Ce dernier s'il n’arrive pas à mettre les sénateurs de son côté sera soit obligé de diriger le pays par ordonnance, une fois de plus, soit obligé de faire appel au référendum.
C’est engager la France dans six autres mois de débat après celui des gilets jaunes. En définitive, la campagne pour les présidentielles est déjà en action alors que les municipales qui permettent d’élire ceux qui vont indirectement désigner les sénateurs ne sont pas encore passées.
13062019 editorial les sénateurs disent non.MP3 (3.99 Mo)