En effet, il n’est pas rare que dans des partis des courants d’idées se confrontent, se frottent voire même se froissent. Les rapports d’homme à homme sont aussi à la base de conflit qui dégénèrent.. Les questions de la séduction entre hommes et femmes, avec son corollaire de sous-entendus, peuvent également alimenter une étincelle. En période d’élection tout cet amalgame se met en surchauffe et la pression est maximale. C’est ce qui arrive au MIM actuellement. Histoire de Rodolphe DESIRE au PPM et la lutte fratricide entre Claude LISE et Camille DARSIERE ne sont que quelques cas d’école qui démontrent que cela n’arrive pas qu’aux autres.
Mais ce qui est grave dans cette histoire, c’est la proportion que cela prend au MIM, et la forme de cette lutte contre la rébellion pour un parti qui est aux affaires. Le MIM est auréolé d’une des plus stupéfiantes victoires, est à l’origine d’une des plus improbables alliances et dispose d’un nouvel outil de restructuration du pays ; la CTM. Pourtant, aux yeux de tous, à l’oreille de qui voulait l’entendre et dans la seule bouche du président du MIM Alfred MARIE JEANNE les révolutionnaires de paille sont priés de sauter par-dessus bord en pleine mer. Cette affaire semble être l’angoisse du moment pour ceux qui sont au pouvoir. Attisée par une certaine presse qui préfère le tweet et les images détournées aux articles de fond, cette affaire du MIM, vient perturber les patrons du pays MARTINIQUE si ce n’est qui « artificient » le jeu pour assoire leur pouvoir !
Il est vrai que l’on pouvait s’attendre à tout sauf à cela dans cette période qui nécessite que tous palanque le pays.
La signature d’une pétition dont le but était de dénoncer selon les signataires les choix dits » non démocratiques du leader du MIM » a mis le feu aux poudres. AMJ considère que c’est un crime, qu’il ne peut pardonner. Les mots sont violents, il leur demande de déguerpir. La sentence est irrévocable ainsi s’arrête le parcours politique de ceux dont il s’agit. Man di zot alé.
Mais est-ce une manière de parler aux gens qui ne sont plus vos amis, qui pensent différemment de vous, lorsque vous êtes au pouvoir de la seule assemblé de tout un pays.
Que penser de la forme et du fond ?
Un parti, c’est comme dans une entreprise, lorsque l’on ne s’entend plus avec son patron, on s’en va. Sur la forme MAKACLA n’est pas surpris, Alfred MARIE JEANNE fait du Alfred MARIE JEANNE. Il sait que tous ceux qui sont autour de lui doivent tout incontestablement et qu’aucun deux n’a assez de force pour se dresser devant ses méthodes de prise de décision. C’est dans un mot du MIM qu’il avait annoncé qu’il serait le candidat du MIM.
Mais ce qui est grave dans cette histoire, c’est la proportion que cela prend au MIM, et la forme de cette lutte contre la rébellion pour un parti qui est aux affaires. Le MIM est auréolé d’une des plus stupéfiantes victoires, est à l’origine d’une des plus improbables alliances et dispose d’un nouvel outil de restructuration du pays ; la CTM. Pourtant, aux yeux de tous, à l’oreille de qui voulait l’entendre et dans la seule bouche du président du MIM Alfred MARIE JEANNE les révolutionnaires de paille sont priés de sauter par-dessus bord en pleine mer. Cette affaire semble être l’angoisse du moment pour ceux qui sont au pouvoir. Attisée par une certaine presse qui préfère le tweet et les images détournées aux articles de fond, cette affaire du MIM, vient perturber les patrons du pays MARTINIQUE si ce n’est qui « artificient » le jeu pour assoire leur pouvoir !
Il est vrai que l’on pouvait s’attendre à tout sauf à cela dans cette période qui nécessite que tous palanque le pays.
