Le 7 novembre 2018, lors de leur assemblée plénière à Lourdes, les évêques de France ont décidé, en complément des dispositifs déjà en œuvre, la création d’une commission indépendante destinée plus globalement à faire la lumière sur le passé, pour en tirer les conséquences et rétablir la confiance.
La Conférence des religieux et religieuses de France, lors de son Assemblée Générale à Lourdes le 12 novembre 2018, s’est pleinement associée à cette démarche destinée à « la mise en place d’une commission indépendante chargée de faire la lumière sur les abus sexuels sur mineurs dans l’Église catholique depuis 1950, de comprendre les raisons qui ont favorisé la manière dont ont été traitées ces affaires et de faire des préconisations, notamment en évaluant les mesures prises depuis les années 2000 ».
Le 13 novembre 2018, Jean-Marc Sauvé, vice- président honoraire du Conseil d’État, a accepté à la demande de la Conférence des Évêques de France (CEF) et de la Conférence des religieux et religieuses de France (CORREF) de constituer et de présider cette commission.
Le premier travail de cette commission est, dans toute la mesure du possible, de recenser et d’établir les faits. l faudra ensuite examiner quelles suites ont été réservées, ou pas, aux abus sexuels constatés en tenant compte du contexte des époques concernées. Il faudra, en troisième lieu, analyser les mécanismes, notamment institutionnels et culturels, ayant permis qu’aient pu être commis des abus sexuels et que ces abus n’aient pas été traités de manière adéquate.
Pendant ce séjour aux Antilles, les représentants tenteront de libérer la parole autour de ces questions de violences sexuelles et de pédophilie.
Le 13 novembre 2018, Jean-Marc Sauvé, vice- président honoraire du Conseil d’État, a accepté à la demande de la Conférence des Évêques de France (CEF) et de la Conférence des religieux et religieuses de France (CORREF) de constituer et de présider cette commission.
Le premier travail de cette commission est, dans toute la mesure du possible, de recenser et d’établir les faits. l faudra ensuite examiner quelles suites ont été réservées, ou pas, aux abus sexuels constatés en tenant compte du contexte des époques concernées. Il faudra, en troisième lieu, analyser les mécanismes, notamment institutionnels et culturels, ayant permis qu’aient pu être commis des abus sexuels et que ces abus n’aient pas été traités de manière adéquate.
Pendant ce séjour aux Antilles, les représentants tenteront de libérer la parole autour de ces questions de violences sexuelles et de pédophilie.