La première c'est qu'il y a effectivement un problème d'ingérence insupportable expliqué par un lecteur. Voici son explication. Elle est technique;
« Ce sujet reflète l''ambiguïté des institutions françaises, s''agissant des relations entre le pouvoir central et la représentation locale. La plupart des membres du gouvernement sous la Vème République viennent du Parlement. Les parlementaires émanent eux-mêmes en très grande majorité de la représentation locale. Le système majoritaire qui caractérise cette Vème République amplifie ce phénomène. S''agissant de Mme PAU-LANGEVIN, il faudrait rappeler qu''elle était présidente du comité de soutien de Victorin Lurel aux élections régionales en Guadeloupe, alors même qu''elle était ministre des outre-mers en fonctions (succédant d''ailleurs à ce même M. Lurel à ce poste). N''est-ce pas là un autre exemple d''ingérence du pouvoir central dans les affaires locales ?
La seconde analyse est politique, est de notre rédaction. MAKAC LA constate que personne pour l'heure n'a parlé de malversations. Pas même le MIM. Le PPM n'a donc pas été soupçonné de traficotage au profit des élus. Peut être au profit de certaines collectivités: Mais pourquoi un électeur foyalais devrait voter s’il ne s'agissait pas de permettre à un élu de Fort de France d'aider la capitale.
De ce préalable découle un autre. Si l'argent n'a pas été volé il a donc été investi. Il à permis d'équiper le pays. Alors 80 millions est ce beaucoup? L a réponse est non si on considère le montant mis par l'ex région dans le seul plateau technique de l’Hôpital PZQ : En sa qualité d'autonomiste SL a investi plus qu'il ne fallait dans cette réalisation par exemple. On parle de plusieurs millions d'euros. Ce n'était pas à lui de le faire c’était à l'état d'équiper la colonie qu'il occupe. Ce n'est pas le seul lieu ou il se comportât ainsi!
Mais l'initiative qui consiste à demander à un ministre de fournir un document de trésorerie pour argumenter un résultat est à la limite du triste. Cette demande démontre que la parole des élus locaux n'a plus de poids et donne le sentiment de prendre les gens pour des Ti sonson.
En fait le PPM devait assumer ces responsabilités expliquer son choix et argumenter sur l'aspect investissement de ces sommes. Pour assumer il fallait défendre son bilan. Catherine Conconne n'a pas desserré les lèvres; Elle avait raison d’agir de la sorte. Elle si critiquée, qui a déjà pris tant de coups pour s’être comportée en bras armé.
C'était à Letchimy qui connaissait bien la réalité financière de l'institution d’être là et d'assumer. Ayant déserté l'institution, au mauvais moment, l'espace médiatique quand son électorat veut savoir ce qu'il devient, et le terrain de la capitale depuis des années, ( Malgrés impact travaux TCSP sur FDF ) il laisse donc seul dans la fournaise des gens qui n'ont jamais réussi à l'interpeller, à lui dire stop durant toute sa mandature, trop peureux de ne pas être reconduits par le seul maitre à bord, sur une liste qui ne pouvait que gagner.
Voici donc le triste spectacle que donne le PPM alors que ces derniers sont tout de même porteurs de 70 000 voix. Même si 83 000 donnent plus de légitimité 70 000 c'est beaucoup lorsque on l'a fait seul.
Les bons cotés de cette défaite sont donc les suivants ; il n’y a plus de personne au PPM qui dispose de toute la science politique. Nous verrons si les seconds couteaux s'en sortent sans Conconne. De toute façon ce qui ne tue pas rend plus fort !
Cela promet un congrès agité.
« Ce sujet reflète l''ambiguïté des institutions françaises, s''agissant des relations entre le pouvoir central et la représentation locale. La plupart des membres du gouvernement sous la Vème République viennent du Parlement. Les parlementaires émanent eux-mêmes en très grande majorité de la représentation locale. Le système majoritaire qui caractérise cette Vème République amplifie ce phénomène. S''agissant de Mme PAU-LANGEVIN, il faudrait rappeler qu''elle était présidente du comité de soutien de Victorin Lurel aux élections régionales en Guadeloupe, alors même qu''elle était ministre des outre-mers en fonctions (succédant d''ailleurs à ce même M. Lurel à ce poste). N''est-ce pas là un autre exemple d''ingérence du pouvoir central dans les affaires locales ?
La seconde analyse est politique, est de notre rédaction. MAKAC LA constate que personne pour l'heure n'a parlé de malversations. Pas même le MIM. Le PPM n'a donc pas été soupçonné de traficotage au profit des élus. Peut être au profit de certaines collectivités: Mais pourquoi un électeur foyalais devrait voter s’il ne s'agissait pas de permettre à un élu de Fort de France d'aider la capitale.
De ce préalable découle un autre. Si l'argent n'a pas été volé il a donc été investi. Il à permis d'équiper le pays. Alors 80 millions est ce beaucoup? L a réponse est non si on considère le montant mis par l'ex région dans le seul plateau technique de l’Hôpital PZQ : En sa qualité d'autonomiste SL a investi plus qu'il ne fallait dans cette réalisation par exemple. On parle de plusieurs millions d'euros. Ce n'était pas à lui de le faire c’était à l'état d'équiper la colonie qu'il occupe. Ce n'est pas le seul lieu ou il se comportât ainsi!
Mais l'initiative qui consiste à demander à un ministre de fournir un document de trésorerie pour argumenter un résultat est à la limite du triste. Cette demande démontre que la parole des élus locaux n'a plus de poids et donne le sentiment de prendre les gens pour des Ti sonson.
En fait le PPM devait assumer ces responsabilités expliquer son choix et argumenter sur l'aspect investissement de ces sommes. Pour assumer il fallait défendre son bilan. Catherine Conconne n'a pas desserré les lèvres; Elle avait raison d’agir de la sorte. Elle si critiquée, qui a déjà pris tant de coups pour s’être comportée en bras armé.
C'était à Letchimy qui connaissait bien la réalité financière de l'institution d’être là et d'assumer. Ayant déserté l'institution, au mauvais moment, l'espace médiatique quand son électorat veut savoir ce qu'il devient, et le terrain de la capitale depuis des années, ( Malgrés impact travaux TCSP sur FDF ) il laisse donc seul dans la fournaise des gens qui n'ont jamais réussi à l'interpeller, à lui dire stop durant toute sa mandature, trop peureux de ne pas être reconduits par le seul maitre à bord, sur une liste qui ne pouvait que gagner.
Voici donc le triste spectacle que donne le PPM alors que ces derniers sont tout de même porteurs de 70 000 voix. Même si 83 000 donnent plus de légitimité 70 000 c'est beaucoup lorsque on l'a fait seul.
Les bons cotés de cette défaite sont donc les suivants ; il n’y a plus de personne au PPM qui dispose de toute la science politique. Nous verrons si les seconds couteaux s'en sortent sans Conconne. De toute façon ce qui ne tue pas rend plus fort !
Cela promet un congrès agité.