La signature d’une pétition dont le but était de dénoncer selon les signataires les choix dits » non démocratiques du leader du MIM » a mis le feu aux poudres. AMJ considère que c’est un crime, qu’il ne peut pardonner. Les mots sont violents, il leur demande de déguerpir. La sentence est irrévocable ainsi s’arrête le parcours politique de ceux dont il s’agit. Man di zot alé.
Mais est-ce une manière de parler aux gens qui ne sont plus vos amis, qui pensent différemment de vous, lorsque vous êtes au pouvoir de la seule assemblé de tout un pays.
Que penser de la forme et du fond ?
Un parti, c’est comme dans une entreprise, lorsque l’on ne s’entend plus avec son patron, on s’en va. Sur la forme MAKACLA n’est pas surpris, Alfred MARIE JEANNE fait du Alfred MARIE JEANNE. Il sait que tous ceux qui sont autour de lui doivent tout incontestablement et qu’aucun deux n’a assez de force pour se dresser devant ses méthodes de prise de décision. C’est dans un mot du MIM qu’il avait annoncé qu’il serait le candidat du MIM.
Alfred MARIE JANNE , par DUNON, par CAROLE, par bientôt TORPILLE à shoelcher n’a qu’un seul projet : déstabiliser la zone CACEM, déverrouiller Fort-de-France
Personne n’a ouvertement contesté cette auto proclamation et nous savons la suite de l’histoire qui se termina par le baiser au groupe de la droite MONPLAISIR.
Jean Philippe NILOR mesure ainsi les conséquences de sa défaite sur Sainte Luce. Nella va ravaler son envie de députation. DMS est l’homme de confiance, qui a obtenu DUNON en gage. SAINT AIME, n’a pas saisit la perche au bon moment et est en train de se faire ravir la vedette par toutes les jolies gazelles du groupe MONPLAISIR. NORCA dit-on est trop amoureuse pour faire preuve de discernement. Francis CAROLE restant le seul homme libre de conscience qui correspond à cet instant précis à la stratégie du leader du MIM et qui joue de celà.
MARIE JEANNE n’a donc rien à foutre de tous ceux qui l’entourent et tous ceux qui n’ont pas compris le seul projet du leader du MIM sont priés de se tenir à l’écart. C’est ce que l’on appelle le larbinisme, ou le suivisme malgré soi ; On se croirait être dans une danse avec la plus belle fille du village mais être incapable de faire la tourner pour la faire valser. Cela à un autre nom c’est la gestion par la peur.
Alfred MARIE JANNE , par DUNON, par CAROLE, par bientôt TORPILLE à shoelcher n’a qu’un seul projet : déstabiliser la zone CACEM, déverrouiller Fort-de-France pour devenir lui dans son bel age au minimum l’égal d Aimé CESAIRE, et faire du MIM le plus grand parti de la MARTINIQUE.
C’est son objectif, c’est son droit, mais est ce cela qu’il faut pour désankaillé le pays ?
Les élections présidentielles françaises et leur cortège de candidats de passage nous montrent bien que l’enjeu est ailleurs. La MARTINIQUE sociale se paupérise, est toujours si dépendante, a toujours la main tendue et n’a pas opérationnel à son chevet. Plus personne ne met l’état devant ses responsabilités, personne n’est en mesure de donner confiance à la jeunesse et à la population pour leur faire oser entamer le sursaut salutaire.
La tache est si grande qu’il conviendrait au moment de se mettre hors-tout groupe politique, avec le monde des associations corporatistes au service du pays une fois les élections terminées
C’est le contraire qui se fait actuellement en MARTINIQUE et ce n’est pas fini nous sommes à la veille des élections municipales de 2020.
Vous voyez pendant que MARIE JEANNE gèrent ses héritiers affamés de pouvoir et qu’il renforce sa domination, le pays fou le camp. cela peut-il encore durer plus longtemps ?
Le problème, c’est qu’ailleurs dans les autres partis en MARTINIQUE c’est pire encore !