Ces derniers se reconnaissent sous le vocable de défenseur des travailleurs. Ils défendent les travailleurs au détriment des entreprises, cela fait partie de leur ADN.
Les gens du MIM ont construit leur légitimité sur ce concept de défense des travailleurs. Que les patrons soient nègre ou béké c’est sans distinction de genre que les rapports de force s’installent dans les entreprises allant jusqu’à contraindre les patrons désarmés devant tant d’outrages à mettre leur structure en faillite. Qui n’a jamais connu une grève syndicalisée ne peux pas imaginer la dose d’agressivité et de violences qui sont déversés à cet instant.
Ce n’est pas la première fois que le MIM et alliés se retrouvent en qualité de patron contraint de négocier. Pour s’en sortir leur méthode est toujours la même. Une politisation du sujet, victimisation les dirigeants, mobilisation d’une milice ayant leur faveur, une brutalité dans les propos, dewo est leur mot qui convient le mieux. Une convocation à la presse, où l’utilisation de leur propre moyen de communication leur permettent de tenir en haleine des millitants chauffés à blancs prets à en découdre, pour peut que leur leader semble en difficulté. Si le MIM a ses méthodes pour se défendre il a bien raison, c’est sont droit. Une grève c’est un rapport de force.
Les gens du MIM ont construit leur légitimité sur ce concept de défense des travailleurs. Que les patrons soient nègre ou béké c’est sans distinction de genre que les rapports de force s’installent dans les entreprises allant jusqu’à contraindre les patrons désarmés devant tant d’outrages à mettre leur structure en faillite. Qui n’a jamais connu une grève syndicalisée ne peux pas imaginer la dose d’agressivité et de violences qui sont déversés à cet instant.
Ce n’est pas la première fois que le MIM et alliés se retrouvent en qualité de patron contraint de négocier. Pour s’en sortir leur méthode est toujours la même. Une politisation du sujet, victimisation les dirigeants, mobilisation d’une milice ayant leur faveur, une brutalité dans les propos, dewo est leur mot qui convient le mieux. Une convocation à la presse, où l’utilisation de leur propre moyen de communication leur permettent de tenir en haleine des millitants chauffés à blancs prets à en découdre, pour peut que leur leader semble en difficulté. Si le MIM a ses méthodes pour se défendre il a bien raison, c’est sont droit. Une grève c’est un rapport de force.
Sauf que cette grève de la CTM est différente.
La CTM c’est comme le port. Un passage obligé. Le principal moteur du pays. Trois jours de conflit c’est beaucoup dans un pays n’ayant plus qu’une seule collectivité.
La CTM n’est donc pas le truc du MIM. La CTM appartient aussi aux 70 000 perdants autant qu’au 83500 gagnants. Le MIM qui dirige le pays doit en tenir compte. Cette grève n’est pas une grève politique, les milices dans l’agora régionale sont inopportunes et la brutalité des propos du président sont inacceptables dans un pays qui n’a plus qu’une instance de décision.
Aussi MAKAC LA en arrive à la conclusion que la collectivité unique c’est la plus mauvaise aventure qui sera arrivée à la Martinique. En quatre mois nous avons découvert la limite de cette CTM.
Incapacité à séparer le législatif de l’exécutif.
Incapacité à réorganiser la fusion d’un personnel provenant de deux collectivités dont la culture d’entreprise est diamétralement opposée.
Incapacité de nos dirigeants politiques à sortir de leur posture partisane.
Incapacité pour ce pays de trouver un leader capable de rassembler la multiplicité des genres politiques ou à défaut une cause, un projet un futur.
Attention les difficultés d’AMJ ne lui appartiennent pas en propre. Les martiniquais avait une grosse attente du concept de collectivité unique et ils
commencent à se fatiguer de toutes ces incapacités.
Le réveil sera brutal si nos dirigeants ne se calment pas ! Considérer qu’il n’y a plus de futur possible pour une communauté peut être encore plus grave, a moins que le choix délibéré du MIM ne soit de laisser pourrir la situation afin que face aux malheurs du pays le débat institutionnel ne soit relancé.
Ce serait une vraie enfilade de la droite par le MIM !
La CTM n’est donc pas le truc du MIM. La CTM appartient aussi aux 70 000 perdants autant qu’au 83500 gagnants. Le MIM qui dirige le pays doit en tenir compte. Cette grève n’est pas une grève politique, les milices dans l’agora régionale sont inopportunes et la brutalité des propos du président sont inacceptables dans un pays qui n’a plus qu’une instance de décision.
Aussi MAKAC LA en arrive à la conclusion que la collectivité unique c’est la plus mauvaise aventure qui sera arrivée à la Martinique. En quatre mois nous avons découvert la limite de cette CTM.
Incapacité à séparer le législatif de l’exécutif.
Incapacité à réorganiser la fusion d’un personnel provenant de deux collectivités dont la culture d’entreprise est diamétralement opposée.
Incapacité de nos dirigeants politiques à sortir de leur posture partisane.
Incapacité pour ce pays de trouver un leader capable de rassembler la multiplicité des genres politiques ou à défaut une cause, un projet un futur.
Attention les difficultés d’AMJ ne lui appartiennent pas en propre. Les martiniquais avait une grosse attente du concept de collectivité unique et ils
commencent à se fatiguer de toutes ces incapacités.
Le réveil sera brutal si nos dirigeants ne se calment pas ! Considérer qu’il n’y a plus de futur possible pour une communauté peut être encore plus grave, a moins que le choix délibéré du MIM ne soit de laisser pourrir la situation afin que face aux malheurs du pays le débat institutionnel ne soit relancé.
Ce serait une vraie enfilade de la droite par le MIM !