Je cite :« quand nous prenons nos dépenses réelles de fonctionnement, auxquelles nous ajoutons le remboursement en capital de notre dette, et que nous rapportons l’ensemble à nos recettes réelles de fonctionnement, nous arrivons à un coefficient de rigidité de notre budget de 99%. Il reste seulement 1% du budget pour investir. 1% du budget pour faire face aux nouveaux besoins qui apparaissent chaque jour. C’est une situation vraiment insoutenable. Et de conclure :Les moyens font défaut au regard des charges à assumer, que chacun prenne conscience de la situation et agisse en conséquence.>>
21062017 EDITORIAL CA20171.mp3 (7.22 Mo)