Cette information a fait l'objet d'une déflagration dans les deux médias concernés car ce transfert à haut niveau cache des enjeux stratégiques considérables !
Katleen Bilas est certainement en train de basculer vers l’entrepreneuriat ! Ich Tig
Les enjeux sont très importants en effet. Ce transfert n'est pas anodin. Ce qui se dit c'est que l'étoile d'ATV devrait s'occuper du pôle numérique de RCI, en Guadeloupe, Martinique, et Paris. En effet la nouvelle patronne de RCI Alexandra Elizé ( ex employée de ATV sous la houlette de KBC ) a une préoccupation simple. Remettre RCI dans le groupe des entreprises rentables.
En effet et ce n'est plus un secret pour personne, RCI va mal financièrement. Depuis 3 ans , même avant le départ du druide José Anelka, la radio perdait de l'argent. RCI aujourd'hui encore coûte plus cher que le chiffre d'affaires qu'elle génère. Autrement dit après des années de gloire et une success story sans précédent RCI cumule des déficits financiers depuis trois bonnes années. Plusieurs raisons à cela, dont des motifs structurels, mais des raisons conjoncturelles également. Une politique commerciale qui est allée chatouiller les annonceurs historiques a "couroussé" un bon nombre d'annonceurs qui avaient leur porte-feuille ouvert pour le média et qui de fait sont allés chercher des solutions plus acceptables.
En effet et ce n'est plus un secret pour personne, RCI va mal financièrement. Depuis 3 ans , même avant le départ du druide José Anelka, la radio perdait de l'argent. RCI aujourd'hui encore coûte plus cher que le chiffre d'affaires qu'elle génère. Autrement dit après des années de gloire et une success story sans précédent RCI cumule des déficits financiers depuis trois bonnes années. Plusieurs raisons à cela, dont des motifs structurels, mais des raisons conjoncturelles également. Une politique commerciale qui est allée chatouiller les annonceurs historiques a "couroussé" un bon nombre d'annonceurs qui avaient leur porte-feuille ouvert pour le média et qui de fait sont allés chercher des solutions plus acceptables.
Alexandra Elisé qui est depuis peu la nouvelle patronne a certainement analysé le risque principal, que RCI ne prenne à moyen terme le chemin de l'ex France-Antilles.
Moins tenue par des contingences historiques, ce sera à elle de faire le sale boulot pour maintenir les performances financières de la station principale du pays Martinique et Guadeloupe une fois de plus. Sa contrainte supplémentaire, lutter contre le développement des GAFA qui en Martinique aussi ravagent les budgets publicitaires, y compris ceux en agences. Pour cela nous avons aussi appris que crise du covid 19 aidant ce n'est pas moins de 8 salariés sur les deux îles qui devraient quitter le navire. Même le patron de Bel Radio est concerné.
A RCI on n'est pas habitué à ce genre de mauvaises nouvelles et la "tremblade" est générale, même parmi les cadres l'ambiance n'est plus à la fête. On parle même de pigistes qui passeraient par dessus bord !
Bref c'est dans ce climat qu'arrive Kattleen Bilas Coppet à RCI. Elle vient pour développer le pôle digital de RCI. Ce pari est osé, mais vaut la peine d'être vécu. Ce bord inattendu est risqué et plein de pièges, mais c'est sans doute sa fibre entrepreneuriale familiale qui refait surface. Pour ce challenge il faut une personnalité et une personne qui connait l'image. KBC connait les contraintes de la télé, alors qu'à RCI cette ressource manque. Le savoir-faire aussi, à commencer par un groupe, qui spécialisé dans la radio n'arrive pas à inventer son futur en Média Global.
En effet RCI a toutes les clefs pour se transformer où le futur l'attend, mais à cette date personne dans cet univers radiophonique n'est arrivé à expliquer comment on peut gagner de l'argent avec le numérique. En effet il ne suffit pas de digitaliser, mais il faut commercialiser aussi. En cette matière KBC devrait être renforcée par une nouvelle recrue en provenance de la Réunion qui viendra à la régie commercialiser le digital. La différence et l’atout de Bilas, c'est que sa nouvelle patronne comprend le sens et l’intérêt du digital !
Pour l'heure nous ne vous en disons pas plus...Mais nous savons déjà beaucoup d'autres choses que nous ne pouvons vous dire pour l'instant et qui dans les jours suivants vont provoquer encore de nouvelles ondes de choc.
A RCI on n'est pas habitué à ce genre de mauvaises nouvelles et la "tremblade" est générale, même parmi les cadres l'ambiance n'est plus à la fête. On parle même de pigistes qui passeraient par dessus bord !
Bref c'est dans ce climat qu'arrive Kattleen Bilas Coppet à RCI. Elle vient pour développer le pôle digital de RCI. Ce pari est osé, mais vaut la peine d'être vécu. Ce bord inattendu est risqué et plein de pièges, mais c'est sans doute sa fibre entrepreneuriale familiale qui refait surface. Pour ce challenge il faut une personnalité et une personne qui connait l'image. KBC connait les contraintes de la télé, alors qu'à RCI cette ressource manque. Le savoir-faire aussi, à commencer par un groupe, qui spécialisé dans la radio n'arrive pas à inventer son futur en Média Global.
En effet RCI a toutes les clefs pour se transformer où le futur l'attend, mais à cette date personne dans cet univers radiophonique n'est arrivé à expliquer comment on peut gagner de l'argent avec le numérique. En effet il ne suffit pas de digitaliser, mais il faut commercialiser aussi. En cette matière KBC devrait être renforcée par une nouvelle recrue en provenance de la Réunion qui viendra à la régie commercialiser le digital. La différence et l’atout de Bilas, c'est que sa nouvelle patronne comprend le sens et l’intérêt du digital !
Pour l'heure nous ne vous en disons pas plus...Mais nous savons déjà beaucoup d'autres choses que nous ne pouvons vous dire pour l'instant et qui dans les jours suivants vont provoquer encore de nouvelles ondes de choc.