Du point de vue institutionnel, l’année 2016 a été une année de transition qui a vu la mise en place progressive de la nouvelle collectivité territoriale. Désormais opérationnelle, celle-ci devrait donc être en mesure de relancer ses investissements dès 2017.
Dans un contexte de vieillissement et de baisse de la population, la situation sur le marché du travail s’est améliorée. Ces résultats sont portés par la consommation des ménages et l’investissement d’une part, et la reprise des activités de services et le tourisme d’autre part. Le secteur bancaire a également su répondre au besoin de financement des ménages et des entreprises, la reprise des crédits à la consommation et des crédits d’équipement s’affirmant depuis deux ans. Cependant, tous les secteurs d’activités ne bénéficient pas de cette amorce de relance.
Le secteur primaire, spécialement la banane, a souffert d’aléas climatiques (forte pluviométrie et tempête cyclonique) ; l’agroalimentaire enregistre aussi des résultats mitigés, notamment concernant la production de sucre. Les secteurs du BTP et de l’industrie ne parviennent pas encore à retrouver une dynamique positive et restent dans l’attente d’une reprise des investissements publics. Du point de vue institutionnel, l’année 2016 a été une année de transition qui a vu la mise en place progressive de la nouvelle collectivité territoriale. Désormais opérationnelle, celle-ci devrait donc être en mesure de relancer ses investissements dès 2017.
Pour autant, au-delà des moteurs classiques de l’économie, et pour s’inscrire dans une perspective de croissance plus soutenue et durable, la Martinique devra se tourner vers des secteurs innovants tels que l’économie bleue, le tourisme vert, pour tirer profit de ses atouts et de ses richesses naturelles.
Elle aura également à relever deux grands défis : la transition énergétique pour ne plus dépendre des seules énergies fossiles et le changement démographique en œuvre, qui appelle à adapter les infrastructures et les offres de service
Le secteur primaire, spécialement la banane, a souffert d’aléas climatiques (forte pluviométrie et tempête cyclonique) ; l’agroalimentaire enregistre aussi des résultats mitigés, notamment concernant la production de sucre. Les secteurs du BTP et de l’industrie ne parviennent pas encore à retrouver une dynamique positive et restent dans l’attente d’une reprise des investissements publics. Du point de vue institutionnel, l’année 2016 a été une année de transition qui a vu la mise en place progressive de la nouvelle collectivité territoriale. Désormais opérationnelle, celle-ci devrait donc être en mesure de relancer ses investissements dès 2017.
Pour autant, au-delà des moteurs classiques de l’économie, et pour s’inscrire dans une perspective de croissance plus soutenue et durable, la Martinique devra se tourner vers des secteurs innovants tels que l’économie bleue, le tourisme vert, pour tirer profit de ses atouts et de ses richesses naturelles.
Elle aura également à relever deux grands défis : la transition énergétique pour ne plus dépendre des seules énergies fossiles et le changement démographique en œuvre, qui appelle à adapter les infrastructures et les offres de service