En effet La Colas vient d'être condamnée à remettre une rivière en forme, tandis que l'usine La Favorite elle, vient de perdre un procès, toujours face à l'association de défense.
Auréolée de ses bons résultats et libérée des contingences électorales, la nouvelle Présidente est partie en croisade avec ses militants. L'idée, faire respecter les obligations environnementales partout où cela est nécessaire.
Et pour bien démontrer que l'association entend investir tout le territoire c'est au Lorrain que ces derniers se sont retrouvés. L'objet du déplacement, un lotissement de plus de 10 ans, au Lorrain, non raccordé au réseau d’évacuation et de traitement des eaux usées.
Et pour bien démontrer que l'association entend investir tout le territoire c'est au Lorrain que ces derniers se sont retrouvés. L'objet du déplacement, un lotissement de plus de 10 ans, au Lorrain, non raccordé au réseau d’évacuation et de traitement des eaux usées.
C'est à la mairie de la commune du Lorrain que l'association a terminé sa course du jour !
C'est bien la preuve qu'il n'y a pas que Rivière-Pilote où le réseau d'évacuation n'est pas opérationnel. L'association avec à sa tête la Présidente, a dans un premier temps réalisé un direct, pour bien montrer la situation. Alors que les fosses toutes eaux existent, la fin du réseau de raccordement n'est pas établie entre le lotissement et les cuves. Sauf que la matière fécale est bien présente dans le réseau, s'accumulant du même coup dans le dernier regard.
La règlement en ce point est strict, c'est au lotisseur d'organiser l'évacuation des eaux pluviales, eaux grises et tout à l'égout. C'est en fonction de ces dispositions que le permis de lotir est délivré. Mais qui vérifie après , le raccordement et le bon fonctionnement des installations, c'est une toute autre histoire.
En Martinique nous découvrons finalement qu'il faut multiplier les collectifs pour obtenir le bon fonctionnement des administrations , du service aux usagers et du service public. Entre-temps il n'empêche que ce sont émanations et fuites qui parfument et souillent la vie des habitants du secteur. Un petit agriculteur en contrebas n'en demandait pas tant.
En Martinique nous découvrons finalement qu'il faut multiplier les collectifs pour obtenir le bon fonctionnement des administrations , du service aux usagers et du service public. Entre-temps il n'empêche que ce sont émanations et fuites qui parfument et souillent la vie des habitants du secteur. Un petit agriculteur en contrebas n'en demandait pas tant.