Les lendemains de grève ne changent pas, ils amènent toujours le même cortège de problèmes : paiement des jours non travaillés, chômage technique, Chômage partiel, cette fois lock-out, et surtout les conditions d'application de l'accord salarial.
Lors de l'assemblée générale extraordinaire de la CDMT, les différents leaders, en l’occurrence Roger Lanoix, Philippe Pierre-Charles, Alberic Marcelin, et de leur avocat Maître Raphaël Constant ont tenté d'expliquer aux salariés présents, et notamment aux délégués du personnel, comment gérer les obstacles qui se mettent en place au sein de leur entreprise pour empêcher la mise en place des acquis après négociations.
Une des commissions , pour ne pas dire la plus importante, la commission Emploi ,elle est encore au parking et les décideurs ne prennent pas en compte les propositions du Collectif du 5 février.
Les mesures sont là, mais rien ne semble être acté par exemple pour l’Education Nationale, Philippe Pierre Charles déclare que « La question du blocage et des suppressions de postes dans l'Education nationale sont toujours à l'ordre du jour », dans le secteur de l’agriculture, Roger Lanoix souligne que « certains chefs d'entreprises ne se sont pas présentés la semaine dernière à la préfecture ».
Pour maintenir le Pouvoir de Rue, de la mobilisation du Peuple aux Etats généraux, « la CDMT a proposé au Collectif du 5 février de mettre en place une « Convention », et de ne pas participer aux Etats généraux.
Une proposition comme une autre qui ne semble pas pour l'immédiat faire l'unanimité.
Le Collectif n'a pas pour l'instant annoncé une position arrêtée et ferme sur ces Etats-généraux où tout est déjà réglé. Les békés et leurs nègres domestiques ont rencontré récemment à Paris des membres du gouvernement, et surtout la Dame Penchard de l'Elysé,la fille de Lichaux-Chevry qui est en fait la vraie patronne de l'Outre-Mer et maman fait le ménage sur le terrain.
Les békés,pour leur part, ont remis un document dans lequel, ils mettent en avant la question des zones franches , le retour d'une défiscalisation sur dossier , une baisse de l'octroi de mer sur tous les produits et aussi une ferme opposition au passage du Port et de l'Aéroport à la Collectivité Régionale.
Comme quoi nous sommes bien dans un système 1789 imaginaire où l’on brûle des étapes sans trop savoir où l’on va, et dans tout cela les 220 000 manifestants des 38 jours Rouge pour la victoire , vont sans doute avoir des idées noires, et se poser des questions.
Lors de l'assemblée générale extraordinaire de la CDMT, les différents leaders, en l’occurrence Roger Lanoix, Philippe Pierre-Charles, Alberic Marcelin, et de leur avocat Maître Raphaël Constant ont tenté d'expliquer aux salariés présents, et notamment aux délégués du personnel, comment gérer les obstacles qui se mettent en place au sein de leur entreprise pour empêcher la mise en place des acquis après négociations.
Une des commissions , pour ne pas dire la plus importante, la commission Emploi ,elle est encore au parking et les décideurs ne prennent pas en compte les propositions du Collectif du 5 février.
Les mesures sont là, mais rien ne semble être acté par exemple pour l’Education Nationale, Philippe Pierre Charles déclare que « La question du blocage et des suppressions de postes dans l'Education nationale sont toujours à l'ordre du jour », dans le secteur de l’agriculture, Roger Lanoix souligne que « certains chefs d'entreprises ne se sont pas présentés la semaine dernière à la préfecture ».
Pour maintenir le Pouvoir de Rue, de la mobilisation du Peuple aux Etats généraux, « la CDMT a proposé au Collectif du 5 février de mettre en place une « Convention », et de ne pas participer aux Etats généraux.
Une proposition comme une autre qui ne semble pas pour l'immédiat faire l'unanimité.
Le Collectif n'a pas pour l'instant annoncé une position arrêtée et ferme sur ces Etats-généraux où tout est déjà réglé. Les békés et leurs nègres domestiques ont rencontré récemment à Paris des membres du gouvernement, et surtout la Dame Penchard de l'Elysé,la fille de Lichaux-Chevry qui est en fait la vraie patronne de l'Outre-Mer et maman fait le ménage sur le terrain.
Les békés,pour leur part, ont remis un document dans lequel, ils mettent en avant la question des zones franches , le retour d'une défiscalisation sur dossier , une baisse de l'octroi de mer sur tous les produits et aussi une ferme opposition au passage du Port et de l'Aéroport à la Collectivité Régionale.
Comme quoi nous sommes bien dans un système 1789 imaginaire où l’on brûle des étapes sans trop savoir où l’on va, et dans tout cela les 220 000 manifestants des 38 jours Rouge pour la victoire , vont sans doute avoir des idées noires, et se poser des questions.