En réalité Louis-Joseph MANSCOUR jette de l’huile sur le feu en voici la preuve :
Si Louis-Joseph MANSCOUR a oublié cet épisode, où un « venu d’ailleurs » l’avait fait valser, son égo s’en souvient certainement pour lui. LJM est toujours sous calmant anesthésié par AMJ dont la carrière retrouvait un nouveau souffle, à l’occasion d’une victoire éclatante et sans contestation,possible. Toujours impressionné par ce qui lui est arrivé, Louis-Joseph MANSCOUR prétextant la cause du peuple demande à ses amis politiques EPM de calmer le jeu.
En réalité Louis-Joseph MANSCOUR jette de l’huile sur le feu en voici la preuve :
Il fini par traiter le groupe MARIE JEANNE de « chefaillon », d’une République bananière, je cite : de « potentat » voici la phrase : « croire qu’une victoire électorale, fût-elle nette, ferait de celui qui l’incarne, un potentat. »
En réalité tous les dossiers cités par Louis-Joseph MANSCOUR, dévoilent d’une part une fracture idéologique profonde entre la PPM et le MIM et d’autre part, une vision totalement divergente de ce que doit être le développement de la Martinique. Ces deux parties sont donc antagoniques et irréconciliables.
A ce propos voici ce que Louis-Joseph MANSCOUR ne dit pas et qu’il sait ;
« Les questions portant sur le lycée Schœlcher ou le lycée de transit ;
C’est un règlement de compte politique engagé par AMJ, et sans doute une stratégie électorale, visant à déstabiliser la zone CACEM. Fort de France, Lamentin, Schœlcher, sont des villes à prendre et l’alliance MIM DROITE ouvre les appétits et des perspectives. Les candidats EPM futurs, pour la direction de ces villes sont ou bien des bras cassés, ou incarnent des missiles en fin de poussée incapables d’allez chercher la lune.
C’est entre autre le cas de David ZOBDA qui veut être député avant d’être Maire, de Didier LAGUERRE à qui une primaire pend au nez.
Le lycée Schœlcher est donc une affaire politique pour le MIM, cela regarde ceux qui ne l’ont pas compris.
Le financement et la mise en route du TCSP ;
Ce dossier est la plaie ouverte entre le MIM et PPM. Le MIM reproche au PPM le montage financier et administratif de cette affaire, où, en réalité pour ne pas perdre les fonds européens l’ex Région a mis VINCI en position de force….
Le MIM ne digère pas cette quenelle.
L’existence d’un déficit réel ou supposé des collectivités régionale/départementale :
Pour le MIM, les PPM et compagnie sont des voleurs, des truands inaptes à gérer le moindre budget pour le peuple sans laisser trainer des mains hasardeuses, coquines, et malfaisantes.
C’est donc la rancune, la mésestime, la déconsidération en attendant la violence physique qui animent la relation entre ces deux groupes politiques que tout oppose.
Naïf est celui qui croit en un apaisement, idiot est celui qui croit en une réconciliation, et menteur est celui qui prophétise la cause du peuple.
La Martinique va bien, elle tourne, des entreprises gagnent des sous, l’état paye sa dette d’occupation, alors pourquoi se priver de combats de cop dans les médias et sur les réseaux sociaux !
Ainsi va notre pays.
En réalité Louis-Joseph MANSCOUR jette de l’huile sur le feu en voici la preuve :
Il fini par traiter le groupe MARIE JEANNE de « chefaillon », d’une République bananière, je cite : de « potentat » voici la phrase : « croire qu’une victoire électorale, fût-elle nette, ferait de celui qui l’incarne, un potentat. »
En réalité tous les dossiers cités par Louis-Joseph MANSCOUR, dévoilent d’une part une fracture idéologique profonde entre la PPM et le MIM et d’autre part, une vision totalement divergente de ce que doit être le développement de la Martinique. Ces deux parties sont donc antagoniques et irréconciliables.
A ce propos voici ce que Louis-Joseph MANSCOUR ne dit pas et qu’il sait ;
« Les questions portant sur le lycée Schœlcher ou le lycée de transit ;
C’est un règlement de compte politique engagé par AMJ, et sans doute une stratégie électorale, visant à déstabiliser la zone CACEM. Fort de France, Lamentin, Schœlcher, sont des villes à prendre et l’alliance MIM DROITE ouvre les appétits et des perspectives. Les candidats EPM futurs, pour la direction de ces villes sont ou bien des bras cassés, ou incarnent des missiles en fin de poussée incapables d’allez chercher la lune.
