Lamentin c'est de la nationale que la folle course a commencé
Autrement dit, si les normes européennes devaient être appliquées scrupuleusement bon nombre d’installations seraient purement et simplement interdites à l’exploitation.
Il ne s’agit pas là de trouver des excuses au chauffard irrespectueux de la limitation de vitesse, mais bien de comprendre que la mise en danger et une accumulation de circonstances qui finissent par aboutir à une catastrophe, ainsi que le non respect des dispositions réglementaires mises en place, pour répondre à des conditions défavorables.
La vraie question est de savoir quelles seront les réactions des autorités compétentes qui ont autorisé ces conditions d’exploitations au moment où elle observent que la limitation de vitesse à cet endroit est loin d’être respectée.
C’est l’occasion pour nous à icimartinique.com sous notre rubrique entreprendre en MARTINIQUE de constater une fois de plus les difficultés à entreprendre dans ce pays, qui doit se mettre aux normes européennes dans un contexte caribéen.
Ce sont parfois les conditions d’adaptations qui rendent le métier d’entrepreneur compliqué. Vous n’êtes pas sans savoir qu’une réforme sans précédent oblige les propriétaires des stations-service, à faire une mise aux normes sans précédent. La date butoir fixée dans un premier temps a été reporté au bénéfice des conséquences de fermeture d’installations impossibles à remettre aux normes.
Il s’ensuivrait une désertification des stations en particulier, les installations en campagne.
En MARTINIQUE où le pays a été désorganisé par l’implantation du TCSP la mise aux normes de certaines stations, outre les aspects environnementaux devrait poser de multiples questions. Prenons un seul exemple, les conditions des zones de décélération et d’accélération pour accéder aux stations et rentrer sur la nationale. Si les automobilistes finissent en connaissant la route à s’en sortir, il apparaît au regard de la réglementation en vigueur que l’accident de ces derniers jours devait finir par arriver. En effet, un plan d’installation de stations aux normes Européennes montre la distance au minimum entre le bord extérieur droit de la route et le bort extérieur gauche de la première voiture la plus proche de cette nationale. Cette norme à des conséquences sur la distance de décélération. Dans le cas de l'accident du Lamentin c'est de la nationale que la folle course a commencé
Autrement dit, si les normes européennes devaient être appliquées scrupuleusement bon nombre d’installations seraient purement et simplement interdites à l’exploitation.
Il ne s’agit pas là de trouver des excuses au chauffard irrespectueux de la limitation de vitesse, mais bien de comprendre que la mise en danger et une accumulation de circonstances qui finissent par aboutir à une catastrophe, ainsi que le non respect des dispositions réglementaires mises en place, pour répondre à des conditions défavorables.
La vraie question est de savoir quelles seront les réactions des autorités compétentes qui ont autorisé ces conditions d’exploitations au moment où elle observent que la limitation de vitesse à cet endroit est loin d’être respectée.
Un coordonateur sécurité c'est quoi ?
Si vous voulez dans le cadre de la sécurisation de vos établissements, ou de la construction d'un ouvrage vous entretenir avec un coordinateur sécurité et prévention santé contactez nous au 0696341919 ou adressez nous votre demande par mail . Vous pouvez aussi cliquer sur l'affiche MBVA pour pauser votre question
Organisation de la Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé
Selon le Code du travail, article L4532-2 1, la coordination en matière de sécurité et de protection de la santé doit être organisée pour tout chantier de bâtiment ou de génie civil où sont appelés à intervenir plusieurs travailleurs indépendants ou entreprises, entreprises sous-traitantes incluses (celles pour lesquelles l'effectif prévisible des travailleurs doit dépasser vingt travailleurs à un moment quelconque des travaux et dont la durée doit excéder trente jours ouvrés, ainsi que celles dont le volume prévu des travaux doit être supérieur à 500 hommes-jours), aux fins de prévenir les risques de co-activité résultant de leurs interventions simultanées ou successives pendant les phases de conception et de réalisation de l'ouvrage et de prévoir, lorsqu'elle s'impose, l'utilisation des moyens communs tels que les infrastructures, les moyens logistiques et les protections collectives
(Code du Travail Partie 4 de la Partie Législative, Livre V, Titre III, Chapitres 1 et 2 (Articles L4531-1 à L4531-3 et L4532-1 à L4532-18) ainsi que Partie 4 de la Partie Réglementaire, Livre V, Titre III, Chapitre 2 (Articles R4532-1 à R4532-98) 2 .
Elle est organisée par le maître d’ouvrage. Il prévoit les Modalités Pratiques de Coopération entre les différents intervenants et le coordonnateurs SPS, dans un document joint à leur contrat (Article R4532-6)3.
Le CSPS est désigné dès le début de la phase avant-projet sommaire APS (article R4532-4)4.
Si vous voulez approfondir vos connaissances sur la question de la coordination sécurité téléchargez le document joint.
Selon le Code du travail, article L4532-2 1, la coordination en matière de sécurité et de protection de la santé doit être organisée pour tout chantier de bâtiment ou de génie civil où sont appelés à intervenir plusieurs travailleurs indépendants ou entreprises, entreprises sous-traitantes incluses (celles pour lesquelles l'effectif prévisible des travailleurs doit dépasser vingt travailleurs à un moment quelconque des travaux et dont la durée doit excéder trente jours ouvrés, ainsi que celles dont le volume prévu des travaux doit être supérieur à 500 hommes-jours), aux fins de prévenir les risques de co-activité résultant de leurs interventions simultanées ou successives pendant les phases de conception et de réalisation de l'ouvrage et de prévoir, lorsqu'elle s'impose, l'utilisation des moyens communs tels que les infrastructures, les moyens logistiques et les protections collectives
(Code du Travail Partie 4 de la Partie Législative, Livre V, Titre III, Chapitres 1 et 2 (Articles L4531-1 à L4531-3 et L4532-1 à L4532-18) ainsi que Partie 4 de la Partie Réglementaire, Livre V, Titre III, Chapitre 2 (Articles R4532-1 à R4532-98) 2 .
Elle est organisée par le maître d’ouvrage. Il prévoit les Modalités Pratiques de Coopération entre les différents intervenants et le coordonnateurs SPS, dans un document joint à leur contrat (Article R4532-6)3.
Le CSPS est désigné dès le début de la phase avant-projet sommaire APS (article R4532-4)4.
Si vous voulez approfondir vos connaissances sur la question de la coordination sécurité téléchargez le document joint.