Les pitayas une culture d’avenir pour les producteurs Martiniquais par Louis CRUSOL

Le but de cet article est donc de relayer cette action en médiatisant ces résultats. Dans le cadre d’un échange avec le principe de l’intelligence collective, nous pouvons comme dit Louis CRUSOL progresser sur ce sujet.
Vous pouvez vous aussi donner votre avis dans cet échange et nous transmettre votre expérience de producteur ou de consommateur.

Il y a toujours un "but de la manœuvre" dans les informations apportées sous la rubrique "jardin relax" ( et dans les autres également).

Le bilan "campagne pitayas 2016" pose le problème économique de cette production agricole. Le développement agricole sera toujours affaibli par l'absence de repères statistiques et techniques élaborés par les producteurs.
Avec les moyens modernes et à bon marchés, tels que les balances précises et capables de noter des statistiques complexes, avec les applications traitement de données, n'importe quel agriculteur peut, lui même enregistrer toutes les données représentées ici.
Avec Internet, chacun peut acquérir toutes les connaissances nécessaires à une bonne maîtrise de la production et améliorer les techniques. Je pense, pour l'an prochain, montrer d'autres concepts de production du pitaya.

Je rappelle la réponse qui m'a été faite par le CIRAD, sur laquelle je reviendrai par ailleurs. " nous ne nous intéressons qu'aux spéculations rémunératrices pour les agriculteurs".

Suivent quelques remarques lénifiantes sur la culture du pitaya, tirées, je suppose, d'une requête rapide sur un moteur de recherche. Ce qui me paraît plus instructif, c'est que, lors de l'introduction du pitaya dans les grandes surfaces, à la Martinique, il y a quelques années, le kilogramme se vendait couramment 30 €.

Aujourd'hui, il est, de façon durable, autour de 15 €.

A comparer avec le prix d'un kilo d'orange, de citron, de mangue, de pastèque ou de melon. Il faut ajouter que ce fruit vient d'un cactus que vit dans les régions sèches, très ensoleillée, demande peu de soins et produit pendant pas loin de 6 mois dans l'année. Il n'est pas très sucré tout en étant très bon au goût et très riche en nutriments.

Par conséquent, à tous nos amis, il ne s'agit pas de glorifier le jardinier relax, mais de poser des questions utiles sur le traitement des problèmes qui nous concernent tous.

Si le débat s'installe, à charge et à décharge, il devrait être utile.