C’est entre autre le cas de David ZOBDA qui veut être député avant d’être Maire, de Didier LAGUERRE à qui une primaire pend au nez.
Le lycée Schœlcher est donc une affaire politique pour le MIM, cela regarde ceux qui ne l’ont pas compris.
Le financement et la mise en route du TCSP ;
Ce dossier est la plaie ouverte entre le MIM et PPM. Le MIM reproche au PPM le montage financier et administratif de cette affaire, où, en réalité pour ne pas perdre les fonds européens l’ex Région a mis VINCI en position de force….
Le MIM ne digère pas cette quenelle.
L’existence d’un déficit réel ou supposé des collectivités régionale/départementale :
Pour le MIM, les PPM et compagnie sont des voleurs, des truands inaptes à gérer le moindre budget pour le peuple sans laisser trainer des mains hasardeuses, coquines, et malfaisantes.
C’est donc la rancune, la mésestime, la déconsidération en attendant la violence physique qui animent la relation entre ces deux groupes politiques que tout oppose.
Naïf est celui qui croit en un apaisement, idiot est celui qui croit en une réconciliation, et menteur est celui qui prophétise la cause du peuple.
La Martinique va bien, elle tourne, des entreprises gagnent des sous, l’état paye sa dette d’occupation, alors pourquoi se priver de combats de cop dans les médias et sur les réseaux sociaux !
Ainsi va notre pays.
La tribune de Louis- Joseph MANSCOUR
« LES MARTINIQUAIS ASPIRENT A UN CLIMAT POLITIQUE APAISE ! »
En tant que responsable politique et élu Martiniquais, je ne puis rester impassible face à cette dégradation constante et sans fin du climat politique, qui ternit l’image de notre pays et, pire encore, disqualifie au passage, la classe politique et bafoue la démocratie, la politique et les hommes politiques Martiniquais. Depuis ce mémorable 13 décembre 2015, je me suis tu.
Certainement parce que je me suis senti, coupable de ce que l’on ait pu obtenir de moi ce que ma raison réprouvait ; ou que je me sentais comptable de cette perte de confiance, que le peuple martiniquais, avec enthousiasme, nous avait accordée, nous, membres d’EPMN. Depuis ce mémorable 13 décembre 2015, dans ce tintamarre politico-médiatique, on est loin du débat d’idées, des conceptions démocratiques, des projets politiques pour la responsabilité Martiniquaise.
Tout se passe comme si les protagonistes du 2ème tour, continueraient l’affrontement, oubliant par la même, le sens des responsabilités et l’intérêt supérieur de notre pays. Dans un tel contexte, notre actualité est ponctuée dans les médias et les réseaux sociaux, de querelles entre perdants et vainqueurs, faisant fi de l’intérêt supérieur du pays-Martinique.
Refuser de faire le deuil d’une défaite électorale inattendue, spéculer sur des stocks de provisions d’espoir, décimés sur des gisements d’illusions, sont tout autant regrettables, voire dangereux pour la démocratie, que de croire qu’une victoire électorale, fût-elle nette, ferait de celui qui l’incarne, un potentat.
Raisonnablement, les questions portant sur le lycée Schœlcher ou le lycée de transit ; le financement et la mise en route du TCSP ; l’existence d’un déficit réel ou supposé des collectivités régionale/départementale, pourraient être traitées loin de ce déballage confus, démagogique et stérile déversé dans l’opinion publique !! Un tel climat délétère et de déstabilisation, est inacceptable et ne saurait durer davantage. Les enjeux pour notre pays, déjà fragilisé, sont trop importants, et les risques de blocage bien réels !
Dans ce bras de fer, c’est le peuple Martiniquais qui est pris en otage. Dans ce bras de fer, c’est la Martinique qui est à l’arrêt et ce sont, encore, les plus faibles qui trinquent. Dans ce bras de fer, c’est notre jeunesse, dont l’avenir inquiète, qui est pénalisée ! Je lance un appel aux uns et aux autres. Je NOUS invite, à plus de conscience politique, à plus de hauteur de vue, au moment où nous allons fêter le 22 mai, qui symbolise la naissance du peuple Martiniquais.
