On sait bien que partout où il y a des évènements, il y a la fête. La Fête c'est aussi le moment pour les alcools.
Photo Alberto Salguero
A la Gold Cup c'est la téquila qui sponsorise la manifestation avec le titre de partenaire officiel. Commençons par savoir ce qu'est la téquila . La téquila est une boisson à base d'agaves. La (ou le) tequila en espagnol : el tequila est un mot masculin, est une boisson alcoolisée produite au Mexique à partir d'une plante nommée Agave tequilana
Agave est un genre de plantes de la famille des Asparagaceae. Les noms « pita », « maguey » ou « cabuya » leur sont aussi attribués. Dans ce genre, plusieurs centaines d'espèces ont été décrites. Elles sont originaires du continent américain, principalement du Mexique mais aussi du sud-ouest des États-Unis, d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Certaines espèces ont été acclimatées dans les régions méditerranéennes ou sur d'autres continents (en Indonésie notamment, par les colons néerlandais pour la production de fibres textiles).
À l'origine, les Méso-américains ne connaissaient pas le procédé de la distillation et la seule boisson alcoolisée qu'ils tiraient des agaves était le pulque au degré d'alcool faible 6-8 .Les Espagnols, à la recherche d'une eau-de-vie plus forte, introduisirent en Nouvelle-Espagne au xviie siècle, le processus de la distillation que les Arabes avaient eux-mêmes introduit en Espagne. La tequila n'a jamais été une boisson accessible aux Mexicains les plus modestes qui eux buvaient du pulque et lui préfèrent aujourd'hui les alcools bon marché dérivés de la canne a sucre.
Agave est un genre de plantes de la famille des Asparagaceae. Les noms « pita », « maguey » ou « cabuya » leur sont aussi attribués. Dans ce genre, plusieurs centaines d'espèces ont été décrites. Elles sont originaires du continent américain, principalement du Mexique mais aussi du sud-ouest des États-Unis, d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Certaines espèces ont été acclimatées dans les régions méditerranéennes ou sur d'autres continents (en Indonésie notamment, par les colons néerlandais pour la production de fibres textiles).
À l'origine, les Méso-américains ne connaissaient pas le procédé de la distillation et la seule boisson alcoolisée qu'ils tiraient des agaves était le pulque au degré d'alcool faible 6-8 .Les Espagnols, à la recherche d'une eau-de-vie plus forte, introduisirent en Nouvelle-Espagne au xviie siècle, le processus de la distillation que les Arabes avaient eux-mêmes introduit en Espagne. La tequila n'a jamais été une boisson accessible aux Mexicains les plus modestes qui eux buvaient du pulque et lui préfèrent aujourd'hui les alcools bon marché dérivés de la canne a sucre.
Et cette boisson alcoolisée , est partenaire de la Gold Gup
En France la législation est stricte sur l'association d’événement sportif à l'alcool. Ainsi, le parrainage alcool est désormais visé à l’article L. 3323-2 du code de la santé publique qui dispose : « toute opération de parrainage est interdite lorsqu’elle a pour objet ou pour effet la propagande ou la publicité, directe ou indirecte, en faveur des boissons alcoolisées ».
En fait, il semble que le législateur ait toutefois envisagé un mode licite de “parrainage”, tout au moins en matière d’alcool : le mécénat. Pour approfondir la question
En fait, il semble que le législateur ait toutefois envisagé un mode licite de “parrainage”, tout au moins en matière d’alcool : le mécénat. Pour approfondir la question
Regardez maintenant comment l'association d'image est réalisée
Premièrement la marque a commencé par faire un jeu. Camara Téquila vous envoie à la Gold Cup, tous frais payés. Dans un second temps la marque s'associe à la société qui fait la retransmission des matchs sous forme de parrainage des reportages. Regardez bien dans cette vidéo en cours et à la fin Camara Téquila est bien présente.
Si nous faisons cette pub gratuite à Camara Téliquila c'est pour bien prouver que l'argumentation selon laquelle on ne peut associer alcool et sport est une fausse barbe. C'est à dire un vraie raison pour dire non à un sponsoring sportif.
En définitive ce qu'il faut comprendre c'est que les industries martiniquaises, préfèrent se faire leur propre pub, sans jouer le lien sociétal de soutien aux associations sportives et culturelles. Elles savent toutes qu'internet est un vrai espace de liberté pour elles, pour s'exprimer librement et à leur compte. Si cette démarche solitaire des marques est argument valable selon elles, il n'empêche que c'est en collaborant et en faisant du maillage, que l'on construit un écosystème de valeurs.
Peut être que ce reportage et l'exemple cité dans cet article donneront des idées !!! Il ne faut jamais désespérer de ses compatriotes...
Peut être que ce reportage et l'exemple cité dans cet article donneront des idées !!! Il ne faut jamais désespérer de ses compatriotes...