En France de chez la France, majoritairement, les syndicats, les maires, les médias, mais les enseignants également sont actifs à la reprise de l'école après un fermeture forcée de deux mois.
En Martinique, l'école publique est fermée depuis, 6 mois, puisque depuis fin décembre les différentes organisations syndicales sont vent debout contre le réforme des retraites. Nous avons été à leur côté pour vous faire vivre de l'intérieur les revendications diverses. Nous avons compris à cette occasion qu'il suffisait qu'un syndicat municipal ( celui qui nettoie les écoles par exemple) décide de fermer les barrières d'une école, pour que les enseignants soient considérés comme présents et non grévistes.
Le manège à duré 3 mois.
Puis est arrivé le Coronavirus, et son lot de dispositions gouvernementales. La plus stricte a été celle du confinement. De 15 jours en 15 jours, cette déscolarisation a duré 2 mois. Résultat voilà presque 6 mois que les enfants martiniquais sont déscolarisés. Pas tous, les plus pauvres, ceux qui n'ont pas les moyens d'être dans les écoles privées qui ont 99 % de succès aux examens. Et alors que nous pourrions nous attendre à un sursaut du corps enseignant, et des institutions en charge de faire fonctionner la logistique des écoles, nous découvrons que toute velléité de reprise, s’effondre par rapport à un jeu d’irresponsabilités successives.
Le président de la collectivité territoriale, 97 % des maires, et les syndicats dont sont issus les logisticiens, ont d'une seule voix préférer se défausser sur la dangerosité du virus. Pourtant un protocole strict de dé-confinement des écoles a été imposé par le conseil scientifique et proposé à l'écosystème scolaire. Le plus grave à notre avis, et c'est notre opinion, les enseignants martiniquais ne se sont pas élevés contre cette torpeur des responsables politiques et syndicaux. Pire ils ont hurlé avec les loups.
Expert auprès de différentes conférences de consensus concernant, l’infectiologie, membre du Bureau de la FMC de la Société Française de Pathologie Infectieuse, le Professeur Cohen Membre du conseil scientifique du groupe de Pathologie Infectieuse de la société Française de Pédiatrie, considère que la reprise des écoles est indispensable pour la structuration des enfants. Il reprend même à son compte l'idée du ministre de l'éducation Jean-Michel Blanquer selon laquelle il est plus dangereux de garder les enfants à la maison que de les mettre à l'école dans un protocole contraint
Le manège à duré 3 mois.
Puis est arrivé le Coronavirus, et son lot de dispositions gouvernementales. La plus stricte a été celle du confinement. De 15 jours en 15 jours, cette déscolarisation a duré 2 mois. Résultat voilà presque 6 mois que les enfants martiniquais sont déscolarisés. Pas tous, les plus pauvres, ceux qui n'ont pas les moyens d'être dans les écoles privées qui ont 99 % de succès aux examens. Et alors que nous pourrions nous attendre à un sursaut du corps enseignant, et des institutions en charge de faire fonctionner la logistique des écoles, nous découvrons que toute velléité de reprise, s’effondre par rapport à un jeu d’irresponsabilités successives.
Le président de la collectivité territoriale, 97 % des maires, et les syndicats dont sont issus les logisticiens, ont d'une seule voix préférer se défausser sur la dangerosité du virus. Pourtant un protocole strict de dé-confinement des écoles a été imposé par le conseil scientifique et proposé à l'écosystème scolaire. Le plus grave à notre avis, et c'est notre opinion, les enseignants martiniquais ne se sont pas élevés contre cette torpeur des responsables politiques et syndicaux. Pire ils ont hurlé avec les loups.
Expert auprès de différentes conférences de consensus concernant, l’infectiologie, membre du Bureau de la FMC de la Société Française de Pathologie Infectieuse, le Professeur Cohen Membre du conseil scientifique du groupe de Pathologie Infectieuse de la société Française de Pédiatrie, considère que la reprise des écoles est indispensable pour la structuration des enfants. Il reprend même à son compte l'idée du ministre de l'éducation Jean-Michel Blanquer selon laquelle il est plus dangereux de garder les enfants à la maison que de les mettre à l'école dans un protocole contraint