Voici la réponse du journal : MACRON, MANIPULATEUR EN CHEF, SELON CATHERINE CONCONNE.
Son courrier confirme comment Macron et les siens manipulent le fameux débat et l’opinion publique ; les maires d’Outre-mer et les invités n’étaient là que pour servir le grand enfumage. Nos lecteurs/trices en apprennent de bien bonnes sur les dessous de ce scénario très médiatisé. Nul doute que cela intéressera !
Voici de très larges extraits d’une longue lettre : « Ma réponse à la rédaction de Révolution Socialiste
…les précisions nécessaires pour comprendre réellement ce qui s’est passé entre le Président de la République et moi lors du Grand Débat National du 1er février dernier destiné aux élus de la dite outre-mer.
Je n’ai pas approuvé les conclusions du Président de la République sur les causes de la vie chère qu’il attribue entre autres à l’abattement fiscal sur l’impôt sur le revenu qui vient de faire l’objet d’une modification substantielle de son plafonnement.
J’ai donc dit hors micro que je n’étais pas d’accord avec cette analyse. Le président de la république interpellé par les gestes de désapprobation souhaitait me donner la parole. C’est un sujet que je maîtrise parfaitement et qui m’a donné l’occasion de passe-d’armes sévères avec les membres du gouvernement lors du débat budgétaire au Sénat. Cependant, dans les rangs en face, le maire de Kourou s’oppose au fait que l’on puisse me passer la parole et élève le ton pour signifier que cette séance était strictement réservée aux maires. Une collaboratrice du président se rapproche alors de moi et me chuchote qu’effectivement cette séance ne prévoyait pas l’expression des parlementaires. Cet élément d’organisation ne nous avait jamais été annoncé lors de l’invitation. Sachez que si cette consigne m’avait été notifiée, je n’aurais pas honoré cette invitation. C’est exactement ce que je rétorque à ce membre de l’organisation en lui disant que je n’étais pas venue ici jouer le rôle - je cite - « du pot à fleurs ».
Voulant quitter la salle à ce moment car faisant le constat de l’insignifiance de ma présence, j’ai été retenue amicalement par 2 de mes collègues, Josette Manin et Josette Borel-Lincertin.
Vous voyez bien qu’on est bien loin de vos conclusions qui font de moi, soit un triste pantin aux ordres de mon parti ou encore plus méprisant, je cite - « une hésitation sur le discours à tenir » ou encore « une soudaine timidité ». Très franchement, moi timide !!... »
Voici de très larges extraits d’une longue lettre : « Ma réponse à la rédaction de Révolution Socialiste
…les précisions nécessaires pour comprendre réellement ce qui s’est passé entre le Président de la République et moi lors du Grand Débat National du 1er février dernier destiné aux élus de la dite outre-mer.
Je n’ai pas approuvé les conclusions du Président de la République sur les causes de la vie chère qu’il attribue entre autres à l’abattement fiscal sur l’impôt sur le revenu qui vient de faire l’objet d’une modification substantielle de son plafonnement.
J’ai donc dit hors micro que je n’étais pas d’accord avec cette analyse. Le président de la république interpellé par les gestes de désapprobation souhaitait me donner la parole. C’est un sujet que je maîtrise parfaitement et qui m’a donné l’occasion de passe-d’armes sévères avec les membres du gouvernement lors du débat budgétaire au Sénat. Cependant, dans les rangs en face, le maire de Kourou s’oppose au fait que l’on puisse me passer la parole et élève le ton pour signifier que cette séance était strictement réservée aux maires. Une collaboratrice du président se rapproche alors de moi et me chuchote qu’effectivement cette séance ne prévoyait pas l’expression des parlementaires. Cet élément d’organisation ne nous avait jamais été annoncé lors de l’invitation. Sachez que si cette consigne m’avait été notifiée, je n’aurais pas honoré cette invitation. C’est exactement ce que je rétorque à ce membre de l’organisation en lui disant que je n’étais pas venue ici jouer le rôle - je cite - « du pot à fleurs ».
Voulant quitter la salle à ce moment car faisant le constat de l’insignifiance de ma présence, j’ai été retenue amicalement par 2 de mes collègues, Josette Manin et Josette Borel-Lincertin.
Vous voyez bien qu’on est bien loin de vos conclusions qui font de moi, soit un triste pantin aux ordres de mon parti ou encore plus méprisant, je cite - « une hésitation sur le discours à tenir » ou encore « une soudaine timidité ». Très franchement, moi timide !!... »