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MAKAC LA se permet un une tentative de rélexion sur la question.
Nouvelle semaine 17/10/2016 Mais une même résolution.
MAKACLA, préfère faire l’info plus que de la suivre. Loin de critiquer de la presse industrielle c’est une manière d’informer notre lecteur que notre contenu sera différent.
C’est quoi selon nous la presse industrielle. De la même manière qu’il y ait des usines qui fabriquent des yaourts en grande série, il y a des usines qui fabriquent des informations à la pelle. Un yaourt a un parfum, le parfum d’une info c’est la ligne éditoriale de la rédaction qui la diffuse.
Un yaourt est à base de matière première du lait par exemple. Le lait d’une info provient d’un minéral inépuisable que constitue l’actualité. La science en est un autre. La politique par exemple donne du grain à moudre aux journalistes.
Comme un yaourt l’info n’a pas d’autres buts que de plaire. Plaire au plus grand nombre est mieux dans certains cas.
Une info qui plait et que l’auditeur et le lecteur viennent chercher va faire prospérer celui qui l’aura diffusée. Il s’agit de l’audience. Plus l’audience sera grande et plus la possibilité de transformer cette audience en publicité sera appréciable pour ceux qui payent les journalistes.
Dans les sociétés de radio télé diffusion l’objectif : produire une valeur ajoutée. Martinique première est la voix de l’État. RLDM la voie vers le patriotisme la responsabilité l’information des travailleurs. On peut se demander au profit de qui ? Si quelqu’un paye c’est à sont profit. Cessons donc d’etre naifs, mais convenons que tous les autres médias qui vivent de la publicité sont au service des grandes marques et du monde économique.
Il n’y a ni gloire ni mépris à être de l’une de ces catégories, sauf qu’il est compliqué de s’opposer contre celui qui vous alimente, vous protège et vous donne votre légitimité.
Quand on sait que dans le monde industriel la première contrainte est le format et le renouvellement des modèles, rien d’étonnant à ce que l’objectif des presses industrielles soit la multiplication des sujets, leur mise en boîte selon une durée limitée, et la recherche de la nouveauté.
Attention ! MAKACLA n’a pas dit que les journalistes de la presse industrielle ne sont pas libres et objectifs et qu’ils n’ont pas de talent. Nous disons qu’ils sont contraints par l’écosystème dans lequel évolue leur média.
MAKACLA, préfère faire l’info plus que de la suivre. Loin de critiquer de la presse industrielle c’est une manière d’informer notre lecteur que notre contenu sera différent.
C’est quoi selon nous la presse industrielle. De la même manière qu’il y ait des usines qui fabriquent des yaourts en grande série, il y a des usines qui fabriquent des informations à la pelle. Un yaourt a un parfum, le parfum d’une info c’est la ligne éditoriale de la rédaction qui la diffuse.
Un yaourt est à base de matière première du lait par exemple. Le lait d’une info provient d’un minéral inépuisable que constitue l’actualité. La science en est un autre. La politique par exemple donne du grain à moudre aux journalistes.
Comme un yaourt l’info n’a pas d’autres buts que de plaire. Plaire au plus grand nombre est mieux dans certains cas.
Une info qui plait et que l’auditeur et le lecteur viennent chercher va faire prospérer celui qui l’aura diffusée. Il s’agit de l’audience. Plus l’audience sera grande et plus la possibilité de transformer cette audience en publicité sera appréciable pour ceux qui payent les journalistes.
Dans les sociétés de radio télé diffusion l’objectif : produire une valeur ajoutée. Martinique première est la voix de l’État. RLDM la voie vers le patriotisme la responsabilité l’information des travailleurs. On peut se demander au profit de qui ? Si quelqu’un paye c’est à sont profit. Cessons donc d’etre naifs, mais convenons que tous les autres médias qui vivent de la publicité sont au service des grandes marques et du monde économique.
Il n’y a ni gloire ni mépris à être de l’une de ces catégories, sauf qu’il est compliqué de s’opposer contre celui qui vous alimente, vous protège et vous donne votre légitimité.
Quand on sait que dans le monde industriel la première contrainte est le format et le renouvellement des modèles, rien d’étonnant à ce que l’objectif des presses industrielles soit la multiplication des sujets, leur mise en boîte selon une durée limitée, et la recherche de la nouveauté.
Attention ! MAKACLA n’a pas dit que les journalistes de la presse industrielle ne sont pas libres et objectifs et qu’ils n’ont pas de talent. Nous disons qu’ils sont contraints par l’écosystème dans lequel évolue leur média.
Un minimum de sujets par jour, une prédominance pour un type d’information, peu d’enquête, l’impossibilité de rentrer au fond des sujets, et très probablement un sentiment de ne pas pouvoir faire changer les choses , malgré l’impact possible de leur micro.
Je vous décris ce contexte car ce samedi après-midi 15 Octobre 2016 Nous nous sommes rendus à l’ouverture de la saison du mouvement NOU PEP LA. Les organisateurs appellent cela une rentrée politique.
Toute la presse y était, l’industrielle aussi. Ils sont venus, ont interrogé et sont repartis. Aucun d’entre eux n’a suivi l’ensemble des débats, et les contenus des différentes interventions.
Qu’ont-ils donc dû dire s’ils n’ont pas entendu, Gilbert PAGO, PIERRE CHARLES, BERRISON et le discours de clôture de Garcin MALSA sur cette rentrée politique ? Sans doute pas plus que les banalités qu’une minute trente d’un sujet permettent. À moins qu’il ne s’agisse d’informations auréolées fondées sur des a priori ou de lieux communs.
MAKACLA n’a pas la même contrainte du temps et du nombre car nous n’avons pas les mêmes objectifs de valeurs ajoutées. Nous pendrons donc le temps de développer le sujet, de nous interroger et de partager avec vous notre intime conviction.
Un sujet par jour sur la question durant une semaine, c’est notre promesse.
Bonne lecture
Je vous décris ce contexte car ce samedi après-midi 15 Octobre 2016 Nous nous sommes rendus à l’ouverture de la saison du mouvement NOU PEP LA. Les organisateurs appellent cela une rentrée politique.
Toute la presse y était, l’industrielle aussi. Ils sont venus, ont interrogé et sont repartis. Aucun d’entre eux n’a suivi l’ensemble des débats, et les contenus des différentes interventions.
Qu’ont-ils donc dû dire s’ils n’ont pas entendu, Gilbert PAGO, PIERRE CHARLES, BERRISON et le discours de clôture de Garcin MALSA sur cette rentrée politique ? Sans doute pas plus que les banalités qu’une minute trente d’un sujet permettent. À moins qu’il ne s’agisse d’informations auréolées fondées sur des a priori ou de lieux communs.
MAKACLA n’a pas la même contrainte du temps et du nombre car nous n’avons pas les mêmes objectifs de valeurs ajoutées. Nous pendrons donc le temps de développer le sujet, de nous interroger et de partager avec vous notre intime conviction.
Un sujet par jour sur la question durant une semaine, c’est notre promesse.
Bonne lecture
