Rédaction du Naïf : Dans cette affaire de femmes noire et blanche se disant agressées sexuellement, le politique socialiste DSK devenu un sérial rapist doit méditer sur cette pensée : « La femme est l'instrument qu'emploie le diable pour posséder nos âmes. »,mais le client DSK est connu. Si les preuves sont réunies, il doit payer, mais les plaintes qui arrivent comme la dernière yole d’un Prêcheur-Fort-de-France avec l’intention avouée de régler des comptes et de se faire médiatiser ne doivent tromper personne. C’est la femme noire Nafissatou Diallo qui ouvre le bal et parle pour la première fois depuis sa présumée agression le samedi 14 mai. Elle donne une ITW au magazine Newsweek en presse écrite et en TV ABC News. Elle met le paquet pour se défendre car l’enregistrement du « je sais ce que je fais et il a du pognon » semble peser lourd.
Elle dit sa vérité sur ce qui s'est passé dans la chambre 2806 avec Dominique Strauss-Kahn. Sa vérité des faits donne le dialogue suivant : « Bonjour, c'est pour le ménage. C'est là qu'un homme nu avec des cheveux blancs est apparu. Oh ! mon Dieu, je suis vraiment désolée ». (NDLR : Oh ! mon Dieu ! qu’avait-elle vu ?) DSK aurait répondu : « vous n'avez pas à être désolée. Vous êtes belle ». Diallo Naf : « Monsieur, arrêtez cela. Je ne veux pas perdre mon travail ». DSK : « Vous n'allez pas perdre votre travail », aurait répondu DSK. Naffisatou Diallo raconte : « Il me tire fort vers le lit. Il a essayé de mettre son pénis dans ma bouche (...) Je l'ai poussé. Je me suis levée. Je voulais lui faire peur. Je lui ai dit Regarde il y a mon chef juste là (...) Il bougeait et faisait du bruit, comme uhh, uhh, uhh, il disait suce ma XXXX (...) A cause de lui on me prend pour une prostituée. Je veux qu'il aille en prison. Je veux qu'il sache qu'il y a des endroits où on ne peut pas utiliser son pouvoir, où on ne peut pas utiliser son argent ».Une sacrée histoire … Pourquoi cette victime ne s’est-elle pas mise à crier ? On se perd en questions !!! DSK nu c’est…oh! mon Dieu ! Elle demande d’arrêter « cela »… Comment peut-on ouvrir la bouche si on ne le veut pas ????
L’autre femme, la femme blanche du nom de Tristane Banon qui porte plainte est considérée comme la journaliste de Marianne Stéphanie Marteau comme : « un peu nymphomane, manifestement anorexique (…) et qui passe de bras en bras ». Elle couinait en 2003 sur des faits, qui se seraient produits dans un appartement parisien où elle avait rendez-vous avec Dominique Strauss-Kahn pour un entretien dans le cadre de la rédaction d'un livre et en 2011 ce sont des cris de vierges effarouchées. Elle veut scalper de DSK, tout en sachant que pour certains juristes, les faits, s'ils étaient avérés, s'apparenteraient davantage à une agression sexuelle prescrite au bout de trois ans qu'à une tentative de viol, qui, elle, ne l'est qu'au bout de dix ans. Pour l’heure, cette deuxième affaire qui met en pôle position mademoiselle Banon est vraiment cousue de fils aux noirs desseins dans une famille socialiste où une mère choisit sa carrière politique plutôt que dénoncer un « chimpanzé » qui agresse sa fille. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Et surtout comment la Tristane peut-elle se faire passer pour une pucelle agressée par un soudard de croisade inconnu de la section socialiste ?
Vraiment ! Sa mère surtout et sans doute d’autres femmes socialistes connaissaient l’appétit érotique incontrôlé de DSK.
Il faut arrêter ce cinéma.
Elle dit sa vérité sur ce qui s'est passé dans la chambre 2806 avec Dominique Strauss-Kahn. Sa vérité des faits donne le dialogue suivant : « Bonjour, c'est pour le ménage. C'est là qu'un homme nu avec des cheveux blancs est apparu. Oh ! mon Dieu, je suis vraiment désolée ». (NDLR : Oh ! mon Dieu ! qu’avait-elle vu ?) DSK aurait répondu : « vous n'avez pas à être désolée. Vous êtes belle ». Diallo Naf : « Monsieur, arrêtez cela. Je ne veux pas perdre mon travail ». DSK : « Vous n'allez pas perdre votre travail », aurait répondu DSK. Naffisatou Diallo raconte : « Il me tire fort vers le lit. Il a essayé de mettre son pénis dans ma bouche (...) Je l'ai poussé. Je me suis levée. Je voulais lui faire peur. Je lui ai dit Regarde il y a mon chef juste là (...) Il bougeait et faisait du bruit, comme uhh, uhh, uhh, il disait suce ma XXXX (...) A cause de lui on me prend pour une prostituée. Je veux qu'il aille en prison. Je veux qu'il sache qu'il y a des endroits où on ne peut pas utiliser son pouvoir, où on ne peut pas utiliser son argent ».Une sacrée histoire … Pourquoi cette victime ne s’est-elle pas mise à crier ? On se perd en questions !!! DSK nu c’est…oh! mon Dieu ! Elle demande d’arrêter « cela »… Comment peut-on ouvrir la bouche si on ne le veut pas ????
L’autre femme, la femme blanche du nom de Tristane Banon qui porte plainte est considérée comme la journaliste de Marianne Stéphanie Marteau comme : « un peu nymphomane, manifestement anorexique (…) et qui passe de bras en bras ». Elle couinait en 2003 sur des faits, qui se seraient produits dans un appartement parisien où elle avait rendez-vous avec Dominique Strauss-Kahn pour un entretien dans le cadre de la rédaction d'un livre et en 2011 ce sont des cris de vierges effarouchées. Elle veut scalper de DSK, tout en sachant que pour certains juristes, les faits, s'ils étaient avérés, s'apparenteraient davantage à une agression sexuelle prescrite au bout de trois ans qu'à une tentative de viol, qui, elle, ne l'est qu'au bout de dix ans. Pour l’heure, cette deuxième affaire qui met en pôle position mademoiselle Banon est vraiment cousue de fils aux noirs desseins dans une famille socialiste où une mère choisit sa carrière politique plutôt que dénoncer un « chimpanzé » qui agresse sa fille. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Et surtout comment la Tristane peut-elle se faire passer pour une pucelle agressée par un soudard de croisade inconnu de la section socialiste ?
Vraiment ! Sa mère surtout et sans doute d’autres femmes socialistes connaissaient l’appétit érotique incontrôlé de DSK.
Il faut arrêter ce cinéma.