Cette phrase a suivi une séquence-émotion très forte durant laquelle les syndicats, dans une voix très posée et accompagnée du personnel visiblement en détresse, licencié, implorait un échange avec l’exécutif.
« Je suis tellement écœuré dit-il, que même pour ceux qui sont proches de moi je ne peux pas manger avec eux ! » Ce sont les dernières paroles de Claude Lise ,vérifiables sur la bande-vidéo d’enregistrement de la plénière.
20092018 editorial Claude Lise.MP3 (2.77 Mo)