Je NOUS invite à respecter le sacrifice qu’ont consenti des générations d’hommes et de femmes de progrès, des esprits éclairés, qui ont revendiqué la dignité, le progrès et l’émancipation du peuple Martiniquais. Il faut que cesse définitivement cet affrontement politico-électoral. IL FAUT SE METTRE AU TRAVAIL, POUR FAIRE GAGNER LA MARTINIQUE ! RESPECTONS LE VERDICT DES URNES DU 13 DECEMBRE 2015 afin de permettre à l’équipe élue démocratiquement, de mettre en œuvre son projet de gouvernance.
Dans un pays où, derrière les apparences de modernité et de richesses, il y a tant de difficultés, tant d’inégalités, tant de souffrances, tant de désespérances des jeunes et de personnes âgées, nous ne saurions permettre de laisser perdurer un tel climat politique, SUICIDAIRE POUR LA MARTINIQUE.
Mardi 10 mai 2016 -10:30 Louis-Joseph MANSCOUR Député Européen, Maire Honoraire de la Trinité, Ex Député à l’Assemblée Nationale
En tant que responsable politique et élu Martiniquais, je ne puis rester impassible face à cette dégradation constante et sans fin du climat politique, qui ternit l’image de notre pays et, pire encore, disqualifie au passage, la classe politique et bafoue la démocratie, la politique et les hommes politiques Martiniquais. Depuis ce mémorable 13 décembre 2015, je me suis tu.
Certainement parce que je me suis senti, coupable de ce que l’on ait pu obtenir de moi ce que ma raison réprouvait ; ou que je me sentais comptable de cette perte de confiance, que le peuple martiniquais, avec enthousiasme, nous avait accordée, nous, membres d’EPMN. Depuis ce mémorable 13 décembre 2015, dans ce tintamarre politico-médiatique, on est loin du débat d’idées, des conceptions démocratiques, des projets politiques pour la responsabilité Martiniquaise.
Tout se passe comme si les protagonistes du 2ème tour, continueraient l’affrontement, oubliant par la même, le sens des responsabilités et l’intérêt supérieur de notre pays. Dans un tel contexte, notre actualité est ponctuée dans les médias et les réseaux sociaux, de querelles entre perdants et vainqueurs, faisant fi de l’intérêt supérieur du pays-Martinique.
Refuser de faire le deuil d’une défaite électorale inattendue, spéculer sur des stocks de provisions d’espoir, décimés sur des gisements d’illusions, sont tout autant regrettables, voire dangereux pour la démocratie, que de croire qu’une victoire électorale, fût-elle nette, ferait de celui qui l’incarne, un potentat.
Raisonnablement, les questions portant sur le lycée Schœlcher ou le lycée de transit ; le financement et la mise en route du TCSP ; l’existence d’un déficit réel ou supposé des collectivités régionale/départementale, pourraient être traitées loin de ce déballage confus, démagogique et stérile déversé dans l’opinion publique !! Un tel climat délétère et de déstabilisation, est inacceptable et ne saurait durer davantage. Les enjeux pour notre pays, déjà fragilisé, sont trop importants, et les risques de blocage bien réels !
Dans ce bras de fer, c’est le peuple Martiniquais qui est pris en otage. Dans ce bras de fer, c’est la Martinique qui est à l’arrêt et ce sont, encore, les plus faibles qui trinquent. Dans ce bras de fer, c’est notre jeunesse, dont l’avenir inquiète, qui est pénalisée ! Je lance un appel aux uns et aux autres. Je NOUS invite, à plus de conscience politique, à plus de hauteur de vue, au moment où nous allons fêter le 22 mai, qui symbolise la naissance du peuple Martiniquais.
Je NOUS invite à respecter le sacrifice qu’ont consenti des générations d’hommes et de femmes de progrès, des esprits éclairés, qui ont revendiqué la dignité, le progrès et l’émancipation du peuple Martiniquais. Il faut que cesse définitivement cet affrontement politico-électoral. IL FAUT SE METTRE AU TRAVAIL, POUR FAIRE GAGNER LA MARTINIQUE ! RESPECTONS LE VERDICT DES URNES DU 13 DECEMBRE 2015 afin de permettre à l’équipe élue démocratiquement, de mettre en œuvre son projet de gouvernance.
Dans un pays où, derrière les apparences de modernité et de richesses, il y a tant de difficultés, tant d’inégalités, tant de souffrances, tant de désespérances des jeunes et de personnes âgées, nous ne saurions permettre de laisser perdurer un tel climat politique, SUICIDAIRE POUR LA MARTINIQUE.
Mardi 10 mai 2016 -10:30 Louis-Joseph MANSCOUR Député Européen, Maire Honoraire de la Trinité, Ex Député à l’Assemblée Nationale